SM le Roi adressera dimanche un discours à la Nation

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Laila
  • Date de début Date de début
Entre annexion et indépendance, la question ne se pose plus puisque la position marocaine s'insère depuis le début dans le principe souveraineté nationale, bien évidemment qu'il s'agit d'indépendance ou non. La question de l'autonomie est avant tout administrative et économique.

Ne pas donner de spécificité au plan saharien est plus honnête à mon sens, le cas contraire aurait été un aveu de faiblesse en ouvrant la porte au compromis. Or à l'heure de la négociation, il ne s'agit pas de caresser l'opposition dans le sens du poil... Donc ton analyse pour le moins hâtive est facile à renverser : d'aucuns y verront un coup de génie, les promesses d'autonomie s'insérant dans un projet bien Marocain et non international, sans pour autant changer quoi que ce soit aux résultats exigés.

Le mieux serait d'attendre avant d'envisager l'avenir, tant qu'on en est encore à légiférer, tout est théoriquement possible. Je ne sais pas si le roi a effectivement assuré que le plan d'autonomie saharien devait et serait obligatoirement du sur mesure, comme tu dis, ni ce que ça change concrètement sur le terrain.

Et si la RASD refuse cette régionalisation, que faire? Dans son cas il s'agirait d'une marche en arrière et qui n'obéit même pas à l'autonomie limitée proposée par le royaume à l'ONU.

Notons que coup fourré de la régionalisation du Sahara Occidental était prévu déja en 2006
_______________________

Reste à savoir si le Maroc envisage une simple régionalisation ou s'il est prêt à une autonomie réelle répondant aux critères internationaux ? C'est la condition sine qua non s'il veut crédibiliser son initiative de paix et convaincre les populations sahraouies habituées jusqu'ici, au mieux à des solutions concoctées par l'administration centrale sans la moindre consultation, au pire à la répression.

«En réalité, c'est concernant les compétences exclusives du gouvernement sahraoui qu'il faudra surtout innover», estime Khalli Henna Ould Rachid, les domaines de souveraineté du Maroc étant évidents : «timbre et drapeau», pour reprendre une expression qui fit florès sous Hassan II. Le président du Corcas exclut en tout cas toute «manoeuvre» du royaume, car «l'autonomie est la seule solution pour réparer l'injustice faite aux Sahraouis».

Par José GARÇON
QUOTIDIEN : Jeudi 6 juillet 2006 - 06:00
 
Et si la RASD refuse cette régionalisation, que faire? Dans son cas il s'agirait d'une marche en arrière et qui n'obéit même pas à l'autonomie limitée proposée par le royaume à l'ONU.

Notons que coup fourré de la régionalisation du Sahara Occidental était prévu déja en 2006
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Reste à savoir si le Maroc envisage une simple régionalisation ou s'il est prêt à une autonomie réelle répondant aux critères internationaux ? C'est la condition sine qua non s'il veut crédibiliser son initiative de paix et convaincre les populations sahraouies habituées jusqu'ici, au mieux à des solutions concoctées par l'administration centrale sans la moindre consultation, au pire à la répression.

«En réalité, c'est concernant les compétences exclusives du gouvernement sahraoui qu'il faudra surtout innover», estime Khalli Henna Ould Rachid, les domaines de souveraineté du Maroc étant évidents : «timbre et drapeau», pour reprendre une expression qui fit florès sous Hassan II. Le président du Corcas exclut en tout cas toute «manoeuvre» du royaume, car «l'autonomie est la seule solution pour réparer l'injustice faite aux Sahraouis».

Par José GARÇON
QUOTIDIEN : Jeudi 6 juillet 2006 - 06:00



on negocie alors avec "5att achahid" :D . c'est pourtant simple.
 
Et si la RASD refuse cette régionalisation, que faire? Dans son cas il s'agirait d'une marche en arrière et qui n'obéit même pas à l'autonomie limitée proposée par le royaume à l'ONU.

Notons que coup fourré de la régionalisation du Sahara Occidental était prévu déja en 2006

Tu es bien conscient qu'il va falloir soutenir ça avec des informations plus concrètes, j'espère.

Comme je le disais, on ne sait même pas quelle forme va prendre in fine cette régionalisation. Le discours insiste également sur le Sahara dans une certaine mesure, ce qui laisse prévoir un focus particulier au niveau du texte.

Dans tous les cas, parler de "coup fourré" est le genre de glissements qui me murmure que cette conversation risque de dériver, une fois de plus, vers le n'importe quoi le plus total.
 
Et si la RASD refuse cette régionalisation, que faire? Dans son cas il s'agirait d'une marche en arrière et qui n'obéit même pas à l'autonomie limitée proposée par le royaume à l'ONU.

Notons que coup fourré de la régionalisation du Sahara Occidental était prévu déja en 2006
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Reste à savoir si le Maroc envisage une simple régionalisation ou s'il est prêt à une autonomie réelle répondant aux critères internationaux ? C'est la condition sine qua non s'il veut crédibiliser son initiative de paix et convaincre les populations sahraouies habituées jusqu'ici, au mieux à des solutions concoctées par l'administration centrale sans la moindre consultation, au pire à la répression.

«En réalité, c'est concernant les compétences exclusives du gouvernement sahraoui qu'il faudra surtout innover», estime Khalli Henna Ould Rachid, les domaines de souveraineté du Maroc étant évidents : «timbre et drapeau», pour reprendre une expression qui fit florès sous Hassan II. Le président du Corcas exclut en tout cas toute «manoeuvre» du royaume, car «l'autonomie est la seule solution pour réparer l'injustice faite aux Sahraouis».

Par José GARÇON
QUOTIDIEN : Jeudi 6 juillet 2006 - 06:00

Il y' a 1800 soldats avec des nouveaux beaux jouets de noël, prêts à les essayer.
De toute façon le Sahara on la eu par la force et on y restera avec la force, et la raison du plus fort est toujours la meilleure

.
 
Tu es bien conscient qu'il va falloir soutenir ça avec des informations plus concrètes, j'espère.

Comme je le disais, on ne sait même pas quelle forme va prendre in fine cette régionalisation. Le discours insiste également sur le Sahara dans une certaine mesure, ce qui laisse prévoir un focus particulier au niveau du texte.

Dans tous les cas, parler de "coup fourré" est le genre de phrase qui me murmure que cette conversation risque de dériver, une fois de plus, vers le n'importe quoi le plus total.

Si tu suis la politique du Maroc, tu aurais lu l'article de José Garçon en 2006 déjà (du reste je l'ai retrouvé restanscrit par une autre voie-cf.lien ci-dessous-).

En revanche, il est exact qu'il faille attendre le texte. Néanmoins, il s'avère qu'un référendum est prévu dans le cas du Sahara Occidental et à cela personne ne pourra le récuser. De surcroit, la résolution de l'ONU insiste bien que les belligérants doivent négocier sans aucun préalable, à savoir imposer leurs solutions.

http://kobason.spaces.live.com/blog/cns!C873246EA6369396!3885.entry
 
Si tu suis la politique du Maroc, tu aurais lu l'article de José Garçon en 2006 déjà (du reste je l'ai retrouvé restanscrit par une autre voie-cf.lien ci-dessous-).

En revanche, il est exact qu'il faille attendre le texte. Néanmoins, il s'avère qu'un référendum est prévu dans le cas du Sahara Occidental et à cela personne ne pourra le récuser. De surcroit, la résolution de l'ONU insiste bien que les belligérants doivent négocier sans aucun préalable, à savoir imposer leurs solutions.

http://kobason.spaces.live.com/blog/cns!C873246EA6369396!3885.entry

Justement, la faisabilité dudit référendum me semble extrêmement relative. J'admets n'avoir pas suivi chaque round de cette confrontation depuis que j'en ai pris conscience, cependant la donne ne me semble pas s'être déplacée au fil des ans et des articles de presse, et la décision marocaine, qu'elle soit plutôt interne ou largement stratégique, a le mérite d'ouvrir une perspective positive.
 
C'est un moment fort et solennel. Nous considérons qu'il marque le lancement d'un chantier structurant, dont Nous voulons qu'il constitue un tournant majeur dans les modes de gouvernance territoriale.

Nous entendons également en faire un prélude à une nouvelle dynamique de réforme institutionnelle profonde.

De ce fait, la régionalisation élargie escomptée n'est pas un simple aménagement technique ou administratif. Elle traduit, plutôt, une option résolue pour la rénovation et la modernisation des structures de l'Etat, et pour la consolidation du développement intégré.

Aussi, avons-Nous décidé d'associer toutes les forces vives de la nation à l'effort de conception générale de ce projet.

Nous avons jugé opportun de créer, à cet effet, une commission consultative ad hoc. Nous en avons confié la présidence au Professeur Omar Azziman, eu égard à la compétence, l'expérience, l'impartialité et le sens élevé du devoir, que Nous lui connaissons.

Considérant le caractère multidimensionnel de la régionalisation, Nous avons tenu compte, dans la composition de cette commission, de l'attachement, particulièrement patriotique, de ses membres à l'intérêt général, de la diversité de leurs profils et sensibilités, et de la complémentarité de leurs spécialités, ainsi que de leur grande familiarité avec la chose publique et les spécificités locales et régionales de leur pays.

Conformément à l'approche participative dont Nous avons ancré l'usage dans toutes les réformes majeures, Nous appelons la commission à un travail d'écoute et de concertation avec les instances et les acteurs concernés et qualifiés.

Nous attendons de cette commission qu'elle mette au point la conception générale d'un modèle national de régionalisation avancée, englobant toutes les régions du Royaume, et qu'elle la soumette à Notre Haute Appréciation à la fin du mois de juin prochain.

Comme Nous l'avons déjà souligné, Nous invitons la commission à s'attacher à mettre au point un modèle maroco-marocain de régionalisation, issu des spécificités de notre pays.

L'une de ces spécificités fondamentales est que la Monarchie marocaine figure parmi les plus anciennes du monde.

La Monarchie marocaine est restée, à travers les âges, le garant de l'unité de la nation, incarnant la symbiose qui la lie aux différentes composantes du peuple, et veillant à s'enquérir de la situation des populations sur le terrain, partout dans le Royaume.


Le Maroc se distingue par son patrimoine historique séculaire, autant que par son évolution moderniste notoirement connue, en matière de décentralisation élargie. Il appartient donc à la commission de mettre au point un système national novateur de régionalisation, sans pour autant sombrer dans le mimétisme ou la reproduction à la lettre des expériences étrangères.

Notre dessein ultime est de poser les fondements d'un modèle de régionalisation avant-gardiste pour les pays en développement. Nous entendons ainsi conforter la place privilégiée de notre pays, comme exemple à émuler, lorsqu'il s'agit de prendre des positions nationales audacieuses et d'apporter des réponses marocaines créatrices à des questions marocaines majeures.

De ce point de vue, cette conception générale doit être élaborée en s'appuyant sur quatre fondamentaux, à savoir :



-Premièrement : l'attachement aux sacralités et aux constantes de la nation, notamment l'unité de l'Etat, de la nation et du territoire, unité dont Nous sommes le Garant et le Protecteur.

Par conséquent, la régionalisation élargie doit être la confirmation démocratique de la singularité du Maroc, riche par la diversité de ses affluents culturels et de ses atouts spatiaux, le tout se fondant en une identité nationale unique et singulière.

-Deuxièmement, la consécration du principe de solidarité : La régionalisation ne doit pas se réduire à une simple redistribution des compétences entre le centre et les régions.

En effet, la régionalisation ne sera équilibrée et n'aura une portée nationale que si l'exploitation optimale par chaque région de ses atouts et potentialités propres, s'opère en corrélation et en concomitance avec la mise en place des mécanismes efficients de solidarité, incarnant la complémentarité et la cohésion interrégionales dans un Maroc uni.

-Troisièmement : la recherche de l'harmonisation et de l'équilibre, pour ce qui concerne les compétences et les moyens, ainsi que la prévention des interférences et des conflits de compétences entre les différentes collectivités locales, les autorités et les institutions.

-Quatrièmement : l'adoption d'une large déconcentration dont la mise en Œuvre effective est indispensable pour une régionalisation judicieuse, dans le cadre d'une gouvernance territoriale efficiente, fondée sur la corrélation et la convergence.
 
Mesdames, Messieurs,.

Nous espérons voir aboutir ce chantier fondateur à la concrétisation d'objectifs substantiels majeurs.

Il s'agit, tout d'abord, de l'avènement de régions à part entière viables et stables dans le temps, fondées sur des critères rationnels et réalistes, inhérents à un système de régionalisation nouveau.

Vient, en second lieu, l'émergence souhaitée de conseils démocratiques disposant des prérogatives et des ressources dont ils ont besoin pour prendre en charge le développement régional intégré.


De fait, Nous ne voulons pas que les régions du Maroc de la bonne gouvernance territoriale, soient des entités purement formelles ou bureaucratiques, mais plutôt comme des institutions représentatives d'élites qualifiées et aptes à gérer au mieux les affaires de leurs régions respectives.

Nous entendons, entre autres objectifs majeurs, placer nos provinces du Sud récupérées parmi les premiers bénéficiaires de la régionalisation avancée. Le Maroc, en effet, ne peut se cantonner dans l'immobilisme, alors que les adversaires de notre intégrité territoriale s'évertuent à entraver le processus onusien visant à trouver une solution politique réaliste et mutuellement acceptable au conflit artificiel suscité autour de ces provinces, solution fondée sur Notre Initiative d'autonomie, réservée au Sahara marocain.

Nous réaffirmons que cette initiative, forte de la crédibilité onusienne, reste toujours de mise pour toute négociation sérieuse et responsable devant conduire au règlement réaliste et définitif souhaité.

Parallèlement, Nous sommes résolu à aller de l'avant dans la concrétisation de Notre détermination à permettre aux loyaux fils et habitants de notre Sahara marocain de disposer d'une large latitude dans la gestion de leurs propres affaires locales, et ce, dans le cadre d'une régionalisation avancée que Nous veillerons à mettre en Œuvre avec une volonté nationale souveraine.



Mesdames, Messieurs,.



Nous attendons de chacun qu'il fasse preuve d'une forte mobilisation, et qu'il prenne la pleine mesure des enjeux stratégiques de ce chantier déterminant qu'est la régionalisation élargie, à l'aune duquel on appréciera le succès des grandes réformes structurantes que Nous conduisons.

Nous engageons, donc, la commission à procéder à un examen approfondi des problématiques qui se posent effectivement dans ce domaine, et l'exhortons à mutualiser les efforts et à faire preuve d'innovation et de créativité pour présenter des propositions pratiques et réalisables en la matière.

Notre ambition nationale est de passer d'une régionalisation naissante à une régionalisation avancée d'essence démocratique et vouée au développement.

Nous assurons cette commission de Notre soutien et de Notre volonté de suivre ses travaux, et donnons, à cet égard, Nos Hautes Directives au gouvernement et à toutes les autorités pour qu'ils lui apportent leur collaboration et mettent à sa disposition les moyens qui lui sont nécessaires pour s'acquitter de sa mission.

Nous implorons le Très-Haut de guider nos pas et de nous aider à atteindre les objectifs que nous escomptons en faisant de la régionalisation élargie le socle de l'édifice institutionnel de l'Etat Marocain, dont Nous nous attachons à consolider les fondements comme Etat moderne de droit, des institutions et de la bonne gouvernance.

Nous veillons, à cet égard, sur la concomitance et l'étroite corrélation entre, d'une part, la protection des droits de la patrie en termes d'unité, d'intégrité territoriale et de souveraineté et, d'autre part, les droits de tous les Marocains à exercer une citoyenneté responsable et à jouir pleinement de leur dignité dans le cadre d'un Maroc unifié, solidaire, paisible et prospère.

Wassalamou alaikoum warahmatoullahi wabarakatouh".
 
Voilà la solution la plus évoluée et ingéniée par Abraham Serfaty dans le conflit du Sahara Occidental.

A savoir une réslolution du genre du Pays de Galles où seul le roi marocain serait impliqué mais non le Maroc.
_________________________

MHI: Dans ce climat d’ouverture, comment voyez-vous l’acharnement des médias marocains contre Ali Lmrabet après sa visite aux camps de Tindouf?

- Abraham Serfaty : Je ne suis pas partisan de tout ce que fait Ali Lmrabet, un journaliste un peu aventureux, mais je pense que nous avons encore au Maroc à faire un pas en avant sur la question du Sahara, car on voit toujours ce que j’appelle le chauvinisme. Le Sahara doit être accordé au royaume du Maroc et pas au Maroc proprement dit, c’est à dire avec un statut spécial comme le stipule l’ONU.

• MHI: Avez vous changé votre position, quelque peu sécessioniste, sur le sort du Sahara marocain pour pouvoir rentrer au Maroc?

- Abraham Serfaty : Mon retour au Maroc s’est fait sans condition et j’ai les documents qui le prouvent. D’autre part, j’avais dit le jour de mon jugement en 1977: “Vive la république sahraouie, vive la république marocaine et vive l’union du Maroc et du Sahara!” Les termes républiques sont un peu trop avancés pour l’époque. En revanche, j’avais dit “vive l’union du Maroc et du Sahara” et c’est encore mon point de vue. L’association entre le Sahara occidental et le Maroc sous l’égide du roi Mohammed VI, mais pas du parlement marocain, est une solution nécessaire du conflit du Sahara.

http://www.maroc-hebdo.press.ma/MHinternet/Archives_640/html_640/lmrabet.html
 

Merci c'est exactement ce que je cherchais.


La Monarchie marocaine est restée, à travers les âges, le garant de l’unité de la nation, incarnant la symbiose qui la lie aux différentes composantes du peuple, veillant à s’enquérir de la situation des populations sur le terrain, partout dans le Royaume.

L'intention au plus haut du pouvoir est certainement honnête, mais entre le haut et le bas il y a des intermédiaires qui ne pensent qu'a ce remplir les poches, malheureusement!

sinon pour le reste du discours, déjà c'est une première pour moi de lire un discours du roi. j'ai confiance en cette démarche et j'espère quelle sera bénéfique pour les citoyens marocains.
 
Si tu suis la politique du Maroc, tu aurais lu l'article de José Garçon en 2006 déjà (du reste je l'ai retrouvé restanscrit par une autre voie-cf.lien ci-dessous-).

En revanche, il est exact qu'il faille attendre le texte. Néanmoins, il s'avère qu'un référendum est prévu dans le cas du Sahara Occidental et à cela personne ne pourra le récuser. De surcroit, la résolution de l'ONU insiste bien que les belligérants doivent négocier sans aucun préalable, à savoir imposer leurs solutions.

http://kobason.spaces.live.com/blog/cns!C873246EA6369396!3885.entry
non monsieur , le referundum n'est pas mentioné ,c'est plutôt l'autodetermination ,et ce n'est pas la même chose !cette année 2009 l'assemblée générale de l'ONU dans son texte n'a pas mentioné le referundum ,ni le conseil de sécurité et ce, pour la 3éme année consecutive ..desolée de vous decevoir .et l'autonomie est une forme de l'autodetermination puisque elle est sensée être négociée entre les parties et s'ils trouvent un concensus ,l'affaire est close .
 
non monsieur , le referundum n'est pas mentioné ,c'est plutôt l'autodetermination ,et ce n'est pas la même chose !cette année 2009 l'assemblée générale de l'ONU dans son texte n'a pas mentioné le referundum ,ni le conseil de sécurité et ce, pour la 3éme année consecutive ..desolée de vous decevoir .et l'autonomie est une forme de l'autodetermination puisque elle est sensée être négociée entre les parties et s'ils trouvent un concensus ,l'affaire est close .

Que fait la MINURSO au Sahara Occidental alors? Prend lecture de la dernière résolution.
 
Quid du changement de constitution ! Et plus grave il garde tout les incompétents actuels du makhzen! Comme si ces voleurs allaient désormais devenir sensible à la précarité des marocains parce que le roi parle de régionalisation!!! Cela revient à peu de chose près à demandé à des voleur endurcis de distribuer leurs futurs larcins! Discours sans envergure et sans solutions pour les problèmes urgents que sont la corruption,la pauvreté,les soins de santé et l'éducation des pauvres!
 
Que fait la MINURSO au Sahara Occidental alors? Prend lecture de la dernière résolution.
LA MINURSO se limite à present à surveiller le respect du cessez le feu , c'est toi qui doit prendre lecture de la dernière resolution , pour ma part c'est déja fait et depuis le 1er jour !
 
SM le Roi: La Commission Consultative de la Régionalisation, un tournant majeur dans les modes de gouvernance
Marrakech- SM le Roi Mohammed VI a souligné que l'installation de la Commission consultative de la Régionalisation est un moment solennel qui marque le lancement d'un chantier structurant que "Nous voulons qu'il constitue un tournant majeur dans les modes de gouvernance territoriale", en prélude à une "nouvelle dynamique de réforme institutionnelle profonde".

Dans un discours adressé dimanche à la Nation, le Souverain a souligné que la régionalisation élargie escomptée n'est pas un simple aménagement technique ou administratif, mais elle "traduit, plutôt, une option résolue pour la rénovation et la modernisation des structures de l'Etat, et pour la consolidation du développement intégré".

Nous avons jugé opportun de créer à cet effet, une Commission Consultative ad-hoc, en confiant sa présidence à M. Omar Azziman, "eu égard à la compétence, l'expérience, l'impartialité et le sens élevé du devoir que Nous lui connaissons" et en tenant compte dans la composition de cette commission, "de l'attachement, particulièrement patriotique, de ses membres à l'intérêt général, de la diversité de leurs profils et sensibilités et de la complémentarité de leurs spécialités ainsi que de leur grande familiarité avec la chose publique et les spécificités locales et régionales de leur pays ".

Le Souverain a appelé les membres de la Commission à accomplir "un travail d'écoute et de concertation avec les instances et les acteurs concernés et qualifiés" et de mettre au point "la conception générale d'un modèle national de régionalisation avancée, englobant toutes les régions du Royaume", qui sera soumise à la Haute Appréciation Royale à la fin du mois de juin prochain.

Nous invitons la commission à s'attacher à mettre au point un modèle maroco-marocain de régionalisation, issu des spécificités de notre pays, dont la Monarchie, qui figure parmi les plus anciennes du monde, est "restée, à travers les âges, le garant de l'unité de la nation, incarnant la symbiose qui la lie aux différentes composantes du peuple, et veillant à s'enquérir de la situation des populations sur le terrain, partout dans le Royaume", a indiqué SM le Roi.

Le Maroc étant un pays qui se distingue par "son patrimoine historique séculaire, autant que par son évolution moderniste notoirement connue, en matière de décentralisation élargie", il appartient donc à la commission de mettre au point "un système national novateur de régionalisation, sans pour autant sombrer dans le mimétisme ou la reproduction à la lettre des expériences étrangères", a précisé SM le Roi.

"Notre dessein ultime, a poursuivi le Souverain, est de poser les fondements d'un modèle de régionalisation avant-gardiste pour les pays en développement" et de conforter ainsi "la place privilégiée de notre pays, comme exemple à émuler, lorsqu'il s'agit de prendre des positions nationales audacieuses et d'apporter des réponses marocaines créatrices à des questions marocaines majeures".


De ce point de vue, a souligné SM le Roi, la conception générale du modèle escompté doit être élaborée en s'appuyant sur quatre fondements, dont le premier est "l'attachement aux sacralités et aux constantes de la nation, notamment l'unité de l'Etat, de la nation et du territoire, unité dont Nous sommes le Garant et le Protecteur", la régionalisation élargie devant "être la confirmation démocratique de la singularité du Maroc, riche par la diversité de ses affluents culturels et de ses atouts spatiaux, le tout se fondant en une identité nationale unique et singulière".

Le deuxièmement fondement réside dans " la consécration du principe de solidarité", sachant que la régionalisation "ne doit pas se réduire à une simple redistribution des compétences entre le centre et les régions" puisqu'elle ne peut être équilibrée et avoir une portée nationale que si "l'exploitation optimale par chaque région de ses atouts et potentialités propres, s'opère en corrélation et en concomitance avec la mise en place des mécanismes efficients de solidarité, incarnant la complémentarité et la cohésion interrégionales dans un Maroc uni".

Au troisième rang de ces fondements, SM le Roi a mis l'accent sur "la recherche de l'harmonisation et de l'équilibre, pour ce qui concerne les compétences et les moyens, ainsi que la prévention des interférences et des conflits de compétences entre les différentes collectivités locales, les autorités et les institutions".
 
Au quatrième, le Souverain a souligné la nécessité de "l'adoption d'une large déconcentration dont la mise en oeuvre effective est indispensable pour une régionalisation judicieuse, dans le cadre d'une gouvernance territoriale efficiente, fondée sur la corrélation et la convergence".

"Nous espérons voir aboutir ce chantier fondateur à la concrétisation d'objectifs substantiels majeurs", d'abord à "l'avènement de régions à part entière viables et stables dans le temps, fondées sur des critères rationnels et réalistes, inhérents à un système de régionalisation nouveau", ainsi qu'à l'émergence "souhaitée de conseils démocratiques disposant des prérogatives et des ressources dont ils ont besoin pour prendre en charge le développement régional intégré", a ajouté le Souverain.

De fait, a souligné SM le Roi, "Nous ne voulons pas que les régions du Maroc de la bonne gouvernance territoriale, soient des entités purement formelles ou bureaucratiques, mais plutôt comme des institutions représentatives d'élites qualifiées et aptes à gérer au mieux les affaires de leurs régions respectives".

A ce propos, SM le Roi a exhorté la commission consultative "à procéder à un examen approfondi des problématiques qui se posent effectivement dans ce domaine" et à "mutualiser les efforts et à faire preuve d'innovation et de créativité pour présenter des propositions pratiques et réalisables en la matière, Notre ambition nationale est de passer d'une régionalisation naissante à une régionalisation avancée d'essence démocratique et vouée au développement".

A cet égard, SM le Roi a donné ses Hautes directives au gouvernement et à toutes les autorités pour qu'ils apportent à cette commission "leur collaboration et mettent à sa disposition les moyens qui lui sont nécessaires pour s'acquitter de sa mission".
 
Remaniement ministériel pour ce lundi 4 janvier ?
Benmoussa, Radi et Boussaïd out, Lachgar in


Depuis 24 heures, les rumeurs de remaniement ministériel vont bon train. Aucune confirmation officielle jusqu’à présent. Les informations les plus crédibles qui circulaient ce lundi matin, faisaient état des changements suivants :

Ministère de l’Intérieur : Chakib Benmoussa cède la place à Moulay Tayeb Cherkaoui.

Ministère de la justice : Abdelouahed Radi, cède la place à Mohamed Naciri.

Ministère du tourisme et de l’artisanat : Mohamed Boussaïd cède la place à Yassir Zenagui.

Ministère de la modernisation des secteurs publics : Mohamed Abbou cède la place à Mohamed Saâd El Alami, actuel ministre en charge des relations avec le Parlement.

Ministère des relations avec le Parlement : Mohamed Saâd El Alami cède la place à Driss Lachgar.

http://www.lavieeco.com/actualites/3250-remaniement-ministeriel-pour-ce-lundi-4-janvier.html
 
Remaniement ministériel pour ce lundi 4 janvier ?
Benmoussa, Radi et Boussaïd out, Lachgar in


Depuis 24 heures, les rumeurs de remaniement ministériel vont bon train. Aucune confirmation officielle jusqu’à présent. Les informations les plus crédibles qui circulaient ce lundi matin, faisaient état des changements suivants :

Ministère de l’Intérieur : Chakib Benmoussa cède la place à Moulay Tayeb Cherkaoui.

Ministère de la justice : Abdelouahed Radi, cède la place à Mohamed Naciri.

Ministère du tourisme et de l’artisanat : Mohamed Boussaïd cède la place à Yassir Zenagui.

Ministère de la modernisation des secteurs publics : Mohamed Abbou cède la place à Mohamed Saâd El Alami, actuel ministre en charge des relations avec le Parlement.

Ministère des relations avec le Parlement : Mohamed Saâd El Alami cède la place à Driss Lachgar.

http://www.lavieeco.com/actualites/3250-remaniement-ministeriel-pour-ce-lundi-4-janvier.html

non, ce ne sont plus des rumeurs, c'est un fait maintenant...
 
Remaniement ministériel pour ce lundi 4 janvier ?
Benmoussa, Radi et Boussaïd out, Lachgar in


Depuis 24 heures, les rumeurs de remaniement ministériel vont bon train. Aucune confirmation officielle jusqu’à présent. Les informations les plus crédibles qui circulaient ce lundi matin, faisaient état des changements suivants :

Ministère de l’Intérieur : Chakib Benmoussa cède la place à Moulay Tayeb Cherkaoui.

Ministère de la justice : Abdelouahed Radi, cède la place à Mohamed Naciri.

Ministère du tourisme et de l’artisanat : Mohamed Boussaïd cède la place à Yassir Zenagui.

Ministère de la modernisation des secteurs publics : Mohamed Abbou cède la place à Mohamed Saâd El Alami, actuel ministre en charge des relations avec le Parlement.

Ministère des relations avec le Parlement : Mohamed Saâd El Alami cède la place à Driss Lachgar.

http://www.lavieeco.com/actualites/3250-remaniement-ministeriel-pour-ce-lundi-4-janvier.html
Et abibbis dans tout ça ?
 
Avez vous le pedigree de ces nouveaux ministres ??

moulay tayeb cherqaoui, le nouveau ministre de l'intérieur est un magistrat (ancien procureur du roi et ancien président de la cour suprême)...mais c'est Sadd Hassar, qui va être le vrai ministre de l'intérieur, en gardant son poste de Secrétaire d'Etat à l'intérieur...
quant à Mohammed Naciri, le nouveau ministre de la justice, c'est un célèbre avocat et ancien bâtonnier de casa...
 
SM le Roi nomme cinq membres du gouvernement


Marrakech- Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a reçu et nommé lundi au Palais Royal à Marrakech, cinq ministres, annonce le Cabinet royal dans un communiqué.



Il s'agit, précise la même source, de Messieurs :
-Taib Cherkaoui, ministre de l'Intérieur.
-Mohamed Naciri, ministre de la Justice.
-Yassir Znagui, ministre du Tourisme et de l'Artisanat.
-Driss Lachguer, ministre chargé des Relations avec le Parlement.
-Mohamed Saad Alami, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la modernisation des Secteurs publics.
Les nouveaux membres du gouvernement ont prêté serment devant Sa Majesté le Roi.
Ces nominations, indique le communiqué, procèdent de la volonté royale de conférer une dynamique accrue aux grands chantiers de développement et aux réformes institutionnelles structurantes que conduit le Souverain.
A cet égard, Sa Majesté le Roi a engagé les nouveaux ministres à oeuvrer sans relâche, dans le cadre d'une action gouvernementale solidaire empreinte de cohérence et de convergence avec l'action parlementaire, à la consolidation de la bonne gouvernance territoriale et socio-économique. Le Souverain les a également exhortés à aller résolument de l'avant dans la réforme profonde du système judiciaire, pilier de l'Etat de droit, et dans la réalisation des objectifs du développement global, a souligné le communiqué.
A cette occasion, Sa Majesté le Roi a tenu à louer les efforts que les ministres sortants, MM. Abdelouahed Radi, Chakib Benmoussa, Mohamed Boussaid et Mohamed Abbou ont déployés à la tête des départements dont ils avaient la charge.
Le Souverain, ajoute le communiqué, a rendu un hommage particulier à M. Abdelouahed Radi pour les actions qu'il a menées à la tête du ministère de la Justice, ainsi que pour son engagement sincère en faveur du projet de réforme globale du système judiciaire. Sa Majesté le Roi lui a souhaité plein succès dans ses responsabilités à la direction de son parti et dans ses missions politiques et parlementaires au service des causes supérieures de la Nation.
A assisté à cette audience le Premier ministre, M. Abbas El Fassi.
 
SM le Roi nomme cinq membres du gouvernement


Marrakech- Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a reçu et nommé lundi au Palais Royal à Marrakech, cinq ministres, annonce le Cabinet royal dans un communiqué.



Il s'agit, précise la même source, de Messieurs :
-Taib Cherkaoui, ministre de l'Intérieur.
-Mohamed Naciri, ministre de la Justice.
-Yassir Znagui, ministre du Tourisme et de l'Artisanat.
-Driss Lachguer, ministre chargé des Relations avec le Parlement.
-Mohamed Saad Alami, ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la modernisation des Secteurs publics.
Les nouveaux membres du gouvernement ont prêté serment devant Sa Majesté le Roi.
Ces nominations, indique le communiqué, procèdent de la volonté royale de conférer une dynamique accrue aux grands chantiers de développement et aux réformes institutionnelles structurantes que conduit le Souverain.
A cet égard, Sa Majesté le Roi a engagé les nouveaux ministres à oeuvrer sans relâche, dans le cadre d'une action gouvernementale solidaire empreinte de cohérence et de convergence avec l'action parlementaire, à la consolidation de la bonne gouvernance territoriale et socio-économique. Le Souverain les a également exhortés à aller résolument de l'avant dans la réforme profonde du système judiciaire, pilier de l'Etat de droit, et dans la réalisation des objectifs du développement global, a souligné le communiqué.
A cette occasion, Sa Majesté le Roi a tenu à louer les efforts que les ministres sortants, MM. Abdelouahed Radi, Chakib Benmoussa, Mohamed Boussaid et Mohamed Abbou ont déployés à la tête des départements dont ils avaient la charge.
Le Souverain, ajoute le communiqué, a rendu un hommage particulier à M. Abdelouahed Radi pour les actions qu'il a menées à la tête du ministère de la Justice, ainsi que pour son engagement sincère en faveur du projet de réforme globale du système judiciaire. Sa Majesté le Roi lui a souhaité plein succès dans ses responsabilités à la direction de son parti et dans ses missions politiques et parlementaires au service des causes supérieures de la Nation.
A assisté à cette audience le Premier ministre, M. Abbas El Fassi.

et qu'est ce que ca change, merci aux specialiste de la politique marocaine enfin ceux qui conaissent ces messieurs de nous dire s'ils valent mieux que les precedents selon eux.....
 
J espere que les 16 regions actuelles disparaitront et ne laisseront place qu a 6 régions maximum et des vrais région qui regrouperont des villes qui sont tres proches culturellement et ethniquement sinon ca ne servirait a rien faut de véritables régions autonomes et avec leur propre parlement et ministre-président pour chacune des régions
 
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