L'aléatoire c'est pas une loi mais plutot un variable hasardeux de la theorie de la probabilité et non pas de stastique (si je me rapple tres bien ! )
et tout ce que tu a dit ca s'apple cette fois si dans les stastiques Ein Stichprobe( en francais je crois c'est un échantiant en français )
donc c'est un échantiant d'une observation .. et on n'a jamais le droit dnas les stastique ou dans les stochastiques trier des conculusion a partir d'une seule observation et d'un seule échantiants car ca serais pas crédibile !
donc il faut repecter ca pleusieurs fois et dans diffirantes horraires et par diffirantes personnes diffiranrtes ages ........................etc pour y arriver a des donnés
et puis ces donnés doivent être traité par les indicateurs que je t'est parlè et hupp destermann et saife auront developer un indicateur sexisites dans le secteur de la médicine
!
ca demande de travaile académique fondés bcp d'argent ! bref un projet ! et surtous un groupe de chercheur pour lancer ce genre de projet ..avec un budjet ...
or c'est pas notre cas ici donc on ton observation est un échantiant que on ne peut absolument tirer aucaine conculsion relevante et objectif !
Saife,
Par Marie-Claude Boudon
Depuis les années 80, les femmes sont majoritaires dans les campus universitaires canadiens. À l'UQAM, où elles représentent 61% de la population étudiante, il y a plus de femmes que d'hommes en éducation, en arts et en communication, mais aussi en gestion et en droit. Idem dans les autres universités. Dans les facultés de médecine, on compte maintenant deux femmes pour un homme. Même aux études supérieures, les femmes ont fait des gains importants et leur nombre surpasse maintenant celui des hommes dans plusieurs domaines. Seules les sciences dures et les écoles de génie accusent toujours un déficit important d'étudiantes. Partout ailleurs, c'est la population masculine qui perd du terrain.
Fait-on face à un nouveau problème de société? Allons-nous bientôt nous retrouver dans un monde dominé par les femmes, où ces messieurs seront relégués aux seconds rôles? Comment expliquer que le rattrapage des jeunes filles sur le chemin des études se soit transformé en un succès qui leur permet maintenant de doubler leurs confrères?
«Le phénomène se situe dans le prolongement des difficultés que connaissent les garçons au primaire et au secondaire», observe Bernard Rivière, un professeur de la Faculté des sciences de l'éducation qui s'intéresse particulièrement à la question du décrochage au niveau collégial. «Deux garçons pour une fille décrochent au cégep, dit-il, et je présume que c'est la même chose à l'université. En partant, les hommes désertent les études plus facilement que les femmes.»
Selon les entrevues qu'il a menées avec des cégépiens, les garçons sont plus nombreux à croire qu'ils peuvent se débrouiller sans un diplôme universitaire en poche. «Et le marché du travail leur donne en partie raison», note le chercheur. «Un gars sans diplôme universitaire peut aspirer à des métiers de soudeur, d'électricien ou de technicien en aérospatiale, de bons emplois bien rémunérés», explique sa collègue Francine Descarries, professeure de sociologie rattachée à l'Institut de recherches et d'études féministes de l'UQAM. «Les filles sans diplôme ont beaucoup plus de chance de se retrouver vendeuses, serveuses ou d'occuper un autre emploi précaire, souvent mal payé, dans le secteur des services.»
Ironiquement, si l'absence de diplôme est plus préjudiciable pour les femmes, un diplôme de fille n'est pas aussi rentable qu'un diplôme de garçon. Encore aujourd'hui, dans tous les domaines, les hommes gagnent de meilleurs salaires que les femmes et gravissent plus facilement les échelons promotionnels. Chez les diplômés du baccalauréat, un homme gagne en moyenne 100 $ de plus par semaine qu'une femme. À la maîtrise, la différence est de plus de 200 $ par semaine! Même une organisation comme Radio-Canada, qui oeuvre dans les communications, un secteur d'avantgarde, a été dénoncée, il y a quelques années, parce qu'elle payait ses animatrices systématiquement moins que ses animateurs.
«Les filles ont l'impression, et pas complètement à tort, qu'elles doivent en faire plus pour parvenir aux mêmes résultats », dit Bernard Rivière. Cela expliquerait pourquoi elles ont autant à coeur de poursuivre leurs études, ainsi que le recul relatif de la gent masculine dans la population étudiante. En nombre absolu, il n'y a pas moins d'hommes sur les bancs de l'UQAM ou des autres universités qu'il y en avait dans les années 70. L'immense changement qui s'est produit depuis cette époque, c'est l'avancée spectaculaire des filles.
Ce phénomène est commun à l'ensemble des pays industrialisés. «Souvent, les filles ont vu leurs mères souffrir de dépendance économique ou, à l'inverse, trimer dur pour élever seules leurs enfants, rappelle Bernard Rivière. Elles en ont conclu qu'il fallait étudier pour s'en sortir.»