Qui va se vacciner contre le corona ?

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Bon maintenant que tout le monde sait que les essais cliniques à échelle mondiale sont encore en cours
Voici la question à 1 million que pose une journaliste aux journalistes : comment prouver sur c’est le vaccin qui permet aux gens d’être enBonne santé ?

 

Vrai ou faux : les arguments des anti-vaccins Covid-19 passés au crible​

"Des personnes vaccinées meurent du Covid-19", "l'ARN messager modifie notre code génétique", "on peut transmettre le virus même en étant vacciné"... Les arguments des anti-vaccins contre le Covid-19 continuent de se diffuser, et le rythme de la vaccination, lui, ralentit. Mais ces arguments sont-ils fondés ? Antoine Flahault, épidémiologiste, répond aux plus répandus d'entre eux.

Certains hésitent encore, d'autres les ont rejetés il y a déjà bien longtemps. Plus de six mois après le début de la campagne de vaccination, les vaccins contre le Covid-19 déchaînent encore les passions. Des sceptiques aux antivax les plus récalcitrants, les arguments en leur défaveur ont la peau dure. Ils seraient inefficaces, voire dangereux... Alors que même des scientifiques se disent anti-vaccin, de nombreux Français ne savent plus à quel saint se vouer.

Pourtant, aujourd'hui, le variant Delta menace, et le ralentissement du rythme de la vaccination fait craindre le déferlement d'une quatrième vague de coronavirus en France dès la fin du mois de juillet, selon Olivier Véran.


"Ils sont inefficaces face au variant Delta", "les vaccins à ARN messager modifient notre code génétique et vont provoquer des cancers", "leurs effets indésirables sont plus graves que le Covid-19 lui-même"... Ces arguments, qu'ils soient empreints de méfiance ou de rejet, pullulent dans les discussions et sur les réseaux sociaux, mais sont-ils fondés ? Contacté par France 24, Antoine Flahault, médecin épidémiologiste et directeur de l'Institut de santé globale à la faculté de médecine de l'université de Genève, répond à certains d'entre eux.

"Les antivax ne représentent qu’une toute petite proportion de la population française, puisqu’on peut l’estimer à moins de 3,5 %", tient-il à préciser en préambule. Il ne faut pas confondre les antivax que rien ne fera changer d'avis, et ceux qui s'interrogent, insiste l'épidémiologiste. "Il y a, à côté des antivax, une proportion bien plus importante : ce sont des personnes qui se posent des questions qui peuvent être très légitimes, et auxquelles je vais maintenant répondre".

• Vrai ou faux : "Les vaccins contre le Covid-19 ont été développés trop rapidement, on ne peut pas leur faire confiance"

Oui, c’est vrai qu’ils ont été développés rapidement, et c’est vrai aussi que ce sont des vaccins nouveaux, innovants, notamment pour les vaccins à ARN messager. Toutefois, ce qui a été compressé, ce sont les phases administratives de mise en œuvre des essais cliniques, pas les phases d’éthique. Les comités d’éthiques ont été consultés tout à fait normalement et ont donné leur avis et leurs réponses normalement. Ce qui a permis l’accélération du recrutement, c’est la pandémie.

Un vaccin est en développement dans le cas du virus Ebola, mais il n’y a jamais eu autant de possibilités de recruter des patients. En effet, pour recruter 30 000 personnes, et pour voir qu’il y a une différence entre le groupe placebo et le groupe vaccin, il faut qu’il y ait une sacrée épidémie : si le virus ne circule pas, ou peu, cela devient très difficile.

Je me souviens avoir mené un essai clinique sur la chloroquine dans le cadre du chikungunya, car on pensait qu’elle avait un effet, et on a dû l’arrêter faute de combattants.

Les conditions qui ont bénéficié a un développement rapide du vaccin contre le Covid-19 sont liées à l’épidémiologie.
 
• Vrai ou faux : "Les vaccins contre le Covid-19 ont été développés trop rapidement, on ne peut pas leur faire confiance"

Oui, c’est vrai qu’ils ont été développés rapidement, et c’est vrai aussi que ce sont des vaccins nouveaux, innovants, notamment pour les vaccins à ARN messager. Toutefois, ce qui a été compressé, ce sont les phases administratives de mise en œuvre des essais cliniques, pas les phases d’éthique. Les comités d’éthiques ont été consultés tout à fait normalement et ont donné leur avis et leurs réponses normalement. Ce qui a permis l’accélération du recrutement, c’est la pandémie.

Un vaccin est en développement dans le cas du virus Ebola, mais il n’y a jamais eu autant de possibilités de recruter des patients. En effet, pour recruter 30 000 personnes, et pour voir qu’il y a une différence entre le groupe placebo et le groupe vaccin, il faut qu’il y ait une sacrée épidémie : si le virus ne circule pas, ou peu, cela devient très difficile.

Je me souviens avoir mené un essai clinique sur la chloroquine dans le cadre du chikungunya, car on pensait qu’elle avait un effet, et on a dû l’arrêter faute de combattants.

Les conditions qui ont bénéficié a un développement rapide du vaccin contre le Covid-19 sont liées à l’épidémiologie.

• Vrai ou faux : "Un certain nombre de personnes vaccinées figurent parmi les cas positifs ou les patients hospitalisés. Le vaccin est donc inefficace, notamment face au variant Delta"

Il suffit de regarder ce qui se passe en Israël ou au Royaume-Uni qui subissent une vague liée au variant Delta. Lorsque l'on prend les couplages entre les cas de contamination, les hospitalisations, les soins intensifs et la mortalité, il y a justement une absence, pour le moment, de mortalité associée. Alors que parallèlement, en Russie dont la population est beaucoup moins vaccinée (environ 15 % a reçu la première dose, contre plus de 65 % au Royaume-Uni), vous avez une vague de mortalité importante avec près de 800 morts par jour et une vraie vague complètement couplée, comme en Afrique du Sud où l'on voit augmenter le nombre de cas positifs et de décès.
 
Au Portugal, qui est plus proche des autres pays européens quant à la vaccination (au-delà de 50 %), s’il y a peut-être un petit surcroît d’hospitalisations, il semble que ce soit très atténué, ou en tout cas pas dans les mêmes proportions qu’en Russie.

Ainsi, on a presque la démonstration vivante que le vaccin, à partir d’un certain seuil, commence à fonctionner. Ça ne veut toutefois pas dire qu'il n'y aura pas d'hospitalisations : au Royaume-Uni, il reste une fraction de personnes non vaccinées, et ce sont justement ces gens qui entrent dans les hôpitaux, et non les vaccinés.

Quoi qu'il en soit, il y a bien sûr des échappements vaccinaux, et quelques personnes vaccinées qui contractent le virus. Il y en a même qui peuvent faire des complications graves et en mourir. Mais il y a toujours une inefficacité vaccinale marginale, elle est très faible pour les vaccins contre le Covid-19, mais un vaccin n'est jamais efficace à 100 %. Les vaccins contre le Covid-19 sont très proches de 100 %.

À part de très rares cas liés par exemple à une immunosénescence c'est-à-dire où des personnes très âgées peuvent perdre leur immunité vaccinale, quand vous êtes vaccinés, vous êtes soustraits du risque d’hospitalisation. On a vraiment affaire à des vaccins d’une très grande efficacité.

• Vrai ou faux : "On peut transmettre le virus même en étant vacciné"

Le vaccin diminue le risque de transmission, probablement entre 60 et 80 %, ce n'est pas du 100 %, mais au niveau de la santé publique, diminuer très substantiellement le risque de transmission contribue à diminuer le risque de propagation du virus. Donc, plus les gens seront vaccinés plus on fera barrière à ce virus, et plus il aura des difficultés à se faufiler dans la population. Toutefois, cela ne peut se faire de façon totale : il y a peu de vaccins qui soient complètement stérilisants et qui permettent de n'avoir absolument aucun risque de transmettre le virus. Les vaccins contre le Covid-19 peuvent laisser passer une certaine transmission, mais ils nous protègent contre les formes graves, et c'est ce qu'on leur demandait.
 
Vrai ou faux : "Les vaccins à ARN messager modifient notre code génétique"

C'est un argument que l'on entend beaucoup. Quand on a le Covid-19, un énorme brin d’ARN (qui fait 30 000 bases et pas simplement le code de la protéine spike), entre dans les cellules, prend le rôle d’ARN messager et produit des protéines à partir de notre machinerie cellulaire.

L’infection par un virus, qu'il s'agisse de la grippe, de la dengue, du chikungunya ou du Covid-19, c'est de l’injection d’ARN messager. Et quand c'est dû à un moustique, cela ressemble beaucoup à une vaccination par ARN messager. Il n’y a donc rien de très nouveau, mais surtout il n’y a aucune modification de génome avec ces virus. La seule modification de génome qui existe a lieu avec les rétrovirus, comme le virus du sida qui peut se mettre dans le génome, mais ce n'est pas du tout le cas des virus à ARN messager.

Je n’arrive pas à comprendre comment on peut avoir peur qu’un vaccin puisse faire quelque chose qui serait pire que le virus contre lequel on veut se battre. D'autant plus que l’ARN messager du vaccin est détruit en quelques heures à tel point qu’il faut faire une deuxième dose. Il n’y a pas de subsistance de l’ARN messager dans les cellules au-delà de quelques heures.

• Vrai ou faux : "Les vaccins à ARN messager, comme Pfizer, peuvent provoquer des cancers"

Cet argument est difficile à opposer parce que les cancers, qui peuvent être provoqués par des produits cancérigènes, ne surviennent pas dans les semaines ou les mois qui suivent, mais des années plus tard. Ce sont donc des cancers qui arriveraient plus tard et l'on aurait alors une épidémie de cancers dans plusieurs années. Il est impossible de contrecarrer cet argument : si un ancien prix Nobel (référence au professeur Luc Montagnier, aujourd'hui conspué par une écrasante majorité de scientifiques pour ses positions anti-vaccin, affichées notamment dans le documentaire complotiste "Hold-Up", NDLR) dit 'il y aura une épidémie de cancers dans trente ans', comment puis-je dire qu’il a tort ? Je n’en sais rien.

En revanche, ce que l'on peut dire, c'est qu'avec tout ce qu'on inhale, qu'on avale et qui nous est injecté, on peut risquer d'être exposé à un cancérigène. On sait que les particules fines que nous respirons dans l'atmosphère les jours de pic de pollution sont des cancérigènes avérés. Peut-être que l'on développera un cancer à partir de l'air que l'on a respiré cet hiver au moment de ces pics de pollution dans nos villes. Que ce vaccin entraîne des cancers, je pense qu'il n'y a aucun modèle qui a jamais montré cela, il n'y a donc aucune raison de le penser.
 
Vrai ou faux : "Les effets indésirables du vaccin sont plus dangereux que la maladie"

À titre individuel, si vous avez comme effet indésirable une thrombose sévère du sinus caverneux, qui est un événement indésirable très grave, ou une myocardie pour laquelle vous êtes souvent hospitalisé, si vous êtes jeune, alors oui, peut-être que dans ce cas, vous pouvez avoir un effet indésirable qui est plus grave que ce que le Covid-19 aurait risqué de vous faire à vous, jeune sans facteur de risque. Cependant, cela est extrêmement rare, et tellement rare que les agences de sécurité sanitaire estiment que le bénéfice l’emporte très largement sur ce risque.

On a connu ça au moment de la variole. Le vaccin était parfois très dangereux puisqu'il pouvait tuer une personne tous les millions de vaccinés. Mais quand la variole sévissait et qu’elle faisait deux millions de morts par an dans le monde, personne ne remettait en cause l’intérêt du vaccin contre la variole. Cela dit, à partir du moment où le risque avait disparu, la variole ayant été éradiquée de la planète, on a arrêté la vaccination en raison de ces effets indésirables.

De la même façon, même si ce n'est pas des décès, le vaccin contre le Covid-19 peut entraîner des effets graves de temps en temps, et ces effets sont souvent difficiles à encadrer. Nous pouvons juste dire à quel âge et dans quelles circonstances (âge, sexe) ceux-ci surviennent, ce qui nous a permis d'encadrer la prescription de certains de ces vaccins, tous ne donnant pas lieux aux mêmes effets indésirables sérieux.

Il y a pour tous les produits de santé des effets indésirables sérieux et c'est presque, malheureusement, la contrepartie de tout produit de santé efficace.

• Vrai ou faux : "Avec une bonne hygiène de vie, le système immunitaire peut se défendre tout seul et n'a pas besoin d'un vaccin"

Les Indiens, majoritairement végétariens, ont une excellente hygiène de vie, et ils ont eu des vagues de Covid-19 absolument dévastatrices. Donc, la bonne hygiène de vie qui vous permettrait de lutter contre des virus aussi agressifs, si on la connaissait, on l’aurait expérimentée ou on l’aurait observée. Or, moi je ne l’observe pas.

Être en bonne santé vous permet de résister plus longtemps et vaillamment aux assauts du virus : quand on est en réanimation, il vaut mieux ne pas être trop maigre, ne pas être en trop mauvaise santé, pour passer le cap. Mais c'est malheureusement tout ce que permettra le fait d'avoir eu, au préalable, une bonne hygiène de vie.

Après, ça peut être aussi une bonne protection : si vous ne rencontrez jamais personne dans des lieux clos et fermés, si c'est cela que l'on appelle une bonne hygiène de vie, ça peut être une façon de se protéger, de ne pas être dans des conditions d'infection par le virus. Mais en dehors de ce schéma, qui reste assez rare, le système immunitaire ne peut être suffisamment boosté pour être spontanément résistant au virus. https://fr.news.yahoo.com/vrai-faux-arguments-anti-vaccins-120410403.html
 
Vrai ou faux : "Les effets indésirables du vaccin sont plus dangereux que la maladie"

À titre individuel, si vous avez comme effet indésirable une thrombose sévère du sinus caverneux, qui est un événement indésirable très grave, ou une myocardie pour laquelle vous êtes souvent hospitalisé, si vous êtes jeune, alors oui, peut-être que dans ce cas, vous pouvez avoir un effet indésirable qui est plus grave que ce que le Covid-19 aurait risqué de vous faire à vous, jeune sans facteur de risque. Cependant, cela est extrêmement rare, et tellement rare que les agences de sécurité sanitaire estiment que le bénéfice l’emporte très largement sur ce risque.

On a connu ça au moment de la variole. Le vaccin était parfois très dangereux puisqu'il pouvait tuer une personne tous les millions de vaccinés. Mais quand la variole sévissait et qu’elle faisait deux millions de morts par an dans le monde, personne ne remettait en cause l’intérêt du vaccin contre la variole. Cela dit, à partir du moment où le risque avait disparu, la variole ayant été éradiquée de la planète, on a arrêté la vaccination en raison de ces effets indésirables.

De la même façon, même si ce n'est pas des décès, le vaccin contre le Covid-19 peut entraîner des effets graves de temps en temps, et ces effets sont souvent difficiles à encadrer. Nous pouvons juste dire à quel âge et dans quelles circonstances (âge, sexe) ceux-ci surviennent, ce qui nous a permis d'encadrer la prescription de certains de ces vaccins, tous ne donnant pas lieux aux mêmes effets indésirables sérieux.

Il y a pour tous les produits de santé des effets indésirables sérieux et c'est presque, malheureusement, la contrepartie de tout produit de santé efficace.

• Vrai ou faux : "Avec une bonne hygiène de vie, le système immunitaire peut se défendre tout seul et n'a pas besoin d'un vaccin"

Les Indiens, majoritairement végétariens, ont une excellente hygiène de vie, et ils ont eu des vagues de Covid-19 absolument dévastatrices. Donc, la bonne hygiène de vie qui vous permettrait de lutter contre des virus aussi agressifs, si on la connaissait, on l’aurait expérimentée ou on l’aurait observée. Or, moi je ne l’observe pas.

Être en bonne santé vous permet de résister plus longtemps et vaillamment aux assauts du virus : quand on est en réanimation, il vaut mieux ne pas être trop maigre, ne pas être en trop mauvaise santé, pour passer le cap. Mais c'est malheureusement tout ce que permettra le fait d'avoir eu, au préalable, une bonne hygiène de vie.

Après, ça peut être aussi une bonne protection : si vous ne rencontrez jamais personne dans des lieux clos et fermés, si c'est cela que l'on appelle une bonne hygiène de vie, ça peut être une façon de se protéger, de ne pas être dans des conditions d'infection par le virus. Mais en dehors de ce schéma, qui reste assez rare, le système immunitaire ne peut être suffisamment boosté pour être spontanément résistant au virus. https://fr.news.yahoo.com/vrai-faux-arguments-anti-vaccins-120410403.html
Des rappels qui font du bien mais bon...C'est moins "sexy" que "les pro-vaccins sont des moutons qui enrichissent Big Pharma mais nous autres on est pas dupes...On a vu la lumière ".:bizarre:
 
Rendre obligatoire ce vaccin, ça sera intenable surtout en France, il faut une vigilance d'au moins dix ans, celui contre l'hépatite B il y avait beaucoup de recul et d'etudes.. et ça n'as pas empêché les scléroses en plaque etc...

celui la, en plus d'être expérimentale et mis au point avec rapidité on a pas terminé de compter juste les effets secondaires... il y en a un autre répertorié récemment la myocardite si je ne me trompe pas.. et le bénéfice immunitaire on peu aussi l'attribuer à la nature les plus fragiles pour la plupart ne sont plus de ce monde, comme pour l'épisode grippale H1N1
 
Dernière édition:
Pour le moment l'Etat ne parle de la rendre obligatoire que pour le personnel soignant.
Comme ces derniers sont par définition auprès de gens fragiles, dont susceptibles de mal supporter le Covid, ça ne me choque pas spécialement.
D'accord, mais ceux qui s'y opposent on va les déclarer inaptes alors qu'on manque déjà de personnel?

n'oublions pas que le personnel soignant est en première ligne depuis le début, qui pour beaucoup se sont isolés volontairement de leurs proches plusieurs mois pour évité de les contaminer ils soignent des personnes déjà contaminés, avec les véritables mesure barrière stricte qui au début de l'épidémie ils entendaient en ricanant ces même politique par manque de préparation .. qui disaient que le masque ne servait a rien... et qui veulent maintenant les obligés, eux qui voit en live les effets secondaires de cette nouvelles thérapie génique

en israel dans un hopital 100 % des nouveaux contaminés sont tous déjà doublement vacciné par le summum du vaccin Pfizer.
 
• Vrai ou faux : "Les vaccins contre le Covid-19 ont été développés trop rapidement, on ne peut pas leur faire confiance"

Oui, c’est vrai qu’ils ont été développés rapidement, et c’est vrai aussi que ce sont des vaccins nouveaux, innovants, notamment pour les vaccins à ARN messager. Toutefois, ce qui a été compressé, ce sont les phases administratives de mise en œuvre des essais cliniques, pas les phases d’éthique. Les comités d’éthiques ont été consultés tout à fait normalement et ont donné leur avis et leurs réponses normalement. Ce qui a permis l’accélération du recrutement, c’est la pandémie.

Un vaccin est en développement dans le cas du virus Ebola, mais il n’y a jamais eu autant de possibilités de recruter des patients. En effet, pour recruter 30 000 personnes, et pour voir qu’il y a une différence entre le groupe placebo et le groupe vaccin, il faut qu’il y ait une sacrée épidémie : si le virus ne circule pas, ou peu, cela devient très difficile.

Je me souviens avoir mené un essai clinique sur la chloroquine dans le cadre du chikungunya, car on pensait qu’elle avait un effet, et on a dû l’arrêter faute de combattants.

Les conditions qui ont bénéficié a un développement rapide du vaccin contre le Covid-19 sont liées à l’épidémiologie.

• Vrai ou faux : "Un certain nombre de personnes vaccinées figurent parmi les cas positifs ou les patients hospitalisés. Le vaccin est donc inefficace, notamment face au variant Delta"

Il suffit de regarder ce qui se passe en Israël ou au Royaume-Uni qui subissent une vague liée au variant Delta. Lorsque l'on prend les couplages entre les cas de contamination, les hospitalisations, les soins intensifs et la mortalité, il y a justement une absence, pour le moment, de mortalité associée. Alors que parallèlement, en Russie dont la population est beaucoup moins vaccinée (environ 15 % a reçu la première dose, contre plus de 65 % au Royaume-Uni), vous avez une vague de mortalité importante avec près de 800 morts par jour et une vraie vague complètement couplée, comme en Afrique du Sud où l'on voit augmenter le nombre de cas positifs et de décès.
le veilleur de la propagande mensongères ...
 
D'accord, mais ceux qui s'y opposent on va les déclarer inaptes alors qu'on manque déjà de personnel?

n'oublions pas que le personnel soignant est en première ligne depuis le début, qui pour beaucoup se sont isolés volontairement de leurs proches plusieurs mois pour évité de les contaminer ils soignent des personnes déjà contaminés, avec les véritables mesure barrière stricte qui au début de l'épidémie ils entendaient en ricanant ces même politique par manque de préparation .. qui disaient que le masque ne servait a rien... et qui veulent maintenant les obligés, eux qui voit en live les effets secondaires de cette nouvelles thérapie génique

en israel dans un hopital 100 % des nouveaux contaminés sont tous déjà doublement vacciné par le summum du vaccin Pfizer.
Si le personnel soignant préfère se faire tester tous les jours en arrivant au boulot...Pourquoi pas...Cela me semble contraignant mais bon...

Quant aux masques tu sais très bien que les politiques face à la pénurie ont été contraints de mentir afin justement que le personnel soignant puisse avoir des masques.
Ma compagne a 25 ans d'expérience comme infirmière hygiéniste et elle hallucine de voir le comportement des gens avec les masques. La dernière fois c'était un gars qui nous parlait en essuyant ses lunettes avec son masque :intello: Elle m'engueule parce que je laisse trainer un masque sur le siège passager de ma caisse et que je l'utilise pendant une semaine :joueur:
 
Rendre obligatoire ce vaccin, ça sera intenable surtout en France, il faut une vigilance d'au moins dix ans, celui contre l'hépatite B il y avait beaucoup de recul et d'etudes.. et ça n'as pas empêché les scléroses en plaque etc...

celui la, en plus d'être expérimentale et mis au point avec rapidité on a pas terminé de compter juste les effets secondaires... il y en a un autre répertorié récemment la myocardite si je ne me trompe pas.. et le bénéfice immunitaire on peu aussi l'attribuer à la nature les plus fragiles pour la plupart ne sont plus de ce monde, comme pour l'épisode grippale H1N1
Raoult n’est pas antivaccin , là il dit même qu’il n’y a aucune preuve direct établie entre la vaccination de l’hépatite B et la sclérose en plaque , et que si l’on donne des millions de vaccins à des personnes susceptibles de le développer sans le vaccin , forcément il y en a qui l’auront , même sans le vaccin ,
 
Raoult n’est pas antivaccin , là il dit même qu’il n’y a aucune preuve direct établie entre la vaccination de l’hépatite B et la sclérose en plaque , et que si l’on donne des millions de vaccins à des personnes susceptibles de le développer sans le vaccin , forcément il y en a qui l’auront , même sans le vaccin ,
MDR, tous dans le même sac 👿 faut pas s'étonner ,quand tu vois passé une personne à la TV (religion païennes) qui s'exprime c'est sur à 99,9 ,9 pour cent qu'elle est sur le même bateau
 
J'ai mis un like qui rit mais toute cette histoire est tellement pathétique, j'ai pitié des bladinautes qui viennent pondre et relayer la propagande de la dictature sanitaire!
Moi aussi j ai ri 🤭 :D
Mais à chaque qu on poste un truc comme ça y’a personne pour venir contrer ça devient bcp trop facile
Maintenant que ce complot est démontré
J ai hâte de passer au suivant voir ce que les Complotistes diront mais surtout ce que les moutons diront :D
je me demande ça sera quoi !
Les aliens je pense :D
 
Completement debile comme raisonnement , le gars doit pas sortir de polytechnique , dans un pays où quasiment tout le monde est vaccinés, c’est sûr que le nombre de gens atteint pas la covid sera plus grand que chez les non vaccinés 🤣 🤣 Mais on en meurent quasiment plus quand on est vaccinés , sans aucune couverture vaccinale ce serait pire , suffit de regarder en Inde ou en Afrique

Pour autant, ces chiffres ne signifient pas que les vaccins soient inopérants, un simple calcul mathématique permet bien au contraire de s’en rendre compte. https://www.huffingtonpost.fr/entry...-vaccins-marchent_fr_60daca51e4b08ef5e2be5cd2
 
Moi aussi j ai ri 🤭 :D
Mais à chaque qu on poste un truc comme ça y’a personne pour venir contrer ça devient bcp trop facile
Maintenant que ce complot est démontré
J ai hâte de passer au suivant voir ce que les Complotistes diront mais surtout ce que les moutons diront :D
je me demande ça sera quoi !
Les aliens je pense :D
Trop facile à contrer au contraire 🤣 le mec.nous sort une vérité de la palice , suffit de réfléchir 2 secondes , c’est tout à fait logique dans un pays où la couverture vaccinale est totale , mais on en meurent beaucoup moins et on passe moins de temps à l’hôpital , en Inde ou il n’y a aucune couverture vaccinale , les morts et les hospitalisations s’accumulent, résultat comme prévu : avec le vaccin moins de contagions , moins de formes graves et moins de morts , donc ce chiffre est à mettre sur la couverture maximale , donc conclusion , le vaccin fait son job.
 
Je comprends pas pourquoi tu dis ça :D
En attendons vous venez qu’avec des petites photos de Twitter et des bouts de phrases sorties de leur contexte qui une fois remis dans l’article signifie tout à fait autre chose , ou des vidéos YouTube faite par Kevin docteur Es lanceur d’alerte qui recherche le buzz et qui dit bien « attention ma vidéo va être censurée » belle phrase d’accroche pour donner de la consistance à du vide ,je parle même pas des vidéos ou un gars se colle son portable sur l’épaule , vous étés quasiment à genoux devant j’ai jamais vu pire suiveur , et je parle même pas de l’extrême droite , très active dans ces mouvements qui ne sont que politiques , les vrais moutons c’est vous.
 
« Qui se justifie s’accuse » proverbe africain
Un africain qui a forcément échappé à la stérilisation de masse!
 

Covid-19. Une quatrième dose de vaccin envisagée pour les personnes sévèrement immunodéprimées​

Les personnes sévèrement immunodéprimées se voient déjà proposer une troisième dose de vaccin contre le Covid-19, face à une réponse de protection des anticorps insuffisante contre la maladie. Mais dans certains cas, une quatrième dose pourrait même être recommandée.

Particulièrement touchées par la pandémie de Covid-19, les personnes immunodéprimées ont un risque élevé de développer une forme grave de la maladie. Elles ont donc fait partie des premières personnes éligibles à la vaccination, vue comme une source d’espoir pour un retour à la vie normale. Mais celle-ci n’aurait cependant pas les résultats escomptés.

La double dose de vaccin contre le coronavirus serait en effet insuffisante chez les personnes sévèrement immunodéprimées, comme l’a expliqué le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale (COSV), dans son avis du 6 avril.

« Des incertitudes » pour certains patients​

« Il existe des incertitudes quant à l’efficacité de la vaccination chez ces personnes. Des données récentes ont montré que la réponse immunitaire anticorps suscitée après deux doses de vaccin était insuffisante […] Un défaut de production d’anticorps a été observé notamment chez les personnes transplantées, les patients dialysés, les patients atteints de maladies auto-immunes et certains patients atteints d’hémopathies malignes », a indiqué le COSV.

L’injection systématique d’une troisième dose de vaccin a alors été recommandée pour les personnes sévèrement immunodéprimée, « quatre semaines après la deuxième dose ou dès que possible pour les personnes qui ont déjà dépassé ce délai ».

Des signes encourageants​

Les résultats préliminaires des effets d’une troisième dose, encore non-publiés, ont montré depuis des signes encourageants. « Une partie des personnes immunodéprimées sévères qui n’avaient pas d’anticorps après la deuxième injection disposent d’anticorps après la troisième injection. Cela montre une efficacité », avance Yvanie Caillé, fondatrice de Renaloo (association de patients atteints de maladies rénales) et membre du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale.

Selon ces premiers éléments, les patients qui répondent favorablement à une troisième dose sont « ceux qui avaient déjà un début de réponse immunitaire après deux doses », précise Alain Fischer, président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale.


Mais pour un certain nombre de personnes immunodéprimées, cela représente un taux probablement trop faible pour assurer une protection. « On ne sait pas de toute manière quel niveau d’anticorps minimal permet d’assurer une protection, ce qui rend les conclusions difficiles », ajoute Yvanie Caillé.

« Ce que l’on mesure, ce sont des titres d’anticorps […] mais pour le moment, on n’a pas de certitude de corrélation avec la protection clinique », explique Alain Fischer.

Une possible quatrième dose envisagée​

Dans les semaines à venir, un nouvel avis devrait être publié pour une « personnalisation » de la réponse médicale après la troisième dose. Une réflexion est notamment engagée pour recommander une quatrième dose de vaccin dans certains cas. « Pour ceux qui ont une réponse d’anticorps jugée trop faible, il est probable qu’une quatrième dose soit envisagée », précise Yvanie Caillé.

« La quatrième dose est une option. La possibilité de vaccination hétérologue, c’est-à-dire avec des vaccins différents, en est une autre », abonde Alain Fischer.

Parmi les mesures envisagées se trouve aussi la possibilité d’injecter des doses de vaccins plus fortes pour les personnes immunodéprimées sévères. Un autre traitement hors vaccination est aussi examiné : l’administration d’anticorps monoclonaux en prophylaxie (en préventif), encore en phase d’expérimentation. Mais Alain Fischer prévient : « Il n’y a rien de fixé aujourd’hui sur toutes ces stratégies ».


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En attendons vous venez qu’avec des petites photos de Twitter et des bouts de phrases sorties de leur contexte qui une fois remis dans l’article signifie tout à fait autre chose , ou des vidéos YouTube faite par Kevin docteur Es lanceur d’alerte qui recherche le buzz et qui dit bien « attention ma vidéo va être censurée » belle phrase d’accroche pour donner de la consistance à du vide ,je parle même pas des vidéos ou un gars se colle son portable sur l’épaule , vous étés quasiment à genoux devant j’ai jamais vu pire suiveur , et je parle même pas de l’extrême droite , très active dans ces mouvements qui ne sont que politiques , les vrais moutons c’est vous.
C'est ce qu'on appelle de la mauvaise foi!
La contestation de la dictature sanitaire, la façon dont c'est gérer, c'est pas fait avec des tweets.
Demande à Fauci...:cool:
 
Non c’est la réalité et ça fait parfois mal à la tronche.
J'ai l'impression que ça fait mal à la tienne au contraire car faire passer la contestation de spécialistes pour une floppée de tweets, c'est juste une fake news.
Tu disais quoi quand les saletés de complotistes disaient que c'était un virus fabriqué? le pangolin, la chauve souris?:cool:
Demande à Fauci, il va ébranler tes certitudes...
 

Covid-19. Une quatrième dose de vaccin envisagée pour les personnes sévèrement immunodéprimées​

Les personnes sévèrement immunodéprimées se voient déjà proposer une troisième dose de vaccin contre le Covid-19, face à une réponse de protection des anticorps insuffisante contre la maladie. Mais dans certains cas, une quatrième dose pourrait même être recommandée.

Particulièrement touchées par la pandémie de Covid-19, les personnes immunodéprimées ont un risque élevé de développer une forme grave de la maladie. Elles ont donc fait partie des premières personnes éligibles à la vaccination, vue comme une source d’espoir pour un retour à la vie normale. Mais celle-ci n’aurait cependant pas les résultats escomptés.

La double dose de vaccin contre le coronavirus serait en effet insuffisante chez les personnes sévèrement immunodéprimées, comme l’a expliqué le Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale (COSV), dans son avis du 6 avril.

« Des incertitudes » pour certains patients​

« Il existe des incertitudes quant à l’efficacité de la vaccination chez ces personnes. Des données récentes ont montré que la réponse immunitaire anticorps suscitée après deux doses de vaccin était insuffisante […] Un défaut de production d’anticorps a été observé notamment chez les personnes transplantées, les patients dialysés, les patients atteints de maladies auto-immunes et certains patients atteints d’hémopathies malignes », a indiqué le COSV.

L’injection systématique d’une troisième dose de vaccin a alors été recommandée pour les personnes sévèrement immunodéprimée, « quatre semaines après la deuxième dose ou dès que possible pour les personnes qui ont déjà dépassé ce délai ».

Des signes encourageants​

Les résultats préliminaires des effets d’une troisième dose, encore non-publiés, ont montré depuis des signes encourageants. « Une partie des personnes immunodéprimées sévères qui n’avaient pas d’anticorps après la deuxième injection disposent d’anticorps après la troisième injection. Cela montre une efficacité », avance Yvanie Caillé, fondatrice de Renaloo (association de patients atteints de maladies rénales) et membre du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale.

Selon ces premiers éléments, les patients qui répondent favorablement à une troisième dose sont « ceux qui avaient déjà un début de réponse immunitaire après deux doses », précise Alain Fischer, président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale.


Mais pour un certain nombre de personnes immunodéprimées, cela représente un taux probablement trop faible pour assurer une protection. « On ne sait pas de toute manière quel niveau d’anticorps minimal permet d’assurer une protection, ce qui rend les conclusions difficiles », ajoute Yvanie Caillé.

« Ce que l’on mesure, ce sont des titres d’anticorps […] mais pour le moment, on n’a pas de certitude de corrélation avec la protection clinique », explique Alain Fischer.

Une possible quatrième dose envisagée​

Dans les semaines à venir, un nouvel avis devrait être publié pour une « personnalisation » de la réponse médicale après la troisième dose. Une réflexion est notamment engagée pour recommander une quatrième dose de vaccin dans certains cas. « Pour ceux qui ont une réponse d’anticorps jugée trop faible, il est probable qu’une quatrième dose soit envisagée », précise Yvanie Caillé.

« La quatrième dose est une option. La possibilité de vaccination hétérologue, c’est-à-dire avec des vaccins différents, en est une autre », abonde Alain Fischer.

Parmi les mesures envisagées se trouve aussi la possibilité d’injecter des doses de vaccins plus fortes pour les personnes immunodéprimées sévères. Un autre traitement hors vaccination est aussi examiné : l’administration d’anticorps monoclonaux en prophylaxie (en préventif), encore en phase d’expérimentation. Mais Alain Fischer prévient : « Il n’y a rien de fixé aujourd’hui sur toutes ces stratégies ».


Regarde la pièce jointe 292014
J'en connais qui vont faire leur 4ème dose!!
 
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