Qui va se vacciner contre le corona ?

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Dans sa dernière intervention le Dr Henrion-Caude explique pourquoi, d’après elle, le vaccin ARNm est une campagne de reprogrammation génétique.

« Ce n’est ni un vaccin, ni une thérapie génétique… C’est une injection de code génétique sur des gens sains qu’on veut reprogrammer… Moderna appelle ça le « software of life ». »


On rappelle d’ailleurs qu’en novembre 2017, le médecin-chef de Moderna, le Dr Tal Zaks avait dit « Je suis ici aujourd’hui pour vous dire que nous sommes en train de pirater le logiciel de la vie. »
 
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Projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires


L’épidémie de covid‑19 a imposé l’élaboration en extrême urgence, en mars dernier, d’un cadre législatif permettant de faire face à la crise qu’elle a provoquée. Soucieux de réexaminer ce cadre dans un contexte moins contraint, le législateur a prévu dès l’origine sa caducité au 1er avril 2021. Bien que ce régime ait fait ses preuves, cette échéance n’a été remise en cause par aucune des trois lois de prorogation intervenues depuis lors. Elle a même été étendue aux systèmes d’information institués pour gérer la crise sanitaire par la loi du 11 mai 2020.

L’ambition du présent projet de loi est ainsi de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles.

Il s’agit donc de bâtir un cadre robuste et cohérent à partir des dispositions qui préexistaient à la crise et de celles mises en place à cette occasion, qui forment aujourd’hui un ensemble de trois régimes d’urgence imparfaitement articulés : celui des menaces sanitaires graves (art. L. 3131‑1 à L. 3131‑11 du code de la santé publique), celui de l’état d’urgence sanitaire (art. L. 3131‑12 à L. 3131‑ 20) et celui de la sortie de l’état d’urgence sanitaire (article 1er de la loi du 9 juillet 2020), auxquels s’ajoutent des dispositions particulières en matière de systèmes d’information.

La refonte prévue par le présent projet de loi distingue deux niveaux d’intervention selon la gravité de la situation et la nature des mesures à prendre pour y faire face : l’état de crise sanitaire, d’une part, et l’état d’urgence sanitaire, d’autre part. Ces deux régimes pourront rester parfaitement autonomes mais ils pourront également s’inscrire dans le prolongement l’un de l’autre, car l’état de crise sanitaire pourra être déclenché avant comme après l’état d’urgence sanitaire, soit pour juguler une crise naissante qui n’a pas encore l’ampleur d’une catastrophe sanitaire, soit pour mettre un terme durable aux effets d’une catastrophe qui n’aura pu être empêchée. Pendant la catastrophe sanitaire elle‑même, c’est le régime de l’état d’urgence sanitaire qui s’appliquera avec ses prérogatives propres auxquelles s’ajouteront celles de l’état de crise sanitaire, applicables de plein droit.

Il est en outre proposé de bâtir un cadre pérenne des systèmes d’information de crise, une disposition législative étant nécessaire pour autoriser, dans la stricte limite nécessaire à leur objet, des dérogations au secret médical, comme c’est actuellement le cas pour les systèmes créés pour la crise de la covid‑19.

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Projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires


L’épidémie de covid‑19 a imposé l’élaboration en extrême urgence, en mars dernier, d’un cadre législatif permettant de faire face à la crise qu’elle a provoquée. Soucieux de réexaminer ce cadre dans un contexte moins contraint, le législateur a prévu dès l’origine sa caducité au 1er avril 2021. Bien que ce régime ait fait ses preuves, cette échéance n’a été remise en cause par aucune des trois lois de prorogation intervenues depuis lors. Elle a même été étendue aux systèmes d’information institués pour gérer la crise sanitaire par la loi du 11 mai 2020.

L’ambition du présent projet de loi est ainsi de substituer à ces dispositions, conçues dans des circonstances particulièrement contraintes et pour faire spécifiquement face à l’épidémie de covid‑19, un dispositif pérenne dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés pour répondre à l’ensemble des situations sanitaires exceptionnelles.

Il s’agit donc de bâtir un cadre robuste et cohérent à partir des dispositions qui préexistaient à la crise et de celles mises en place à cette occasion, qui forment aujourd’hui un ensemble de trois régimes d’urgence imparfaitement articulés : celui des menaces sanitaires graves (art. L. 3131‑1 à L. 3131‑11 du code de la santé publique), celui de l’état d’urgence sanitaire (art. L. 3131‑12 à L. 3131‑ 20) et celui de la sortie de l’état d’urgence sanitaire (article 1er de la loi du 9 juillet 2020), auxquels s’ajoutent des dispositions particulières en matière de systèmes d’information.

La refonte prévue par le présent projet de loi distingue deux niveaux d’intervention selon la gravité de la situation et la nature des mesures à prendre pour y faire face : l’état de crise sanitaire, d’une part, et l’état d’urgence sanitaire, d’autre part. Ces deux régimes pourront rester parfaitement autonomes mais ils pourront également s’inscrire dans le prolongement l’un de l’autre, car l’état de crise sanitaire pourra être déclenché avant comme après l’état d’urgence sanitaire, soit pour juguler une crise naissante qui n’a pas encore l’ampleur d’une catastrophe sanitaire, soit pour mettre un terme durable aux effets d’une catastrophe qui n’aura pu être empêchée. Pendant la catastrophe sanitaire elle‑même, c’est le régime de l’état d’urgence sanitaire qui s’appliquera avec ses prérogatives propres auxquelles s’ajouteront celles de l’état de crise sanitaire, applicables de plein droit.

Il est en outre proposé de bâtir un cadre pérenne des systèmes d’information de crise, une disposition législative étant nécessaire pour autoriser, dans la stricte limite nécessaire à leur objet, des dérogations au secret médical, comme c’est actuellement le cas pour les systèmes créés pour la crise de la covid‑19.

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Le nouveau monde est entrain de se bâtir sous nos yeux ..
 
Je me disais parfois que cette épidémie aura explicitement mis en lumière le pouvoir de nuisance de l’état … eh bien c’est de pire en pire.

Tout ça pour un virus à peine trois fois plus dangereux que la grippe.
 
Je me disais parfois que cette épidémie aura explicitement mis en lumière le pouvoir de nuisance de l’état … eh bien c’est de pire en pire.

Tout ça pour un virus à peine trois fois plus dangereux que la grippe.
Ils disent que c'est un prétexte pour reprogrammer l'humain , qu'ils piratent son logiciel de la vie , le génome.
Pour devenir quoi ? personne ne sait . Tant qu'on aura pas fait un suivi médical. Je pense pas que ce soit la priorité du moment.
 

"Les vaccins d’AstraZeneca, J&J et Spoutnik sont des vaccins OGM", explique Axel Kahn​


Alors qu'AstraZeneca vient d'annoncer devoir poursuivre les études de son futur vaccin contre le Covid-19, que contiennent exactement les vaccins en cours de finalisation? Et comment répondre aux inquiétudes de certains Français, qui hésitent à se faire vacciner ? L'Usine Nouvelle s'est entretenue avec le généticien et spécialiste de l'éthique Axel Kahn, par ailleurs président de la Ligue contre le cancer.

L'Usine Nouvelle. - Quel regard portez-vous sur les vaccins contre le Covid-19 ?
Axel Kahn. -
Il y a quatre types de vaccins : 1 : les vaccins ARN de Pfizer et Moderna, 2 : les virus recombinants, adénovirus d’AstraZeneca, J&J et du russe Spoutnik, virus vaccinal de la rougeole atténué de l'Institut Pasteur, 3 : les virus inactivés comme les vaccins chinois Sinopharm et Sinovac déjà utilisés en Chine, au Maroc et aux Emirats Arabes Unis, 4 : enfin, le vaccin aux protéines recombinantes comme celui de Sanofi – Pasteur associé à GSK. Je me ferais vacciner sans problème par le vaccin chinois ou celui de Sanofi. En revanche, j’avoue que j’attendrais pour les vaccins adénovirus recombinants pour lesquels il convient d’exiger une étude d’innocuité très poussée.

Peut-on considérer les vaccins ARN comme des vaccins OGM
?

Non, ce n’est pas le cas. En revanche, les vaccins adénovirus recombinants d’AstraZeneca, de J&J et Spoutnik le sont. Les vaccins de Pfizer et Moderna utilisent pour leur part une synthèse chimique d’ARN messager de la protéine de spicule, encapsulée pour mieux pénétrer dans les cellules. On cherche ainsi à provoquer la réponse immunitaire contre la protéine de spicule du virus. De l’ARN, il y en a naturellement plein nos cellules.

Le reste est réservé aux abonnés

 

Des dirigeants de Pfizer évoquent une hausse du prix du vaccin et l'injection d'une troisième dose​


Des dirigeants de Pfizer affirment qu'il existe une "possibilité importante" d'augmenter le prix de son vaccin COVID. © Dado Ruvic/Reuters
Les dirigeants de Pfizer ont informé les investisseurs de la société d'une "possibilité importante" d'augmenter les prix du vaccin Pfizer-BioNTech. S'exprimant lors de la conférence virtuelle Barclays Global Healthcare Conference la semaine dernière, deux hauts responsables de Pfizer — le directeur financier Frank D'Amelio et Chuck Triano, vice-président senior des relations avec les investisseurs — ont déclaré que le géant pharmaceutique pourrait augmenter les prix du vaccin lorsque le Covid-19 passera d'un état pandémique à une situation endémique et que le virus circulera continuellement dans certaines poches du globe.
"Si vous regardez comment la demande actuelle et les prix actuels sont déterminés, il est clair qu'ils ne sont pas déterminés par ce que j'appellerais les conditions normales du marché ou les forces normales du marché... Ils sont déterminés par la situation de pandémie dans laquelle nous nous trouvons et par les besoins des gouvernements de se procurer des doses auprès de divers fournisseurs de vaccins", a déclaré Frank D'Amelio.

Ce dernier a ajouté qu'avec la reprise des "conditions normales du marché" au fil du temps, il y aurait alors une chance pour l'entreprise de profiter des opportunités du "point de vue de la demande... et des prix."

Les deux hommes ont ajouté que pour rester protégés, les gens pourraient avoir besoin d'une troisième dose du vaccin pour renforcer l'immunité et l'efficacité contre les variantes émergentes de COVID. En plus des rappels annuels réguliers, ce cycle de vaccination pourrait faire partie de la nouvelle norme.

'Il est de plus en plus probable qu'une revaccination annuelle aura lieu'​

"Nous pensons qu'il est de plus en plus probable qu'une revaccination annuelle aura lieu", a déclaré Franck D'Amelio, soulignant que la société ne considère pas la pandémie ou les campagnes de vaccination qui en découlent comme un "événement ponctuel". L'entreprise prévoit d'accélérer le nombre de doses de vaccin qu'elle peut livrer d'ici la fin du mois de juillet en augmentant ses capacités de production et de chaîne d'approvisionnement.
Selon Franck D'Amelio, Pfizer était initialement censé livrer 100 millions de doses de vaccin au gouvernement américain avant la fin du mois de mars. La société est désormais en passe de livrer 120 millions de doses d'ici la fin du mois et 200 millions de doses d'ici mai.
"Pour l'année complète, nous avions initialement dit que nous pensions pouvoir produire 1,3 milliard de doses. Nous en sommes maintenant à 2 milliards de doses. Et bien entendu, nous nous efforçons d'améliorer ce chiffre également", a-t-il déclaré.
Version originale : Cheryl Teh/Insider

Source

 
T'inquiète ils sauront quoi en faire, par contre la question qu'il faut se poser c'est qu'allons nous devenir avec une santé de plus en plus médiocre ?
Des cobayes qui leur feront gagner encore plus d'argent pour nous soigner de nos maladies futures et nous en rendre dependant.
 
La célèbre société pharmaceutique aurait fait pression sur des pays pour qu’ils fournissent des garanties afin de faire face à des poursuites judiciaires anticipées concernant le COVID.

Le PDG de Pfizer admet ouvertement qu’il veut que les gens reçoivent le vaccin COVID « chaque année »
Le saint homme, il pense à nous :eek:

 


Juste retour des choses… Il lui manque peut-être une légion d’honneur posthume ; pour avoir alerté les populations sur le danger réellement mortel de l’actuelle doctrine vaccinale, matraquée à fond les ballons propagandistes​

 


Juste retour des choses… Il lui manque peut-être une légion d’honneur posthume ; pour avoir alerté les populations sur le danger réellement mortel de l’actuelle doctrine vaccinale, matraquée à fond les ballons propagandistes​

Au moins il s'est battu et mort pour ses croyances. Il est allé au bout de ses convictions.
 
Au moins il s'est battu et mort pour ses croyances. Il est allé au bout de ses convictions.
Il est toutefois malheureux qu’un médecin n’ait pas compris le sens de cette mascarade et en ait fait les frais de sa vie.

Je ne vais pas démolir son attitude mais il est navrant que la compréhension lui soit venue à titre posthume

Condoléance à sa famille et si cela peut faire réfléchir d’autres personnes
 
Il est toutefois malheureux qu’un médecin n’ait pas compris le sens de cette mascarade et en ait fait les frais de sa vie.

Je ne vais pas démolir son attitude mais il est navrant que la compréhension lui soit venue à titre posthume

Condoléance à sa famille et si cela peut faire réfléchir d’autres personnes
Les medecins et tous les experts peuvent aussi se tromper . Ce sont des etres de chair .
Il en est mort , mais combien se sont vaccinés et ont survécu . Il y a de quoi se tromper.
Les scientifiques sont souvent pas d'accord entre eux . Y a aucun mal à cela
 
En enfermant les gens aussi longtemps, en jouant sur les couvre-feux, le(s) gouvernement(s) les pousse(nt) à accepter le vaccin . On remarque aussi que toute la structure narrative et ses effets est la même partout dans le monde (ce n’est pas obligatoire mais t’as pas le choix, la suspicion des uns envers les autres, les campagnes anxiogènes des méfias, la pression des autorités…etc…)ce qui démontre, pour ceux qui ne le voient pas encore qu’il y a déjà (et depuis longtemps) un gouvernement mondial qui planifie et coordonne toute cette opération C.O.V.I.D.
En France et en Europe c’est pas la technique du bulldozer des corrompus israéliens, on sent qu’ils y vont à tâtons, ils marchent sur des œufs. Je pense qu’ils savent que la vaccin ne prendra pas comme en Israël alors ils vont jouer la carte « guerre civile ». Dés que Coco le virus s’éteindra l’islamiste avec le cutter entre les dents et le passeport dans sa poche surgira !

 
Le lien direct de la page de ce site gouvernemental Canadien : Tough on Crime? Pfizer and the CIHR (nih.gov), Mai 2010.

NIH (le site), c’est National Institutes of Health. Le CIHR, c’est Canadian Institutes of Health Research.

@Ebion, tu connais ? Tu as déjà entendu parler d’affaires avec Pfizer ?
Oui le lien est sur ma photo postée justement afin de faire taire les sauvages assoiffés de « complotisteuuu »
 
Le président de Tanzanie qui rappelez vous avait ordonné de tester le pcr sur une papaye et le test s’est avéré positif ... il avait décrété le non port du masque dans son pays et avait décidé de ne vacciner aucun tanzanien ... il vient de mourrir « « « « « « « officiellement » » » » » » du covid
Tiens donc ... mais rien à signaler au niveau de la population ...
Sauf ceux qui bossaient avec lui ... ils sont dead aussi
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A qui le tour?
 
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