Vos vacances au bled

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion AncienMembre
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En plus j'ai une partie de ma famille qui pratique beaucoup tout ça, même à la campagne, on ma raconté des choses, Allah ou a3 lem vraies ou pas..
 
Les MRE utilisent la définition par extension du mot bled - qui correspond à l'endroit d'où l'on vient ou alors où l'on est né - Et la majorité d'entre nous est issue/originaire de ces patelins et montagnes reculés - on est donc à double titre fondés à utiliser le mot bled ))

Ils ne disent plus bled de leur vrais pays de naissance et de résidence, là où ils sont désormais enracinés.

On ne peut pas désigner tout un pays et le comparer à un patelin, c'est péjoratif pour le Maroc.
 
Coucou, Idem pas vu ça au Maroc.
J'avais vu les hanoutes, verser de l'eau devant le magasin le matin à l'ouverture. Est ce que c'est pour la propreté ? J'en doute un peu, c'était presque un rituel.
Ah grave c'est vrai ça.... Mais il ya aussi des gens qui le font devant chez eux, ça empêche la poussière de venir se coller alors que tu as nettoyer devant chez toi
 
Ils ne disent plus bled de leur vrais pays de naissance et de résidence, là où ils sont désormais enracinés.

On ne peut pas désigner tout un pays et le comparer à un patelin, c'est péjoratif pour le Maroc.

Je comprends ta gêne face à l'utilisation de ce terme - mais vraiment chez la plupart d'entre nous - il ne revêt aucune connotation négative -
 
Düsseldorf, il était 8h30 ce jour de juillet. A côté du bahnhof (la gare ferroviaire), les derniers adieux animent la place. L’agence de voyages Allich accueille ses clients, presque tous des MRE retournant au bled. Les voyageurs effectuent la pesée de leurs bagages. Un autocar à deux niveaux les attend. L’Haj, un employé de l’agence, rassure: «Inchallah, le voyage sera direct jusqu’à Casablanca». Les voyageurs commencent à charger eux-mêmes leurs sacs, valises et cartons dans la soute à bagages du premier niveau. Cela est fait un peu n’importe comment.

Les passagers feront le voyage au deuxième niveau. Un premier regard sur l’état délabré des sièges peu confortables annonce déjà la couleur: le voyage sera pénible. Après quelques heures de route, la première surprise! Malgré les promesses de l’Haj, les voyageurs sont invités à changer d’autocar à Bruxelles. Dégoûtés par l’inconfort des sièges, des passagers sont contents de ce changement.
Les places n’étant pas numérotées, les passagers en provenance de Düsseldorf doivent se contenter des sièges vacants. Se sentant lésés, certains perdent leur sang-froid. La soute est pleine à craquer. Après les dernières formalités, l’autocar reprend la route en début d’après-midi. A bord, deux personnes mettent de l’ordre. Mohamed, un grand à l’accent rifain, fixe les gens d’un regard menaçant. Il les traite avec mépris. Saïd, plus jeune et plus diplomate, se montre plus aimable. Deux chauffeurs espagnols se relaient.
Lassés, les passagers ne font aucun cas du ton provocateur de Mohamed. A n’importe quelle demande des voyageurs, Mohamed se met en colère en priant Dieu que ce voyage se déroule dans de bonnes conditions. Profitant de la bonté et la naïveté de certains passagers, Saïd leur demande de l’argent pour les frais médicaux de sa mère malade. Certains constatent la tentative d’arnaque pure et dure. D’autres, dans un élan de solidarité, mettent la main à la poche pour aider cet employé de l’entreprise de transport. Mais attention! Saïd n’accepte que des euros… No comment!
Les panneaux annoncent l’Espagne. C’est le deuxième jour de voyage. A bord, la même ambiance règne: d’un côté les propos provocateurs de Mohamed et de l’autre, les demandes d’argent persistantes de Saïd.

Les passagers somnolaient tout le temps. Vers midi, le car conduit par l’un des chauffeurs espagnols s’arrête devant un restaurant. Saïd annonce aux voyageurs qu’il s’agit d’un arrêt de quelques minutes, le temps de récupérer un passager. «Le prochain arrêt est prévu à côté d’un restaurant marocain qui sert de la nourriture hallal», dit-il pour les calmer. Les deux chauffeurs espagnols ne sont plus là. La chaleur est torride. Près de deux heures d’attente sous un soleil brûlant avant que les chauffeurs ne reviennent et c’est le départ.
A l’approche d’Algésiras, et après la première cagnotte ramassée la veille, Saïd récidive. Il organise une seconde collecte. Cette fois, c’est pour la douane. «Je veux vous éviter de perdre du temps et ne pas avoir d’ennuis. Il faut donc cotiser. L’argent collecté sera versé à des douaniers que nous connaissons bien. Pour ceux qui l’ignorent, je leur assure que c’est monnaie courante. Je vous préviens, ceux qui ne donneront rien, seront aux premières loges pour la fouille», explique Saïd qui change subitement de ton. Il devient même menaçant. L’autocar arrive à Algesiras. Il est minuit.
 
Dès qu'on embarquait et trouvait sa place dans ce bateau , en général les jeunes filles se trouvaient un coin sombre et isolé dans l'espoir qu'un prince charmant débarquasse , moi j'étais mignon et beau mais trèèès timide c'est moi qui m'isolait (tout en gardant un oeil sur ma soeur je suis Rifain bon sang faut pas déconner :fou: ) ,J'ai eu quelques discussions intéressantes mais furtives avec quelques "Roumaines" :p entre la passerelle du commandant , les cordes du canot de sauvetage et la fumée de la cheminée... à suivre si tu me donnes des hassanates
 
Düsseldorf, il était 8h30 ce jour de juillet. A côté du bahnhof (la gare ferroviaire), les derniers adieux animent la place. L’agence de voyages Allich accueille ses clients, presque tous des MRE retournant au bled. Les voyageurs effectuent la pesée de leurs bagages. Un autocar à deux niveaux les attend. L’Haj, un employé de l’agence, rassure: «Inchallah, le voyage sera direct jusqu’à Casablanca». Les voyageurs commencent à charger eux-mêmes leurs sacs, valises et cartons dans la soute à bagages du premier niveau. Cela est fait un peu n’importe comment.

Les passagers feront le voyage au deuxième niveau. Un premier regard sur l’état délabré des sièges peu confortables annonce déjà la couleur: le voyage sera pénible. Après quelques heures de route, la première surprise! Malgré les promesses de l’Haj, les voyageurs sont invités à changer d’autocar à Bruxelles. Dégoûtés par l’inconfort des sièges, des passagers sont contents de ce changement.
Les places n’étant pas numérotées, les passagers en provenance de Düsseldorf doivent se contenter des sièges vacants. Se sentant lésés, certains perdent leur sang-froid. La soute est pleine à craquer. Après les dernières formalités, l’autocar reprend la route en début d’après-midi. A bord, deux personnes mettent de l’ordre. Mohamed, un grand à l’accent rifain, fixe les gens d’un regard menaçant. Il les traite avec mépris. Saïd, plus jeune et plus diplomate, se montre plus aimable. Deux chauffeurs espagnols se relaient.
Lassés, les passagers ne font aucun cas du ton provocateur de Mohamed. A n’importe quelle demande des voyageurs, Mohamed se met en colère en priant Dieu que ce voyage se déroule dans de bonnes conditions. Profitant de la bonté et la naïveté de certains passagers, Saïd leur demande de l’argent pour les frais médicaux de sa mère malade. Certains constatent la tentative d’arnaque pure et dure. D’autres, dans un élan de solidarité, mettent la main à la poche pour aider cet employé de l’entreprise de transport. Mais attention! Saïd n’accepte que des euros… No comment!
Les panneaux annoncent l’Espagne. C’est le deuxième jour de voyage. A bord, la même ambiance règne: d’un côté les propos provocateurs de Mohamed et de l’autre, les demandes d’argent persistantes de Saïd.

Les passagers somnolaient tout le temps. Vers midi, le car conduit par l’un des chauffeurs espagnols s’arrête devant un restaurant. Saïd annonce aux voyageurs qu’il s’agit d’un arrêt de quelques minutes, le temps de récupérer un passager. «Le prochain arrêt est prévu à côté d’un restaurant marocain qui sert de la nourriture hallal», dit-il pour les calmer. Les deux chauffeurs espagnols ne sont plus là. La chaleur est torride. Près de deux heures d’attente sous un soleil brûlant avant que les chauffeurs ne reviennent et c’est le départ.
A l’approche d’Algésiras, et après la première cagnotte ramassée la veille, Saïd récidive. Il organise une seconde collecte. Cette fois, c’est pour la douane. «Je veux vous éviter de perdre du temps et ne pas avoir d’ennuis. Il faut donc cotiser. L’argent collecté sera versé à des douaniers que nous connaissons bien. Pour ceux qui l’ignorent, je leur assure que c’est monnaie courante. Je vous préviens, ceux qui ne donneront rien, seront aux premières loges pour la fouille», explique Saïd qui change subitement de ton. Il devient même menaçant. L’autocar arrive à Algesiras. Il est minuit.
Sacré Saïd..
 








L’activité au port est toujours animée et le dernier bateau est déjà parti. Il faut attendre le matin. «Tout le monde descend. Que personne ne reste dans l’auto se plient aux ordres. Un couple se rebelle tellement il en a marre. Mais c’est peine perdue. Tout le monde passe la nuit à la belle étoile. Allongés à même le sol, certains essayent de trouver le sommeil malgré le sentiment d’insécurité ressenti, sans parler des piqûres de moustiques. Des habitués utilisent leur sac de couchage. Heureusement, l’air est doux. Le staff dort bien sûr dans l’autocar. A l’aube du troisième jour, la traversée se fait en une heure à bord d’un «ferry». Certains en profitent pour faire un brin de toilette. Arrivée à Ceuta à 5h du matin. A la frontière marocaine, l’argent collecté par Saïd n’aura servi à rien. Les douaniers demandent de descendre les bagages. Sous le regard attentif des voyageurs, un agent procède à fouille de quelques sacs sans grande conviction. Cela prend beaucoup moins de temps que leur remise en place.
Seul moment de détente, lors de ce premier contact avec le sol marocain, un vendeur ambulant de thé à la menthe et de «msemmen»: la collation coûte un euro.
Après le passage de la Douane, l’autocar poursuit son chemin. Les voyageurs ignorent tout du trajet. Toute question sur l’itinéraire trouve réponse agressive. «Voyez avec l’Haj, c’est à lui de vous expliquer», répond Mohamed.
Passé Tétouan, l’autocar s’arrête dans un village où le staff se restaure gratuitement dans sa gargote habituelle. Arrivée à Tanger vers 13h. Le chauffeur refuse d’aller jusqu’à la gare routière malgré la colère des passagers. Certains menacent de faire appel à la police. Le chauffeur n’en fait qu’à sa tête. Ses acolytes ordonnent à tout le monde de descendre. Attirés par l’arrivée d’un autocar de «l’Kharij», porteurs, mendiants et taxis se précipitent sur le véhicule. En quelques secondes, la soute à bagages est encerclée.
Comme à la criée, Saïd et Mohamed sortent les bagages pêle-mêle et appellent les voyageurs pour identifier leurs sacs et valises, les mettre en lieu sûr ou se les faire porter à l’intérieur de la gare. La foule devient tellement nombreuse qu’on ne distingue plus les passagers des intrus. Les bagages entassés devant l’autocar font penser à une vente aux enchères. Le spectacle est désolant.
La criée terminée, tout le monde se dirige à l’intérieur de la gare.
L’autocar dans lequel on doit finir le voyage part dans une heure. Fatigués, affamés et surtout dégoûtés, les voyageurs veillent sur leurs bagages. Un moment d’inadvertance peut coûter cher.
Après près de deux heures, l’autocar sort de la gare. Les gens étouffent de chaleur à l’intérieur. Les voyageurs n’ont même plus la force de protester. Seul objectif: arriver chez eux et dormir. La prochaine visite au bled est renvoyée aux calendes grecques.
L’autocar fait escale à Assilah, Larache, Kénitra et Salé. De Rabat à Casa, le chauffeur a même jugé utile de «chasser» des places à gauche et à droite, question de se faire un peu d’argent. On arrive à la gare Ouled Ziane de Casablanca à 21h. Epuisés, les voyageurs on vécu un véritable cauchemar… qu’ils ne sont pas près d’oublier.
 
J'ai plus envie de sortir de ce post, je dois avoir envie d'aller au bled..
Ça me rappel les rares été ou quand j'étais jeune, le voyage au bled était annulé... C'était très rare...
.
Un. Été en mode piscine, quartier vide ( tout le monde parti) l'ennui total.
Rien à faire...
 
Ce poste me rend nostalgique :(
Quand les parents ne sont plus là, c'est définitivement une page de tourner...

Mais j'ai aimé vous lire, je n'ai pas l'expérience du Maroc mais le deblé c'est le deblé où qu'il soit en vrai, la transhumance estivale se préparait en réalité toute l'année, les mamans qui achètent des tas de babioles, vêtements pdt les soldes, sur les marchés, des lais de tissus,
Après durant les années 90 c'était la guerre re civile outre frontière, donc les souvenirs j'en ai mais peu au final...
Et à partir des années 2000, le papa n'était plus... C'est différent entre femmes le Bled, tout est plus compliqué de suite... En tout cas dans mon pays.
 
JJ Goldman...
Tu te rappel du clip 'la bas '. J'étais toute petite, ma mère était fan, des que le clip passait... C'était la joie

Magnifique chanson !!

on parlait de la campagne sur ce topic.

Ici, à Marrakech... on dit «lbarah= dehors, sous entendu, en dehors de la ville.
bref, ils disent pas l’a3robiya... sûrement car on est chleuh d’origine, je sais pas...

J’ai passé la journée fberah et c’était une bouffé d’oxygène 🤩
J’étais comme une gamine
Vive la campagne 🙌
 
Dernière édition:
franchement - j'ai jamais eu cette impression - je les connaissais qu'à travers les aires de repos - une fois mes parents avaient hébergé un famille belge que mon père avait rencontré bloquée sur la route alors qu'ils allaient au maroc - ils ont sympathisé -ils sont restés chez nous qques jours le temps de réparer leur voiture -
ça me rappelle des souvenirs tout ça lol on sympatisé tous sur les airs de repos ou quand mon père voyait une voiture arrêté sur le bas coté pareil il s'arrêté pour apporté de l'aide ils se reconnaissaient entre immigré il y avait une solidarité incroyable
J'ai plus envie de sortir de ce post, je dois avoir envie d'aller au bled..
idem j'en peux plus de ce confinement wallah!!
Ici, à Marrakech... on dit «lbarah= dehors, sous entendu, en dehors de la ville.
bref, ils disent pas l’a3robiya... sûrement car on est chleuh d’origine, je sais pas...
en fait 3ala bara = en dehors comme tu l'a dis mais ça n'a rien à voir avec la campagne c'est comme en langue française quand tu dis "en dehors de la ville" ça peut être la campagne comme le désert comme un village proche de la ville ou encore le néant lol

à marakech il me semble qu'il y a pas de campagne ? c'est plutot genre oasis non? je demande parceque je connais pas trop mais à travers les photos ou doc j'ai jamais vu de campagne à proprement parlé à marakech c'est plutot aride
 
ça me rappelle des souvenirs tout ça lol on sympatisé tous sur les airs de repos ou quand mon père voyait une voiture arrêté sur le bas coté pareil il s'arrêté pour apporté de l'aide ils se reconnaissaient entre immigré il y avait une solidarité incroyable

idem j'en peux plus de ce confinement wallah!!

en fait 3ala bara = en dehors comme tu l'a dis mais ça n'a rien à voir avec la campagne c'est comme en langue française quand tu dis "en dehors de la ville" ça peut être la campagne comme le désert comme un village proche de la ville ou encore le néant lol

à marakech il me semble qu'il y a pas de campagne ? c'est plutot genre oasis non? je demande parceque je connais pas trop mais à travers les photos ou doc j'ai jamais vu de campagne à proprement parlé à marakech c'est plutot aride
Aride avec une faune d'insectes impressionnante
 
Dès qu'on embarquait et trouvait sa place dans ce bateau , en général les jeunes filles se trouvaient un coin sombre et isolé dans l'espoir qu'un prince charmant débarquasse , moi j'étais mignon et beau mais trèèès timide c'est moi qui m'isolait (tout en gardant un oeil sur ma soeur je suis Rifain bon sang faut pas déconner :fou: ) ,J'ai eu quelques discussions intéressantes mais furtives avec quelques "Roumaines" :p entre la passerelle du commandant , les cordes du canot de sauvetage et la fumée de la cheminée... à suivre si tu me donnes des hassanates

Regarde la pièce jointe 278344

Toujours mignon mon blondin si j'étais dans ce bateau je ne passerai pas 4 chemins pour te séduire à tout jamais ..

Si seulement ...
Tu n'es pas mon prince charmant mais mon empereur charmant
 
Je comprends ta gêne face à l'utilisation de ce terme - mais vraiment chez la plupart d'entre nous - il ne revêt aucune connotation négative -

Oui c'est juste (du mépris) banalisé au point de trouver normal que tout un pays ne soit pas appelé par son nom (alors que la France Belgique etc pas de soucis avec le nom lol) , on l'appelle le patelin avec insouciance.
 
Oui j'ai de la famille partout, du coup le plus surprenant c'est que au lieu de voir des scarabées dessechés au sol, on peut voir des scorpions, ...
Ça et toutes les autres bestioles sur les murs des maisons, bestioles que je n'avais jamais vu avant
oui en général quand tu vis en bord de mer ou désert on découvre de drôles de petite bêtes lol mais quand la civilisation prend le dessus ça disparaît malheureusement!

à cap de l'eau,une nuit je vois au plafond une lumière fluo je croyais que c'était un insecte du genre luciole quand j'ai allumé la lumière c'était un scorpion 🥶 on a dû m'entendre du port lol et ces foutus jéffèfa sont jamais là quand on en a besoin lol
 
oui en général quand tu vis en bord de mer ou désert on découvre de drôles de petite bêtes lol mais quand la civilisation prend le dessus ça disparaît malheureusement!

à cap de l'eau,une nuit je vois au plafond une lumière fluo je croyais que c'était un insecte du genre luciole quand j'ai allumé la lumière c'était un scorpion 🥶 on a dû m'entendre du port lol et ces foutus jéffèfa sont jamais là quand on en a besoin lol
Je connais pas cap de l'eau moi c'était un village, 1 heure et demi de route de Marrakech environ..
 
Je connais pas cap de l'eau moi c'était un village, 1 heure et demi de route de Marrakech environ..
cap de l'eau ou ras l'ma ou encore cabouilla est un village de pêcheur (bon aujourd'hui ca c'est agrandi un peu) entre nador et berkane

magnifique village ou tout les matins au fjar j'allais sur le port observé les pêcheurs entrés ,puis j'allais courir sur la plage et allais prendre mon pti jus d'orange fraîchement pressé avec un café, puis ensuite je passais chez l'moulette méloui et ces galette géantes les meilleurs du maroc et je rentré réveillée les fainéants qui dormaient jusqu'à pas d'heure!!!
 
Je te souhaite d'épouser une belle MRM si tu n'es pas encore marié, sinon qu'un de tes enfants se marie avec un local. Seul moyen de reconciliation possible :D

Oh ben merci très chère ! Dois-je te souhaiter d'épouser un blédos, de galérer à lui faire ses papiers, à l'entretenir matériellement, à lui chercher du boulot ensuite etc... ? Non je ne te le souhaite pas ! Je te souhaite plutôt une bonne journée !
 
Oh ben merci très chère ! Dois-je te souhaiter d'épouser un blédos, de galérer à lui faire ses papiers, à l'entretenir matériellement, à lui chercher du boulot ensuite etc... ? Non je ne te le souhaite pas ! Je te souhaite plutôt une bonne journée !
Faut pas le prendre mal hein ! Ça partait d'un bon sentiment.
Tu peux me souhaiter ce que tu voudras, tant qu'il n'y a pas de malveillance derrière, mer7ba !
Le fait est que si tu me souhaites un bledos, ça va pas le faire car la polygamie n'est pas autorisée en France :D

Ah et bonne journée à toi également !
 
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