Pourquoi le prophète mohammed est innocent des hadiths fabriqués qui remplissent les livres de hadit

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Les écoles ont énnormément de livres et toute une méthodologie d'analyse qui permette de donner une lecture cohérente et non contradictoire.

On observe la chronologie, le contexte, les buts visés, le comportement des compagnons, les commantaire ect.

Les Malikite donne ennormement d'importance aux comportement des premiers musulmans de Medine face aux hadiths.

Je donne un exemple connu : l'imam Malik ibn Anas à rapporte un hadith connu qui dit de mettre la main droite sur la main gauche pendant la prière, mais il n'a pas applique le hadith pour autan car il observa que les premiers musulmans de Médine gardaient les brats allongées le long du corps pendant la prière.

Le prophète - pbsl - ayant passé les derniers moments de sa vie à Médine, les malikites conclus que la main droite sur la main gauche fut une position qui a été abroger par la suite par la derniere action du prophete - pbsl -.

Pourquoi ce fut abroger ? Ibn Sirine et Hassan el Baçri des dissiple des compagnons du prophete - pbsl - nous rapporte que c'était une sunna des gens du livre (des juifs et des chretiens), et nous savons que dans un premiers temps le prophete - pbsl - aimait les imiter sur les choses pour les quelles aucune révélation ne lui était parvenue, cet position des mains fut ensuite abrogé apres avoir reçut l'ordre de se distinguer d'eux dans ce qui leurs est spécifique.

Donc le rite de la priére c est le prophète qui l institué?
 

voilà se que j ai trouver sur Wikipédia
Un hadith ou hadîth1 (arabe : حديث, ḥadīṯ pluriel ʾaḥādīṯ أحاديث) est une communication orale du prophète de l'islam Mahomet et par extension un recueil qui comprend l'ensemble des traditions relatives aux actes et aux paroles de Mahomet et de ses compagnons, considérés comme des principes de gouvernance personnelle et collective pour les musulmans, que l'on désigne généralement sous le nom de « tradition du Prophète »2. Les hadiths auraient été rapportés par près de 50 000 compagnons3.

50000 compagnons sa fait pas beaucoup non ?
 
L’auteur est une femme. Elle est sociologue, professeur à l’université de Rabat, membre du Conseil d’université des Nations unies et consultante pour l’Unesco. Fatima Mernissi réalise dans cet ouvrage un travail d’expertise pour traquer le faux en hadith comme l’on fait des fkih à partir du IXe siècle. Elle a analysé méthodiquement une somme d’archives colossale et s’aventure ainsi dans un domaine considéré comme le monopole exclusif des hommes. C’est une cure de jouvence pour ceux qui veulent connaître ce qui fonde le destin de l’Islam et certaines orientations qui contrarient les ouvertures sur le futur...

Le Faux en Hadiths

Tous les hadiths qui constituent la tradition (sunna) ne sont pas authentiques. Un très grand nombre a été le fait d’une volonté délibérée de travestir la pensée du Prophète pour tirer certains avantages personnels. On sait combien cette vérité est difficile à admettre et à quel point elle ébranle nos certitudes. C’est que les musulmans d’aujourd’hui ont une opinion idyllique des temps héroïques de l’Islam naissant. al-Boukhârî mort en l’an 870 de J.-C., a bien pressenti l’ampleur du phénomène. Il a répertorié 600 000 hadiths en usage à son époque collectée auprès de 1080 personnes. De ce gigantesque recueil, le savant n’en sélectionnera que 1,2%, soit 7275 qui seront consignés dans le volumineux Sahih El Bokhari (littéralement les Authentiques de al-Boukhârî). On ne saurait trop reconnaître le travail remarquable de cet homme pour avoir osé ce qu’aucun musulman contemporain n’aurait su faire par sentiment d’inquiétude devant ce qui est considéré comme sacré à tort ou à raison. Fatima Mernissi a eu une démarche scientifique fondée sur le doute en considérant que la mémoire humaine n’est pas infaillible. Elle s’est défendue de porter la moindre accusation aux nombreux personnages historiques qui ont eu recours à l’usage de faux pour régler leurs affaires personnelles. Dans ce terrain difficile, Fatima Mernissi a interrogé les textes sous l’éclairage des faits historiques. Elle revisite les positions de l’apôtre de Dieu sur l’égalité des sexes. Elle démontre comment sous les effets de conjonctures difficiles, il va subir de la part de son entourage une pression permanente dans le dessein de renoncer à ce principe égalitaire qui rompt avec le système tribal anti-islamique.

À quoi servent les faux Hadiths ?

Pour tenter une réponse à cette question, il faut rappeler l’âpreté des luttes pour la succession au pouvoir après la mort du Prophète et la légitimation de tout et rien par le texte sacré. Les souverains vont agir sur les champs de la mémoire en y faisant introduire des hadiths complaisants qui justifient une conduite particulière, notamment pour assujettir leurs administrés. Fatima Mernissi cite l’exemple d’un hadith misogyne « Lam yaflahou qawmoun in kana amirahoum imra’a », un peuple qui se fait conduire par une femme va à sa ruine. Fatima Mernissi remonte aux origines de l’auteur de ce soi-disant hadith, Abou Bakra (ne pas confondre avec le khalif), un notable de la ville de Bassora, ancien esclave libéré par le Prophète, il s’est installé en Irak. 25 ans après la mort du Prophète, il se souviendra de ce hadith à l’occasion de la guerre civile entre le khalife Ali et Aïcha. Abou Bakra va justifier son refus d’engagement auprès de Aïcha par ce hadith opportuniste qui lui permet de s’attirer les sympathies de Ali.

Et devant le hadith en question, il importe de savoir si une telle attitude envers les femmes est en conformité avec la pensée et la conduite habituelle du Prophète tel qu’il est décrit par ses biographes auteurs de la Sira Ennabaouiyya. L’auteur du Harem politique cite le cas d’Abu Houraïra, un disciple qui dit avoir collectionné et retenu de mémoire 5300 hadiths ! Conscient qu’une telle capacité de mémoire est humainement difficile à faire admettre, Abu Houraïra explique alors ses performances par des moyens dont il est le seul à avoir le secret. Il dit notamment que le Prophète qui lui aurait conseillé d’étendre son manteau à terre et ainsi il va contenir toutes les paroles qui risquent de s’envoler échappant à son écoute. Fatima Mernissi nous rappelle tout simplement que le Prophète n’aimait ni la magie ni les magiciens. Cette suggestion du manteau étalé à terre pour ramasser les paroles prophétiques serait donc une invention de Abou Houraïra. L’homme agaçait Aïcha Oum El Mouminine. L’épouse du Prophète disait de Abou Houraïra qu’il n’est pas doué pour l’écoute et lorsqu’il était sollicité, il était incapable de donner de bonnes réponses. Elle lui reprocha un jour de raconter des hadiths qu’il n’a jamais entendus. Piqué au vif, Abou Houraïra répondit à Aïcha de façon insolente, reniant le principe coranique du respect absolu et dévolu à l’égard des épouses du Prophète.

Est-il digne de foi ?

L’auteur met en parallèle les origines et le comportement de Abou Houraïra et le contenu des hadiths qu’il dit avoir entendu de la bouche du Prophète durant les trois ans qu’il fut en sa compagnie. Pour réussir à retenir 5300 hadiths, il aurait fallu que tous les jours il en consigne entre 5 et 6 hadiths et n’en oublie aucun... Il faut aussi envisager que le Prophète ne dût se consacrer qu’exclusivement à cette pratique de dire les choses à Abou Houraïra, laissant en second plan les affaires publiques où se mêlent le Sacré, le militaire et les nombreuses tractations avec les turbulents seigneurs des tribus arabes. Alors qui est cet homme qui fut, incontestablement, un disciple ? Yéménite d’origine, il s’appelait Abd Echams (serviteur du soleil). L’Astre solaire étant une ancienne divinité au Yémen, le Prophète attribue à cet homme le nom d’Abdallah avec un sobriquet de Abou Houraïra qui veut dire « l’homme à la petite chatte » pour avoir l’habitude de se montrer avec ce petit animal dans les bras. Ce côté délicat qui le mettait en compétition avec les femmes devait certainement trancher avec la rudesse des hommes de son époque. Le Harem politique est un ouvrage très accessible au grand public, qui a le mérite de réconcilier avec le sens critique qui prévalait au début de l’Islam et qui s’essouffle paradoxalement à l’ère moderne.
 
Nom du compagnon
Nombre de traditions
( hadîth )

Nombre de traditions
( hadîth )
Aboû Houreira ( mort en 59 / 678 )
5374 hadhit

Abdallâh ibn Abbas ( m. 68 / 687 )
2660 hadhit

Aïcha ( m. 58 / 677 )
2220 hadhit

Abdallâh ibn Omar ( m. 73 / 692 )
1630 hadhit

Jâbir ibn Abdallâh ( m. 78 / 697 )
1560 hadith

Anas ibn Malik ( m. 93 / 711 )
1266

Aboû Saïd Al Khudri ( m. 74 / 693 )
1170 hadith
 
Dernière édition:
Si on avait autan de mal a admettre qu'il existe des hadiths mensonger on ne serai pas les premiers a l'avoir dit et les avoir classé, bien évidement qu'il y a eu des menteurs et des manipulateurs, c'est connu, et il sont connu. Les chaines de transmissions sont étudier ainsi que la biographie de chacun des transmetteur.

L'authentification des hadiths est un travaille rigoureux.
 
Dernière édition:
Si on avait autan de mal a l'admettre on ne serai pas les premiers a l'avoir dit, bien évidement qu'il y a eu des menteurs, c'est connu, et c'est bien pour ça que les savants du hadith travaille est sont très précis dans l'authentification des hadiths.

comment on peut authentifier un hadith si à la base il ment ?
 
Il y a des gens qui appartiennent à une chaine de transmission qui transmette le hadith.
Et d'autres qui étudient le hadith en vérifiant sa chaine de transmission, la source, le contenu etc.
 
Quand le hadith est rapporté du prophète Mohamed - pbsl - à Omar ibn khatab, à Nafi', puis à l'imam Malik qu'il inscrit dans son ouvrage de hadith, le muwattah, on dit qu'il est doré. C'est à dire qu'en terme de fiabilité il est sure.

C'est 3 là sont des transmetteurs pieux et rigoureux.

Maintenant celui voudra authentifier le hadith inscrit dans le muwattah de l'imam Malik ibn Anas, sera obligeait de constaté que son hadith est effectivement bien notoire, c'est a dire qu'il est connu par tout les élèves de Nafi', Omar, et le prophète - pbsl - au moment où il a dit cet parole.
 
Dernière édition:
Quand le hadith est rapporté du prophète Mohamed - pbsl - à Omar ibn khatab, à Nafi', puis à l'imam Malik qu'il inscrit dans son ouvrage de hadith, le muwattah, on dit qu'il est doré. C'est à dire qu'en terme de fiabilité il est sure.

C'est 3 la sont des transmetteurs,

maintenant celui authentifier le hadith verra que le Hadith inscrit dans le muwattah de l'imam Malik ibn Anas est effectivement bien notoire, c'est a dire qu'il est connu par ceux qu'il est aussi connu par ceux qui on fréquanter Omar, et Nafi'

Et les femmes a cette époque n ont elles pas rapporter de hadith à part Aicha ?
 
Dernière édition:
tien sa a même était un sujet sur bladi
http://www.bladi.info/threads/femmes-musulmanes-savantes-erudites-patrimoine-oublie.287229/

ps : lie ça c'est mieux, y a pas les trucs comme ça "’" en pleins milieux du texte.
http://forum.mejliss.com/passees-nos-cheykhat-nos-mouftiyat-nos-mouhaddithat-nos-faqihat


Dans "Taqrib At-Tahdhib" d'Ibn Hadjar Al Asqalani, sont cités les noms de 824 femmes connues en tant que rapporteuses du Hadith jusqu'au début du troisième siècle de l'hégire.

Oui sa prouve se que disait la sociologue Fatima Mernissi sur le prophète qu il étais un féministe est torturé par les clans ou le sexisme de certain de ces compagnons
Quand je pense que la femme musulmans est relais au deuxième plan voir pas du tout quel injustice
Et surtout sur la question du voile
 
« Le Prophète dirigeant hostile aux hiérarchies, vivait une époque où les femmes avaient leur place, partenaires incontestées d’une révolution qui faisait de la Mosquée un lieu ouvert, et du foyer un temple de contestation ».
 
Oui sa prouve se que disait la sociologue Fatima Mernissi sur le prophète qu il étais un féministe est torturé par les clans ou le sexisme de certain de ces compagnons
Quand je pense que la femme musulmans est relais au deuxième plan voir pas du tout quel injustice
Et surtout sur la question du voile
Arrêter avec le voile symbole de soumission où je ne sais quoi d'autres c'est un fantasme !

Et il n'y a ni premier ni deuxième plant, l'homme, la femme, les enfants, les vieux, tout ça c'est comme les 5 doits de la main, on ne va pas les couper pour qu'il soit tous ego. Chaque doit est comme il est et ses ensembles qu'ils sont utiles.

La femme ce n'est pas un homme, l'homme ce n'est pas une femme et Dieu merci, c'est quoi cette auto-victimisation que vous nous faite..
 
Dernière édition:
« Le Prophète dirigeant hostile aux hiérarchies, vivait une époque où les femmes avaient leur place, partenaires incontestées d’une révolution qui faisait de la Mosquée un lieu ouvert, et du foyer un temple de contestation ».
Les femmes vivais mieux après la venu de l'islam que avant, y avait beaucoup de pauvreté, la civilisation islamique s'était agrandi, y a eu des centres culturel islamique partout, Damas, Bagdad, Le Cair, fes, Andalus etc, c'était beau.

La grande université d'al Qarawine a était fondé par une femme.
 
Dernière édition:
Salam ,

oui , il y a eu d'autres messagers en dehors de Djibril ( je pense aux anges partis voir Ibrahim as par exemple ) qui n’étaient pas humains ...
mais le sujet n’était pas de savoir si cela existe ou pas ....
la question est , Est ce qu'un HUMAIN peut être messager sans être prophète ?
la réponse est NON, tous les messagers humains énoncés dans le coran sont aussi qualifiés de prophètes .
une fois d'accord sur ce point , on peut dire , que Muhammed saws d’après le coran était le dernier des prophètes , il est automatiquement le dernier des messagers ...et tout être humains après lui se disant messager , n est qu un vulgaire imposteur .
salam S.K;)
je suis d'accord avec toi, qu'aucun humain ne peut se auto-proclamer messager et qu'il est, de ce fait, qu'un imposteur....mais la grandeur d' Allah n'a pas de limite...je ne pense pas que d'autres livres ou prophètes viendrons apres Mohammed mais nous recevrons certainement des messages ou plutôt des rappels...Allah seul le sait et quand ça viendra nous saurons ... :cool:
 
Arrêter avec le voile symbole de soumission où je ne sais quoi d'autres c'est un fantasme !

Et il n'y a ni premier ni deuxième plant, l'homme, la femme, les enfants, les vieux, tout ça c'est comme les 5 doits de la main, on ne va pas les couper pour qu'il soit tous ego. Chaque doit est comme il est et ses ensembles qu'ils sont utiles.

La femme ce n'est pas un homme, l'homme ce n'est pas une femme et Dieu merci, c'est quoi cette auto-victimisation que vous nous faite..

T oublie une chose une femme n' est pas un enfant un jeune n a pas la même conception de vie qu un vieux un enfant n est pas un adulte pourtant la femme reste au mettre titre qu un enfant
Le bute du voile étais de protéger la femme de l offense des actes bestiale de certain homme et surtout de les mettre à égalité avec la noblesse de cette époque
depuis et à nos jour le voile est devenu conservateur tout un symbole de soumission un handicape pour ces femmes qui sont ambitieuses
 
Les femmes vivais mieux après la venu de l'islam que avant, y avait beaucoup de pauvreté, la civilisation islamique s'était agrandi, y a eu des centres culturel islamique partout, Damas, Bagdad, Le Cair, fes, Andalus etc, c'était beau.

La grande université d'al Qarawine a était fondé par une femme.

Les femmes après la venue de l islam on due se battre pour avoir les même droit que les hommes il suffit de voir la place de la femme dans les pays islamique à nos jours
 
T oublie une chose une femme n' est pas un enfant un jeune n a pas la même conception de vie qu un vieux un enfant n est pas un adulte pourtant la femme reste au mettre titre qu un enfant
je suis entierment d'accord

Le bute du voile étais de protéger la femme de l offense des actes bestiale de certain homme et surtout de les mettre à égalité avec la noblesse de cette époque
depuis et à nos jour le voile est devenu conservateur tout un symbole de soumission un handicape pour ces femmes qui sont ambitieuses
Si Dieu a dit aux femmes de caché leurs cheveux et leurs formes ça n'a rien avec la sécurité, sinon elles n'auraient pas besoin de le mettre pendant la priere.

C'est le niqab qui fut chez les Malikite pendant un temps utilisé comme un moyen de protéction dans les pays étranger, mais ça répondé a un contexte particulier etc.
 
Si Dieu a dit aux femmes de caché leurs cheveux et leurs formes ça n'a rien avec la sécurité, sinon elles n'auraient pas besoin de le mettre pendant la priere.

Tu oublie que cette époque les femmes prié avec les hommes

C'est le niqab qui fut chez les Malikite pendant un temps utilisé comme un moyen de protéction dans les pays étranger, mais ça répondé a un contexte particulier etc.

Surtout un moyens de ne plus existé politiquement
 
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