Elles me disent toutes ça après.C'est pourquoi j'espère bien que tu ne prétends pas être un dieu pour ta copine !
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Elles me disent toutes ça après.C'est pourquoi j'espère bien que tu ne prétends pas être un dieu pour ta copine !
Tant que le spirituel ne prétend pas à légiférer, moi, ça me va tout à fait.
Celui-là ils l'ont de fait.Ce que je revendique pour les autorités spirituelles, c'est un pouvoir d'influence morale et éthique sur le législateur, et non pas l'exercice en propre du pouvoir législatif.
Celui-là ils l'ont de fait.
On trouve parmi les membres du CCNE un représentant des "principaux courants philosophiques et spirituels".
http://www.ccne-ethique.fr/sites/default/files/liste_membres_1.pdf
Ouaip...ben c'est pas du tout le moment pour demander ça!Pour aller plus loin, je pense que nous pourrions faire de l'actuel Conseil économique, social et écologique (CESE) un nouveau Sénat (c'était déjà ce que souhaitait le Général De Gaulle), en y ajoutant des sièges réservés aux représentants des différentes religions présentes en France (catholicisme, islam, protestantisme, judaïsme, orthodoxie, etc...).
Ouaip...ben c'est pas du tout le moment pour demander ça!
Même si je pense aussi qu'il faudrait qu'ils puissent s'exprimer.
Là encore, tu m'excuseras de trouver que ta position personnelle n'est pas conforme à l'enseignement de l'Eglise, ni même à ce que nous a laissé la Bible. La réglementation de la vie collective, y compris dans les noyaux les plus intimes où s'exerce (entre autres) la sexualité, y trouve toute sa place.
C'est à dire que, selon moi, les religions n'ont pas pour but d'adapter l'humain au lieu et au temps dans lequel il vit : elles ont au contraire comme objectif de protéger ce qui dans l'homme, malgré les modes changeantes, demeure éternel et invariable.
Moi, je verrai davantage un parti politique confessionnel comme un moyen pour la religion d'agir sur le système politique, plutôt que comme un moyen pour la société d'agir sur la religion.
Mais "on" fait les deux en même temps, d'office! Une nouvelle comme celle-ci : http://www.la-croix.com/Religion/Pa...-sur-les-femmes-diacres-2016-05-13-1200759898 est commentée dans la presse nationale et annoncée sur les radios publiques...On a déjà, je t'assure assez se travaillent à faire chez nous, avants que de vouloir influencer toute la société
Pour travailler bénévolement dans divers évêchés en étant proche des pouvoirs ecclésiastiques depuis 30 ans, je peux t'assurer qu'il n'y a rien de consensuel dans ce milieu, tu me pares juste de l'image renvoyée par besoin de délivrer un message compréhensible
Ta certitude dogmatique représente une obéissante aussi respectable que la mienne, mais je crains qu'en la matière tu ne puisses (malgré ce qui nous rassemble) jamais parler en mon nom comme moi au tien
Nous n'avons tout simplement pas reçu le même enseignement et nous n'avons pas la même lecture de la Bible
Je te précise quand même que cette position de l'Église qui te semble unitaire et évidente ainsi que l’interprétation de ta lecture Biblique, ne rencontre pas loin s'en faut tous les courants du catholicisme,
Je ne suis pas le seul catho à penser de même, serte nous sommes minoritaires mais nous existons,
en ce y compris jusqu'au plus haute instance vaticane
J'ose même affirmé que sans fracas ou idée revancharde mon courant est pour le moment au pouvoir
la prêtrise des femmes voila le combat défendu pour le moment
On a déjà, je t'assure assez se travaillent à faire chez nous, avants que de vouloir influencer toute la société
Voilà le vrai schisme entre toi et moi, et entre bien des gents dans toutes les religions
Elles doivent être au contraire en perpétuelle réflexion pour comprendre le message et sa substantielle moelle
S'attaché de maniéré littérale aux textes mène au désastre
Comprendre n'est pas récité, douté ouvrir son cœur et s'adapter aux évolutions du monde
Pour accompagner l'humain dans les bouleversements de l'évolution, voilà la mission
Mais "on" fait les deux en même temps, d'office! Une nouvelle comme celle-ci : http://www.la-croix.com/Religion/Pa...-sur-les-femmes-diacres-2016-05-13-1200759898 est commentée dans la presse nationale et annoncée sur les radios publiques...
Là je crains qu'on n'y arrive jamais totalement, et c'est pareil pour toutes les religions. La seule solution est de s'entendre sur le plus petit dénominateur commun...j'essaye juste d'expliquer Saytham qu'avant de vouloir donner un rôle d'influence officielle à l'église Catho
il faudrait déjà que tous les cathos se sentent représentés par elle,
sans quoi la représentativité ne serait qu’illusoire
Oui bien sur,
j'essaye juste d'expliquer Saytham qu'avant de vouloir donner un rôle d'influence officielle à l'église Catho
il faudrait déjà que tous les cathos se sentent représentés par elle,
sans quoi la représentativité ne serait qu’illusoire
Le problème est que de ne pas se sentir représenté par l'Eglise, en tant que catholique, revient à douter de l'inaliénabilité du don de l'Esprit saint dans cette même Eglise. Or, il s'agit bien d'un article de foi essentiel.
On peut douter des hommes en particulier, oui, même quand ils sont évêques... mais pas du corps dans son ensemble.
Là je crains qu'on n'y arrive jamais totalement, et c'est pareil pour toutes les religions. La seule solution est de s'entendre sur le plus petit dénominateur commun...
Ca, c'est votre tambouille interne et ça tant ça reste sectaire et exclusif, on s'en fout un peu.En revanche, pour ce qui est de légiférer et de rendre la justice en parallèle des autorités civiles, les religions le font déjà, aujourd'hui, un peu partout en Europe ! En France même, celui qui veut contester la validité de son mariage catholique (par exemple) doit le faire devant le tribunal ecclésiastique, que l'usage désigne sous le nom d'officialité.
Bien vois tu je ne suis pas contre l'église, ceci dit je ne souscris pas en tes dogmes, par exemple pierre tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon église, est un rajout politique reconnu par l'église
les fondements mêmes de cette institution peut-être remis en cause sans toucher au message du Christ
Outre les évidents dangers de donner plus d'influence politique aux religions l'entreprise est chimérique,
il est impossible de parler au nom de tous les croyants d'une religion
l'église ne peut nous représenter tous deux comment dès lors parlera-t-elle en nos noms,
ce n'est pas juste une diversité qui finirait par s'entendre sur l’essentiel c'est carrément des divergences sur les fondamentaux qu'il y a au sein de la communauté des croyants,
Il n'en resterait que le plus petit commun dénominateur sans grand intérêt ou des luttes intestines qui finirait par réduire au silence l'un ou l'autre courant de penser au nom d'une voi unitaire nécessaire à l'obtention du poids politique que te souhaite
Ca, c'est votre tambouille interne et ça tant ça reste sectaire et exclusif, on s'en fout un peu.
D'accord, mais dans ce cas, on ne pourra pas empêcher non-plus les "blancs" de revendiquer leur particularité blanche, ni les métis de chercher à s'affirmer. Or autant il est (relativement) facile de dire qui est catholique et qui ne l'est pas, qui est musulman et qui ne l'est pas, autant il est difficile de dire qui est "noir", "blanc", "jaune", etc...
Ce que je veux dire, c'est que la segmentation religieuse est à mon avis plus raisonnable et plus précise, et donc plus factrice d'ordre que la segmentation ethnique, qui peut se diviser en interne presque à l'infini.
A ce sujet, je consulterais bien une source officielle...
C'est ce qu'on appelle le protestantisme. Or mon avis est qu'il s'agit d'un égarement, dans le sens où le Christ est inséparable de son Eglise.
Personnellement je ne vis pas seulement ma foi catholique comme une conviction individuelle qui devrait être absolument représentée, de manière conforme, jusqu'au sommet de la hiérarchie cléricale. Ma foi catholique me fait croire que je suis le membre d'un corps éternel, l'Eglise, fondé par Dieu et en Dieu, et qui unit non seulement tous les catholiques d'aujourd'hui, mais aussi ceux d'hier et de demain. Cette communion surnaturelle donne des leçons d'humilité à mon opinion personnelle, que je ne manque pas d'exprimer quand il en l'heure, mais aussi de taire lorsque le Magistère de l'Eglise s'exprime dans un sens contraire au mien... ce qui arrive parfois !
Car je ne peux pas avoir raison contre l'Eglise, comme le petit orteil ne saurait avoir raison contre l'ensemble du corps humain. L'Eglise est aussi un organisme vivant. Et ce qui compte, c'est de rester tous ensemble dans le même bateau, au milieu de la tempête, en attendant le réveil de son capitaine.
Je ne suis pas si pessimiste. Deux mille ans d'adaptation de cette vénérable institution, malgré des dangers bien plus grands qu'aujourd'hui, doivent là aussi tempérer nos inquiétudes selon moi.
Le communautarisme n’est pas nécessairement mauvais ou un échec. Il n’est un échec que quand il se fait contre le reste de la société ou pour se protéger contre elle ; dans les autres cas, il est autant normal que la liberté d’association.Tout à fait, mais je pense que la France est en voie de communautarisation, bientôt nous serons sur les modèles anglo saxons, car la France ne sait pas faire face à l'enjeu de la diversité, l'intégration qu'ils veulent mettre en marche est datée et ne fonctionne pas.
Le communautarisme n’est pas nécessairement mauvais ou un échec. Il n’est qu’un échec que quand il se fait contre le reste de la société ou pour se protéger contre elle ; dans les autres cas, il est autant normal que la liberté d’association.
Ce n’est pas le communautarisme qui peut être un problème, plutôt ce qui le motive.
Je pense que les religions doivent rester dans la sphère privée et ne doivent pas intervenir dans la gestion de la cité qui revient à l'Etat. Après quelles influencent la vie politique forcément puisque certains électeurs les suivent.Alors... quand je parlais d'une segmentation religieuse de la société, et plus généralement de renforcer la présence des religions dans la sphère publique, je ne voulais pas m'appuyer sur l'exemple d'une segmentation violente.
Il s'agit tout simplement pour moi de reconnaître les organisations cultuelles comme des partenaires sociaux importants, et même incontournables de par leur puissance normative de facto. Les religions orientent non-seulement les tendances morales, éthiques et politiques d'une société, mais elles lui dictent en plus un certain nombre de lois qui, même non-reconnues par l'Etat, produisent des effets évidents (notamment dans la vie familiale). Je pense donc que l'Etat, plutôt que de faire comme si elles n'existaient pas, ferait mieux de les considérer comme des partenaires de valeur, à même de l'aider à préserver l'ordre social et la paix civile.
Là je parle donc d'une démarche juridique, contractuelle et égalitaire, qui ne validerait pas ni ne prolongerait un état de guerre civile antérieur... comme en Irlande du nord !
Et quand plusieurs religions sont présentes en un seul pays, on fait comme pour les syndicats et on applique la proportionnelle. Dès aujourd'hui en Europe, des évêques siègent de droit à la chambre haute du Royaume-Uni, des cadis rendent la justice privée en Thrace occidentale (Grèce), et des églises sont financées via l'impôt par l'Etat en Allemagne... Pour autant, aucun de ces pays ne voit son système démocratique remis en cause.
Témoins de Jéhovah, scientologues et vegans pendant que tu y es ? No wayVoilà, c'est exactement de ce genre de choses dont je parle !
Pour aller plus loin, je pense que nous pourrions faire de l'actuel Conseil économique, social et environnemental (CESE) un nouveau Sénat (c'était déjà ce que souhaitait le Général De Gaulle), en y ajoutant des sièges réservés aux représentants des différentes religions présentes en France (catholicisme, islam, protestantisme, judaïsme, orthodoxie, etc...).
Finalement, c'est un modèle que l'Assemblée nationale avait déjà expérimenté, de manière informelle, au moment des débats sur le mariage homosexuel :
Les religieux deviendraient des politiciens. On voit ce que ça donne. Mieux vaut qu'ils ne s'occupent que des âmes des volontaires. Ils y gagnerontOui on y arrivera jamais , et si la confrontation de nos interprétations, ressenti, idée est enrichissante au sein même de l'église, l'émergence d'un pouvoir politique officiel donné à cette institution finirait par réduire au silence l'un ou l'autre courant de penser au nom de la nécessité de parler d'une seule voix pour peser sur les débats
Je pense le contraire : à force de débat, je crois (et j'espère) qu'on arrivera à un juste milieu.Tout à fait, mais je pense que la France est en voie de communautarisation, bientôt nous serons sur les modèles anglo saxons, car la France ne sait pas faire face à l'enjeu de la diversité, l'intégration qu'ils veulent mettre en marche est datée et ne fonctionne pas.
Genre toi, tu vas me juger dans mes principes ? Me faire la morale ?
Bref : va jouer, et à plus.
une négrophobie académique ?
Olivier Pétré-Grenouilleau, ou la banalisation de la Traite
par Odile Tobner
4 décembre 2007
Depuis le Code noir (1685), rares sont les intellectuels français qui ont remis en question le socle raciste sur lequel repose notre regard sur « les noirs », africains ou antillais. Les récentes saillies négrophobes d’Hélène Carrère d’Encausse, Alain Finkielkraut ou Nicolas Sarkozy ne sont pas de malheureux dérapages mais la continuité désolante de préjugés nourris depuis quatre siècles [1].
Qui, en France, sait que Saint-Simon, Bossuet, Montesquieu ou Voltaire ont commis, sur ces questions, des pages monstrueuses ?
Que Renan, Jules Ferry, Teilhard de Chardin, Albert Schweitzer ou encore le général De Gaulle leur ont emboîté le pas ?
C’est pourtant ce que vient nous rappeler Odile Tobner dans son livre Du racisme français.
De ce livre salutaire nous publions un extrait consacré à l’historien-fétiche des grands médias : Olivier Pétré-Grenouilleau, et à la manière plus que douteuse dont il revisite l’histoire de la Traite des Noirs.
Les médias viennent de mettre en vedette un historien, Olivier Pétré-Grenouilleau, présenté religieusement comme un oracle. Il avait déjà, il y a quelque temps, dans un ouvrage de vulgarisation consacré à la question (La Traite des Noirs, paru dans la collection « Que sais-je ? » [2]) présenté le sujet à sa façon :
« Concernant les idées, presque rien n’a en effet été véritablement inventé depuis le XIXe siècle, époque à laquelle les abolitionnistes faisaient de la traite la cause du malheur de l’Afrique, tandis que leurs détracteurs n’y voyaient que la conséquence de son anarchie. »
Renvoyer dos à dos les uns et les autres est déjà scandaleux ; mais l’auteur penche en réalité du côté le plus malhonnête :
« Il serait exagéré, à la faveur d’une lecture européocentriste dépassée de l’histoire africaine, de voir dans les effets démographiques de la traite l’une des raisons essentielles du mal-développement africain. »
bla bla bla tu-ééééééé
http://lmsi.net/Une-negrophobie-academique
oui prend des sources officielles tu y trouveras aussi que:
"que celui qui n'a jamais péché jette la première pierre"
est également un ajout
dommage c'est un passage que j'aime bien , mais bon pas grave se va dans le sens général du message
Non je ne suis pas protestant
j'ai juste conscience que l'église est faite d'humain et bien que je souscrive à cet édifice je ne lui accorde pas de pouvoir divin
s'inspirer de notre église écouté réfléchir, lire nos saints tous sa oui mais de là à vouloir mettre une hiérarchie dans les pensé et ressenti non
Témoins de Jéhovah, scientologues et vegans pendant que tu y es ? No way
Ah on dirait que ca a marché, il applique enfin ce qu'il demande aux autres, il arrête de parler de son hors-sujet .
Je savais qu'on pouvait y arriver...
Je pense que les religions doivent rester dans la sphère privée et ne doivent pas intervenir dans la gestion de la cité qui revient à l'Etat.
Après quelles influencent la vie politique forcément puisque certains électeurs les suivent.
Notons cependant que le mariage pour tous fut bien la seule promesse qu'Hollande a tenu... malgré l'opposition des plus relugieux.
Je pense le contraire : à force de débat, je crois (et j'espère) qu'on arrivera à un juste milieu.
Déso je n'ai rien sous la main, j'ai fait toutes mes études dans des écoles jésuites, nous avions des cours sur le sujet,Je cherche, mais je n'ai pas encore trouvé... te souviens-tu où tu as trouvé cette information ?
Tu me permettras de ne pas être d'accord !
Cela dit, qu'on soit bien au clair : je ne prône pas la prise du pouvoir temporel par les religieux, hein ! Je ne suis pas un partisan de la théocratie. Non, ce pour quoi je milite, c'est une collaboration établie par le droit public entre l'Etat et les principales religions, concrétisée par des organes consultatifs mixtes, avec une délimitation bien marquée des prérogatives respectives