Puis on a déjà assez payé pour l’extrême‑gauche en france. On lui doit la terreur pendant le révolution, le génocide Vendéen, la première guerre mondiale (et la seconde, une conséquence de la première), les fréquentes casses dans les rues pendant les manifestations.
Parler de respect des SDF et des pauvres de la part de l’extrême‑gauche, c’est une blague, quand pour les mélenchistes un chômeur qui fait 5 à 8 par jours pour 1€ par jour ou moins est insulté, harcelé, traité de sale capitaliste qui n’a qu’à crever. Quand ces extrême‑gauchistes préfèrent offrir à quelqu’un qui n’a pas mangé depuis trois jours, des bières plutôt qu’une tranche de pain ? (je ne fabule pas, je l’ai constaté moi‑même) Quand ils ne les respectent même pas comme individus et n’y voient que des voix à gratter pour les élections ?
Quand je lis et entend les mélenchistes, j’ai souvent du mal à faire la différence avec les lepénistes, c’est la même rhétorique, la même violence, la même haine. Et d’ailleurs en parlant de ça, un des viviers du FN, c’est l’extrême‑gauche. Il y a un flux depuis les années 1970, de l’extrême‑gauche vers l’extrême‑droite, à sens unique, pas dans l’autre sens, un flux qui me fait dire qu’un lepéniste, c’est un extrême‑gauchiste décomplexé. Mélenchon le sait bien, puisqu’il est toujours sur les traces de Le Pen, gratte les voix où elle gratte les siennes. Il y a même eu des blagues à ce sujet, disant que si ça continue comme ça ils vont se marier.