Ukraine: l'opposition a gagné

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Hahahha espèce de clown va :D
N'oublie jamais ceci : personne n'a la prétention de détenir la vérité. Ni toi, ni moi, ne savons réellement ce qui se trame derrières les coulisses. Ce sont de simples suppositions. Ta logique et la mienne sont différentes, mais toutes deux se valent dans un forum de discussion. Tu as le droit de penser que Poutine est un ange, j'ai le droit de penser le contraire.
 
Les propos les plus simples sont les propos les plus clairs. Et tu n'es pas bien renseigné sur l'origine du conflit tchétchène visiblement...
tu devrais plus te renseigné quand je te disais que c'est bien plus compliqué :
Chronologie tchétchène :

La partie nord du Caucase est conquise et rattachée à l'Empire russe à partir de 1722 (Pierre le Grand), mais il faut attendre le milieu du 19ème siècle pour voir s'y établir une certaine stabilité.

En 1918, Tchétchènes et Daguestanais prennent le parti de la Révolution et repoussent le général blanc Dénikine ainsi que les forces d'intervention françaises et anglaises. Une République confédérée des Montagnes est créée au sein de la Russie soviétique. Cependant, dans les années 1920-30, des soulèvements sporadiques ont lieu contre le pouvoir central. En 1936, Staline - il est originaire de Géorgie - établit une République autonome de Tchétchéno-Ingouchie.

En 1942, l'armée allemande occupe une partie de la Tchétchénie, et un certain nombre d'habitants choisit la collaboration avec les nazis ; des unités de volontaires sont même constituées pour combattre l'Armée rouge*. Staline, sans trop s'attarder à faire la distinction entre patriotes et collaborateurs, fait alors déporter de nombreux Tchétchènes au Kazakhstan et dans d'autres régions de l'Union soviétique, d'où ils ne reviendront qu'avec la déstalinisation de 1956. Les choses se calment ensuite jusqu'à la fin des années 1980.

* La légion nord-caucasienne, une des six Ostlegionen, comprend 90.000 combattants (Tchétchènes et Ingouches) encadrés par 3.000 Allemands. A cela il faut ajouter les divers bataillons auxiliaires, génie, train, etc..., également composés de volontaires régionaux. Après la guerre, pour disculper la Wehrmacht - l'armée régulière -, les Allemands mettront sur le compte de ces légions de l'Est les atrocités commises contre les populations civiles.

Sans attendre l'arrivée des troupes nazies, deux chefs tchétchènes, Hassan Israilov et Mairbek Sheripov, organisent la guérilla antisoviétique. "En juin 1941, avec le déclenchement de l'opération Barbarossa, l'invasion allemande de l'URSS, l'espoir renaît chez les maquisards", peut-on lire sur www.1939-45.org, un site "apolitique" consacré à la Seconde guerre mondiale.

En novembre 1991, peu après la disparition de l'URSS, Djokhar Doudaïev, jusqu'alors général soviétique et ami du président Boris Eltsine, proclame unilatéralement l'indépendance de la Tchétchénie et son retrait de la Fédération russe. Le pipeline transportant le pétrole de Bakou vers les ports russes de la mer Noire passe en territoire tchétchène, et des contacts ont déjà été pris avec les sociétés pétrolières étrangères. Au début, Moscou ferme les yeux sur la sécession et laisse faire Doudaïev, pensant qu'il veut, comme beaucoup d'anciens fonctionnaires communistes, profiter de la situation pour s'enrichir personnellement. Mais sur place, la situation se dégrade, des groupes armés se forment et s'attaquent à la population russe et aux Tchétchènes fédéralistes qu'ils accusent de trahison. Les chefs de clans et la mafia locale font la loi. Parallèlement l'islamisme wahhabite financé par l'Arabie Saoudite prend pied en Tchétchénie et tente de réislamiser une population indifférente ou terrorisée. A Moscou, la position de Eltsine s'affaiblit et l'influence politique de l'armée grandit.

Fin 1994, l'armée russe déclenche des opérations de grande envergure : c'est la première guerre de Tchétchénie. Après de très meurtriers combats de rues et d'intenses bombardements, la capitale Grozny n'est plus qu'un champ de ruines, d'où tente de fuir la population prise entre deux feux. En janvier 1995, les groupes armés tchétchènes se réfugient dans les montagnes. En juin 1995, ils portent la guerre à l'extérieur de la Tchétchénie, investissent un hôpital à Boudionnovsk, dans une province russe voisine, et prennent 2000 otages, qui ne seront libérés par l'armée qu'au prix de lourdes pertes. Le chef du commando terroriste, Chamil Bassaïev, parvient à s'enfuir. En janvier 1996, une action similaire a lieu au Daguestan voisin. Les extrémistes tchétchènes et leurs commanditaires veulent à tout prix étendre la guerre. En avril 1996, Doudaïev, trahi par son téléphone portable, est tué par un tir de missile russe.

La même année, bien que considérant qu'il s'agit d'un conflit purement interne, le gouvernement de Moscou accepte l'envoi d'une mission de l'OSCE en Tchétchénie. La Russie pense encore que cet organisme pan-européen peut constituer un pendant aux organisations pro-occidentales dont elle est tenue à l'écart. La paix revient ; les soldats russes se retirent. Des élections ont lieu, portant à la présidence Aslan Maskhadov, qui est alors un modéré, partisan d'une république autonome laïque et multiethnique.

Mais les islamistes ne l'entendent pas de cette oreille. Comme en Afghanistan, des combattants étrangers sont recrutés en masse pour aller faire la guerre sainte contre les "mécréants" russes et leurs alliés. Un des chefs mercenaires, le Jordano-Saoudien Khattab, a d'ailleurs combattu à Kaboul. Livré à lui-même, le régime de Maskhadov ne peut guère s'opposer à la déferlante intégriste : attentats, enlèvements, massacres, détournement systématique des fonds destinés à la reconstruction... En 1998, l'OSCE et les ONG présentes sur place quittent la Tchétchénie, personne ne pouvant plus garantir leur sécurité. Dans les régions qu'ils contrôlent, Bassaïev, Khattab et leurs complices imposent la loi islamique la plus stricte.

En septembre 1999, face à l'impuissance de Maskhadov à combattre la terreur islamiste, et suite à une invasion de groupes armés tchétchènes au Daguestan, Moscou intervient de nouveau militairement : c'est la seconde guerre de Tchétchénie. Avec l'élection de Vladimir Poutine à la présidence, en mars 2000, la situation se durcit, tant sur le terrain, où il y a déjà des dizaines de milliers de morts, qu'en Russie même. A Moscou, des attentats à la bombe font des centaines de victimes.

Au printemps 2002, Khattab est liquidé dans des conditions assez louches, probablement tué par une bande rivale. Maskhadov, qui a peu à peu glissé vers l'islamisme le plus radical pour conserver "le pouvoir", et établi officiellement la sharia* dans l'ensemble de la Tchétchénie, s'allie à Bassaïev. En octobre 2002, une nouvelle prise d'otages dans un théâtre de la capitale russe se termine tragiquement (près de 200 morts).

* La loi islamique est aussi strictement appliquée en Tchétchénie qu'en Arabie Saoudite : les femmes qui ne se soumettent pas aux nouvelles règles vestimentaires sont chassées de la fonction publique et de l'enseignement ; la consommation d'alcool est passible de flagellation ; les voleurs risquent l'amputation et les exécutions sont publiques. Ces méthodes barbares imposées aux Tchétchènes par des missionnaires étrangers et par leurs complices sont rejetées par toute la population et par de nombreux responsables religieux locaux.

En mai 2004, le mufti modéré Ahmed Kadirov, président depuis 2003, est assassiné dans un attentat. Trois mois plus tard ont lieu diverses attaques terroristes à l'extérieur de la Tchétchénie (destruction simultanée de deux avions civils à Toula et Rostov, bombe dans le métro de Moscou, prise d'otages dans une école de Beslan, en Ossétie du Nord - en tout 500 morts).

Le président Poutine considère que Maskhadov et Bassaïev sont directement responsables des attentats. La presse occidentale, de son côté, présente Maskhadov comme un "modéré" avec qui la Russie devrait négocier. Le passé de cet homme prouve toutefois qu'il a plusieurs visages et qu'il est difficile de le classer définitivement dans telle ou telle catégorie. Il n'est probablement qu'une marionnette entre les mains de Bassaïev et de forces plus puissantes, de toute évidence étrangères au Caucase. (Maskhadov sera tué en mars 2005 dans une attaque des troupes russes ; le tour de Bassaïev viendra en juillet 2006.)

Depuis février 2007, Ramzan Kadirov, fils du président assassiné en 2004, est lui-même président après avoir été chef du gouvernement local. Il jouit à la fois du soutien de la population tchétchène et de l'appui de Moscou. Modérément religieux, lui aussi, Kadirov est farouchement opposé à l'influence wahhabite. Sous Kadirov, la reconstruction de la Tchétchénie fait des progrès, le sécessionnisme recule. Les anciens partisans de Maskhadov et Bassaïev ont trouvé un point de chute à Londres où le gouvernement, toujours prompt à dénoncer le "terrorisme international", est en fait un des plus grands promoteurs de ce fléau. Le milliardaire russo-israélien Berezovski, également établi en Angleterre, continue de financer généreusement ce qu'il appelle "la résistance tchétchène". L'oligarque sioniste, poursuivi en Russie pour fraude fiscale à grande échelle, se vante d'être à l'origine de la guerre de Tchétchénie.
 
Guerre d'indépendance ? Personne ne nie que la Tchétchénie a été conquise par la Russie tsariste et incorporée de force dans l'Empire, puis partiellement russifiée, et que le pouvoir soviétique ne lui a pas accordé l'indépendance, comme il l'avait fait - sous la contrainte - pour la Finlande, la Pologne et les Etats baltes. On sait que l'objectif des révolutionnaires russes (qui étaient loin d'être seulement russes) était la réalisation d'une utopie socialiste du 19ème siècle : voir se réunir librement toutes les nations du monde au sein d'une République universelle. La pression des événements (résistance de l'ancien régime, intervention étrangère, échec de la révolution hors de Russie) a très vite réduit ce projet à une simple caricature. Mais le manque de libertés individuelles en URSS ne doit pas porter à croire que l'identité, la langue*, la culture des peuples non-russes n'y ont pas été respectées. Elles l'ont été infiniment plus que cela n'a été le cas en France** pour les populations des provinces "périphériques".

* En 1917, la langue tchétchène était uniquement orale. Quelques années plus tard fut créée une écriture basée sur l'alphabet cyrillique. Certains y voient un signe de russification. Mais là où il n'y avait rien, il fallait bien mettre quelque chose. D'ailleurs, de manière similaire, des dizaines de langues locales africaines non écrites ont hérité de l'alphabet latin, de même que la langue hopi, aux USA.

** Tout comme la Russie, la France a absorbé au cours des siècles des peuples limitrophes trop faibles pour lui résister. Mais contrairement à la Russie, la France, surtout après 1789, a intégralement assimilé ces peuples, elle les a francisés, réduisant à néant tout ce qui les distinguait du reste du pays. Que la plupart des Français contemporains n'en aient pas conscience, n'y change rien et montre à quel point l'assimilation a joué. Le timide renouveau des langues régionales observé depuis une trentaine d'années n'a pas modifié la situation.

Mais l'autonomie culturelle est une chose, et l'indépendance politique en est une autre. La plupart des nations petites ou grandes sont nées d'amalgames ethniques imposés, accompagnés ou non de viols culturels. La question est seulement de savoir s'il faut, au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, annuler ces injustices de l'histoire en restaurant l'état antérieur des choses. Mais quel état antérieur ? Jusqu'où faut-il remonter ?

L'essentiel, en fait, c'est de reconnaître à quiconque désire s'exprimer dans une autre langue ou dans une autre culture, le droit et la possibilité matérielle de le faire. Là où ce droit de la personne et ce droit collectif sont respectés et appliqués sans entraves, le besoin de revenir à l'atomisation ethnique en vigueur à l'aube de l'histoire humaine ne se présente plus.

L'autre face de la médaille ethnique et nationale, c'est que les différences de cet ordre ont de tout temps été utilisées comme un levier politique et économique. Un exemple récent est celui de la Yougoslavie. Alors que cette mosaïque de peuples connaissait la paix et l'harmonie jusqu'à la fin des années 1980, la décomposition du bloc de l'Est a déclenché dans le pays une intervention sans précédent de la part de puissances extérieures. L'Allemagne, avec à sa remorque l'ensemble des pays de l'Union Européenne, le Vatican, la Turquie et d'autres pays musulmans, puis les Etats-Unis et l'OTAN ont tout mis en oeuvre pour exciter la surenchère nationaliste et religieuse des divers groupes de population, causant des guerres civiles dévastatrices suivies d'agressions militaires directes. Après douze ans d'une évolution qui n'est pas encore achevée, le territoire de l'ancienne Yougoslavie (250.000 km2, soit la moitié de la France) ne comporte pas moins de cinq Etats indépendants et quatre entités distinctes disposant d'un statut spécial. Un sort comparable attend sans doute la Russie.

La France accepterait-elle de laisser des puissances étrangères exploiter et attiser ses problèmes régionaux jusqu'à la destruction complète du pays ? Et l'Espagne ? Et le Royaume-Uni ? Quelles mesures prendraient ces Etats si on leur faisait subir ne serait-ce que 5 % de ce qu'a subi la Russie au cours de ces dix dernières années ? Les droits de l'homme seraient-ils encore au centre des débats ?

Il est évident, en ce qui concerne la Tchétchénie, que nous n'avons pas affaire dans cette région à une guerre d'indépendance menée par un peuple opprimé contre ses oppresseurs, comme on voudrait nous le faire croire. La population tchétchène, victime d'indicibles souffrances, n'a jamais été consultée à ce sujet. Quand elle a pu s'exprimer librement, elle s'est prononcée pour Maskhadov, qui ne voulait ni la guerre contre les Russes ni l'extrémisme religieux (les choses ont bien changé quelques années plus tard). Même un journal comme Le Figaro, qu'on ne peut guère soupçonner de russophilie, a pu écrire: "Après la première guerre de Tchétchénie (1994-1996), les Russes avaient accordé une indépendance de fait au président modéré Maskhadov, régulièrement élu au suffrage universel. Pour son malheur, la petite République caucasienne fut bientôt gangrenée par l'arrivée de combattants arabes internationalistes, qui ne tardèrent pas à multiplier les provocations à l'égard de Moscou."

Comme le rappelle Michel Chossudovsky dans son article mentionné plus haut, les chefs terroristes ont reçu leur formation idéologique et militaire dans des camps d'entraînement financés par la CIA en Afghanistan et au Pakistan. Le rôle des services secrets pakistanais (ISI) dans la guerre civile en Tchétchénie va beaucoup plus loin que l'approvisionnement des Tchétchènes en armes et en expertise : ces services et leurs mandataires islamiques radicaux sont en réalité ceux qui dirigent cette guerre. Et on sait que l'ISI ne s'implique jamais dans aucune action importante sans le consentement de sa grande soeur américaine.

Une solution du problème tchétchène ne peut passer que par l'arrêt de l'intervention étrangère. Les gouvernants des Etats-Unis ont le pouvoir d'y mettre fin. Mais ils se gardent bien de le faire, et pour cause. Après le 11 septembre 2001, de nombreuses organisations proches des milieux islamistes "indépendants" ont été interdites et leurs sites Internet fermés. Les terroristes tchétchènes, eux, n'ont pas de souci à se faire. Ils jouissent en Amérique de toutes les protections voulues. Leur site kavkaz.org, basé aux USA et dirigé par Movladi Oudougov, un homme de confiance du chef terroriste Bassaïev, est un des plus visités en 2002. [Entre-temps repliés à Londres, les responsables ont mis de l'eau dans leur vin, mais continuent de propager la "guerre des civilisations".]
 
N'oublie jamais ceci : personne n'a la prétention de détenir la vérité. Ni toi, ni moi, ne savons réellement ce qui se trame derrières les coulisses. Ce sont de simples suppositions. Ta logique et la mienne sont différentes, mais toutes deux se valent dans un forum de discussion. Tu as le droit de penser que Poutine est un ange, j'ai le droit de penser le contraire.


Poutine dis tu ? Ou je le soutiens ? :)
 
Rien n'est gagné à part le calme FROID
L'UKRAINE fait partie de la stratégie du bloc de guerre de la RUSSIE
une longue histoire loin de cette population qui rêvent de l'Euro et de l'Europe malade avec le chômage et pauvreté suffit de voir les émissions des restos du cœur en France
 
coup d'etat:


22 février : le Parlement, où le président élu disposait d'une majorité il y a quelques jours, devient subitement anti-Yanoukovitch (Soros a dû être très généreux) et destitue le chef de l'Etat, ce qui est parfaitement illégal puisqu'il a été élu au suffrage universel en février 2010 avec 51,9 % des voix contre 48,1 % à sa concurrente (taux de participation : 69 %). Les députés putschistes décident d'organiser la prochaine élection présidentielle (illégale) en mai 2014. Simultanément, ils annulent la condamnation de Ioulia Tymochenko (ce qui est également illégal). Ladite Tymochenko quitte sa prison et annonce qu'elle se présentera à la présidentielle (qu'elle ne manquera pas de "gagner").

Après cela, on viendra nous bassiner avec la soi-disant séparation des pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire). Il est vrai que les seuls pouvoirs qui comptent, en 2014, sont le pouvoir de l'argent, le pouvoir de l'Amérique et le pouvoir sioniste - et il n'a jamais été question de les séparer...

Le coup d'Etat a pu s'accomplir grâce à la "neutralité" (subite elle aussi) de l'armée ukrainienne. Le président Yanoukovitch n'a pas encore été arrêté par les putschistes (comme son homologue Morsi en Egypte) mais ce n'est probablement qu'une question de temps. La vengeance de Tymochenko ne va pas tarder à se manifester...

Menacé de mort, le président du Parlement ukrainien a dû démissionner
ce qui a ouvert la voie au coup d'Etat "législatif" (d'autres parlementaires sont probablement dans le même cas).
"Des groupes nazis ont envahi les principaux bâtiments du pouvoir après s'être emparés d'une armurerie militaire."

Viktor Pintchouk sponsorise lui aussi la 'révolution' par Manlio Dinucci.
Le milliardaire Pintchouk, magnat de l'acier, est la seconde fortune d'Ukraine (après Tymochenko).

Dans une première réaction au coup d'Etat, le président Yanoukovitch déclare (selon RIA Novosti) : "On tente de m'intimider et de me pousser à présenter ma démission, mais je n'ai pas l'intention de le faire... Je ne signerai aucun accord avec les bandits qui terrorisent aujourd'hui le pays et le peuple ukrainien... Je vais solliciter l'aide de la communauté internationale pour mettre fin aux activités des éléments radicaux opérant dans le pays. Ce ne sont pas des opposants, ce ne sont que des bandits... Ils ont brûlé près de 200 bureaux du Parti des régions*..."

* Le parti de Yanoukovitch - 35 % des voix aux législatives de 2010 au niveau national, 6 % à Lvov, 16 % à Kiev, 30 % dans les Carpates, 42 % à Dniepropetrovsk, 50 % à Kharkov, 51 % à Odessa, 61 % en Crimée, 76 % à Donetsk (source : Wikipédia) - carte des résultats - carte de l'Ukraine.

Pour ce qui est de la "communauté internationale", qui en grande partie sponsorise, soutient, justifie ou approuve le coup d'Etat, Yanoukovitch n'est pas au bout de ses peines...

La question qui se pose maintenant : le président est-il capable (et a-t-il la volonté) de mobiliser ses partisans ? Ils sont nombreux, même très nombreux, dans certaines régions
 

Pièces jointes

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    Янукович_по_областях_І_тур_2010.png
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Salam,

Je ne prends pas sa défense, loin de là...Mais mes parents ont la cinquantaine comme MagicBus & ils sont loin d'être des personnes âgées...Ce sont des personnes super actives & je ne comprends pas tes remarques concernant son âge...

Je te dirais même que ma grand mère chérie a un peu plus de 70 ans & elle fait toujours son pain elle même & elle marche beaucoup, elle profite de la vie quoi:D

C'était juste pour te dire que je ne voyais pas pourquoi tu utilisais l'âge pour l'attaquer...

C'était juste un petit intermède...

PS: j'insiste, je ne le défends pas, je ne le connais pas;)
C'est pas l'age son problème :)
Son problème c'est que à son age, on devrait etre sage, mais lui comme bcp de babacool, il veut singer les jeunes et les plus stupides d'entre eux, le clash entre ce qu'il est et ce qu'il veut paraitre, donne qlq chose de glauque et aussi tristes que c'est vieille qui essayent de ressembler à leurs arrière petite fille.
 
Rien n'est gagné à part le calme FROID
L'UKRAINE fait partie de la stratégie du bloc de guerre de la RUSSIE
une longue histoire loin de cette population qui rêvent de l'Euro et de l'Europe malade avec le chômage et pauvreté suffit de voir les émissions des restos du cœur en France
Les manifestants n'étaient pas nombreux (en France il y en avait bien plus contre les unions gays), seule une partie des ukrainiens voulaient la fin de ce gouvernement, l'autre le soutenait.
 
Les manifestants n'étaient pas nombreux (en France il y en avait bien plus contre les unions gays), seule une partie des ukrainiens voulaient la fin de ce gouvernement, l'autre le soutenait.
les manifestation de nantes avais regroupé 20 000 personnes, alors comment peu t'on pensé que seulement 1500 personnes aurrais suffit a renversé le gouvernement a kiev....
 
En Lybie ? Le pays a du potentiel pour se remettre sur les rails grâce a l'argent du pétrole. .
comment explique tu les 100 milliards des avoirs lybien gelé par la "communauté international" (volatilisé?) et on aide "généreusement" ce pays a auteur de 5 milliards seulement pour la reconstruction(sic), avec le propre argent du peuple lybien qui devrons encore rembourser (re sic)
 
annuler la condamnation d' une criminel et rendu coupable de corruption et d'abus de pouvoir , aux élections présidentielle pro occident pour mai 2014, on attend les coms a dormir debout nos detracteurs....
 
Dernière édition:
coup d'etat:


22 février : le Parlement, où le président élu disposait d'une majorité il y a quelques jours, devient subitement anti-Yanoukovitch (Soros a dû être très généreux) et destitue le chef de l'Etat, ce qui est parfaitement illégal puisqu'il a été élu au suffrage universel en février 2010 avec 51,9 % des voix contre 48,1 % à sa concurrente (taux de participation : 69 %).
Lol...Et comment le gouvernement de Ioulia Tymochenko a été renversé? Par un vote du Parlement. Comme hier pour Ianoukovitch.
annuler la condamnation d' une criminel et rendu coupable de corruption et d'abus de pouvoir , aux élections présidentielle pro occident pour mai 2014, on attend les coms a dormir debout nos detracteurs....
Relol: Le procès et la condamnation de Tymochenko a été considéré comme une farce par tous les observateurs. Ceci dit, cette femme avec ses éternelles tresses n'a rien de bon à apporter à l'Ukraine à mon avis.
Les vieux pervers ramènent tout au sexe :D c'est systématique chez eux :D
Hors sujet...De toute façon tout ce qui est en dehors du dine est pervers pour toi...
C'est pas l'age son problème :)
Son problème c'est que à son age, on devrait etre sage, mais lui comme bcp de babacool, il veut singer les jeunes et les plus stupides d'entre eux, le clash entre ce qu'il est et ce qu'il veut paraitre, donne qlq chose de glauque et aussi tristes que c'est vieille qui essayent de ressembler à leurs arrière petite fille.
Pffff...Les babacools ont 20 ans de plus que moi...Et encore hs...
 
oh tu sais je peu te cité des personnages "democratique" qui on du sang sur les mains, la démission et de ne pas faire appel a l'armée prouve que Yanoukovitch ne voulais pas que l'ukraine sombre dans une guerre civil encore plus sanglante, ceux qui doivent être jugé pour les tueries suite aux émeutes c'est bien l'opposition, si ça c'est passé en france tu verra comment hollande matera la revolte mais bien sur sous couvert des medias.....

C'est les préjugés ça, les pays d'Europe de l'Est sont souvent considéré comme des pays quelque peu totalitaire, donc toutes répression de manifestation sera vue comme "une énième preuve" de la dictature, en revanche, les pays d'Europe de l'Ouest sont considéré comme des démocratie droit de l'hommiste, donc toute répression de manifestation sera vue comme quelque chose de normal et légitime.
 
C'est les préjugés ça, les pays d'Europe de l'Est sont souvent considéré comme des pays quelque peu totalitaire, donc toutes répression de manifestation sera vue comme "une énième preuve" de la dictature, en revanche, les pays d'Europe de l'Ouest sont considéré comme des démocratie droit de l'hommiste, donc toute répression de manifestation sera vue comme quelque chose de normal et légitime.
Le jour où il y aura une centaine de morts au cours des manifestations en France, on pourra en reparler. Avec un seul mort dans une manifestation dans Paris, j'imagine déjà les accusations de gouvernement fasciste (surtout s'il est de droite), totalitaire et j'en passe. Quand une personne perd un œil dans un affrontement avec la police à cause d'un flashball (même pas de balles en caoutchouc, d'un flashball), c'est malheureux mais les médias "tirent" sur la police, comme quoi, ils répriment trop durement les manifestants, blessent intentionnellement, doivent être désarmés et équipés de simples matraques (ça a tellement bien marché en Angleterre avec les émeutes récentes).
Il y a d'ailleurs une sacrée différence entre les premières semaines de manifestations (où on a parfois mal au cœur pour les policiers, encerclés puis capturés par des manifestants équipés de boucliers anti-émeutes, mais sans lynchage) et les derniers jours où des civils équipés de ces mêmes boucliers se font tirer dessus en allant récupérer des camarades blessés.
Il y a également eu des policiers tués (des dépôts militaires pillés dans l'Ouest, pas mal d'armes de guerre en circulation), mais c'est encore l'histoire de la poule et de l’œuf, qui a commencé en premier ?
En attendant, de nombreux soutiens du parti dirigeant (russophile) ont quitté les rangs pour rejoindre l'opposition. L'armée s'est déclarée en dehors de tout affrontement politique. La police a décidé de ne plus intervenir contre le peuple. Il y a quand même pas mal d'indices qui laissent supposer que les manifestations en Ukraine sont loin d'être le fait de quelques agités nationalistes de l'extrême droite ukrainienne (même s'il y en a, comme dans toute manifestation contre un gouvernement).
 
Il y a quand même pas mal d'indices qui laissent supposer que les manifestations en Ukraine sont loin d'être le fait de quelques agités nationalistes de l'extrême droite ukrainienne (même s'il y en a, comme dans toute manifestation contre un gouvernement).
On est sur Bladi hein? Donc pour certains l'anti-occidentalisme est la base de toute analyse.
Qu'importe la nature du régime combattu par des manifestants, ces bladinautes soutiendront des Kadhafi, des Bachar etc. si le risque est que les opposants fassent basculer un pays vers le camp occidental (l'empire du mal).

Pour l'Ukraine la situation rappelle 2004 et la Révolution Orange: déjà se posait le problème de l'influence russe ou européenne, déjà des journalistes soulignaient que l'occident finançait les adversaires des russophiles:

En 2005: "L'auteur éclaire aussi la question d'une éventuelle "manipulation" du sursaut démocratique ukrainien. Avec, loin de tout angélisme, des éléments d'enquête qui lui permettent de montrer qu'il existait à Kiev, comme à Belgrade et à Tbilissi, un mouvement de jeunesse organisé, aidé financièrement par l'Occident - la Fondation Soros et Freedom House, une ONG dirigée par un ancien patron de la CIA (...)"

Mais le journaliste précise bien:

" mais que ces financements, s'ils ont permis le développement de la vie associative et l'émergence d'une société civile, et par conséquent aidé à créer un cadre favorable, ne doivent pas faire oublier que les changements ont été "voulus, préparés par des Ukrainiens investis dans la politique depuis l'indépendance de l'Ukraine".

http://www.lexpress.fr/informations...lution-orange_666653.html#v5xwysSz3wq8I7iK.99

On peut rajouter que ces soutiens financiers et idéoolgiques ne sont que le pendant de ce que fait la Russie en Ukraine.
Mais non suis-je bête: seul l'Occident est manipulateur. Les Russes sont des saints.
 
Salam,

Je ne prends pas sa défense, loin de là...Mais mes parents ont la cinquantaine comme MagicBus & ils sont loin d'être des personnes âgées...Ce sont des personnes super actives & je ne comprends pas tes remarques concernant son âge...

Je te dirais même que ma grand mère chérie a un peu plus de 70 ans & elle fait toujours son pain elle même & elle marche beaucoup, elle profite de la vie quoi:D

C'était juste pour te dire que je ne voyais pas pourquoi tu utilisais l'âge pour l'attaquer...

C'était juste un petit intermède...

PS: j'insiste, je ne le défends pas, je ne le connais pas;)
Pourquoi? Parce qu'ochali-piyale-elsawari a fort peu d'arguments sérieux à faire valoir. On se raccroche aux branches qu'on peut... ;)

Je ne parle pas de ses opinions (il m'arrive d'en partager quelques rares avec lui :) ), mais de la mauvaise éducation ou le caractère puéril de mauvais garnement qui transparaît dans ses interventions envers qui ne partage pas ses points de vue. :)

Mais il ne serait plus là qu'il me manquerait, le frérot. :)
 
Dernière édition:
Le jour où il y aura une centaine de morts au cours des manifestations en France, on pourra en reparler. Avec un seul mort dans une manifestation dans Paris, j'imagine déjà les accusations de gouvernement fasciste (surtout s'il est de droite), totalitaire et j'en passe. Quand une personne perd un œil dans un affrontement avec la police à cause d'un flashball (même pas de balles en caoutchouc, d'un flashball), c'est malheureux mais les médias "tirent" sur la police, comme quoi, ils répriment trop durement les manifestants, blessent intentionnellement, doivent être désarmés et équipés de simples matraques (ça a tellement bien marché en Angleterre avec les émeutes récentes).

comme si il fallait attendre qu'il y est des morts pour s'offusquer de réprimande contre une manifestation...

Il y a déjà eu des morts durant des manifestations en France, mais même sans ça, le simple fait de réprimé une manifestation avec gaz lacrymo et bouclier alors que rien ne le permet c'est déjà fasciste ! la preuve en est avec des gens parfaitement calme et pacifiste d'un coup charger par des gendarmes avec lacrymo :

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/gendarme-et-lacrymo-la-video-qui-fait-polemique-6256696.html

Il y a d'ailleurs une sacrée différence entre les premières semaines de manifestations (où on a parfois mal au cœur pour les policiers, encerclés puis capturés par des manifestants équipés de boucliers anti-émeutes, mais sans lynchage) et les derniers jours où des civils équipés de ces mêmes boucliers se font tirer dessus en allant récupérer des camarades blessés.
Il y a également eu des policiers tués (des dépôts militaires pillés dans l'Ouest, pas mal d'armes de guerre en circulation), mais c'est encore l'histoire de la poule et de l’œuf, qui a commencé en premier ?
En attendant, de nombreux soutiens du parti dirigeant (russophile) ont quitté les rangs pour rejoindre l'opposition. L'armée s'est déclarée en dehors de tout affrontement politique. La police a décidé de ne plus intervenir contre le peuple. Il y a quand même pas mal d'indices qui laissent supposer que les manifestations en Ukraine sont loin d'être le fait de quelques agités nationalistes de l'extrême droite ukrainienne (même s'il y en a, comme dans toute manifestation contre un gouvernement).

Tu es partial et minimise les faits.

La majeur parti du peuple ne veut pas d'une guerre civiles, ceci expliquant pourquoi beaucoup ce sont retiré des manifestations, mais tu pourras constaté par toi même que les manifestants violent ne sont pas moins dangereux car moins nombreux :

http://www.france24.com/fr/20131202-opposition-ukraine-kiev-violence-extreme-droite-ue/

Svoboda, est un parti d'extrême droite connu pour des actions violente, ils ont littéralement gangrené les manifestations et les ont détourné dans la violence même les manifestant pacifiste les ont dénoncé quoi de plus normal pour les forces de l'ordres que de se défendre face à eux ? il n'est pas nécessaire d'être un million pour détourné une manifestation...une poignée d'individus suffit.

Vous ne voulez voir que ce que vous avez envie de voire...
 
Dernière édition:
comme si il fallait attendre qu'il y est des morts pour s'offusquer de réprimande contre une manifestation...

Il y a déjà eu des morts durant des manifestations en France, mais même sans ça, le simple fait de réprimé une manifestation avec gaz lacrymo et bouclier alors que rien ne le permet c'est déjà fasciste ! la preuve en est avec des gens parfaitement calme et pacifiste d'un coup charger par des gendarmes avec lacrymo :

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/gendarme-et-lacrymo-la-video-qui-fait-polemique-6256696.html



Tu es partial et minimise les faits.

La majeur parti du peuple ne veut pas d'une guerre civiles, ceci expliquant pourquoi beaucoup ce sont retiré des manifestations, mais tu pourras constaté par toi même que les manifestants violent ne sont pas moins dangereux car moins nombreux :

http://www.france24.com/fr/20131202-opposition-ukraine-kiev-violence-extreme-droite-ue/

Svoboda, est un parti d'extrême droite connu pour des actions violente, ils ont littéralement gangrené les manifestations et les ont détourné dans la violence même les manifestant pacifiste les ont dénoncé quoi de plus normal pour les forces de l'ordres que de se défendre face à eux ?

Vous ne voulez voir que ce que vous avez envie de voire...

N'empêche que, contrairement a La Syrie, l'Ukraine a pu éviter la guerre civile en destituant son président.
 
Lol...Et comment le gouvernement de Ioulia Tymochenko a été renversé? Par un vote du Parlement. Comme hier pour Ianoukovitch.

comme holland qui avais reversé sarko....

Relol: Le procès et la condamnation de Tymochenko a été considéré comme une farce par tous les observateurs. Ceci dit, cette femme avec ses éternelles tresses n'a rien de bon à apporter à l'Ukraine à mon avis.

et c'est qui "tout" tes observateurs, sarko a fait bien pire, pas de proces et ni jugement non plus sans doute que en ukraine ils sont plus "honnete"" que nos belles democrasse et pas de lol nio relol, developpe vieux hyppies...
 
comme holland qui avais reversé sarko....



et c'est qui "tout" tes observateurs, sarko a fait bien pire, pas de proces et ni jugement non plus sans doute que en ukraine ils sont plus "honnete"" que nos belles democrasse et pas de lol nio relol, developpe vieux hyppies...
Y a rien à développer: tu dis que de la *****...C'est tellement *** que les bras m'en tombent...:confused:
On se demande ce que Sarko vient foutre ici...
 
Salam,

Je ne sais pas mais je te sens irrespecteux, parfois...Dans la section "islam", tu parles même de "stock à graisse" pour les personnes qui souffrent d'obésité...Honnêtement, ce n'est pas une façon de parler...Si tu veux appeler au bien, utilise la douceur, c'est ce que nous recommande notre Seigneur, Le Très-Haut...

Mais bon, tu dis des choses sensées, parfois;)


C'est pas l'age son problème :)
Son problème c'est que à son age, on devrait etre sage, mais lui comme bcp de babacool, il veut singer les jeunes et les plus stupides d'entre eux, le clash entre ce qu'il est et ce qu'il veut paraitre, donne qlq chose de glauque et aussi tristes que c'est vieille qui essayent de ressembler à leurs arrière petite fille.
 
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