Vos vacances au bled

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zigotino a dit:
On peut être stricte mais pas organisé lol. Je crois que de toute façon, les pères marocains de cette époque étaient presque tous inspirés par SAS Hassan II :D. Ca se perd lol

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Oui lol, et ça fonctionnait bien..
Si on aurait tous suivit cette exemple, . . .
 
zigotino a dit:
C marrant, je me reconnais dans certaines de vos anecdotes. On dirait que tous les zmagris ont connu le même genre d'anecdotes lors des transhumances estivales. De très bons souvenirs. Ca mérite un film ...

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Tu te rappelles quand ce bladinaute avait parler de la transhumance et le lien de parenté des MRE avec les gnous?

Je me demande si cette comparaison n'a pas inspiré debouz pour en faire un sketch.
😂


Les MRE ont des liens de parenté avec les gnous?

ils partagent le même destin, chaque année, ils quittent leur lieu de pâturage et traversent une rivière dangereuse investi par les crocodiles et les faibles font le bonheur des vautours. Vu du Ciel - S01E01 - 3/13 - Les gnous du Masai Mara - Kenya - YouTube
www.bladi.info
 
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magicnanou a dit:
nous on était version roumaine lol et parfois pire!! nos cousins version suèdois étaient tiré par 4 épingles mais ils participaient jamais parceque leur mères leur juré que si ils revenaient avec la moindre tâche ils étaient morts lol
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..........moi c'est quand je voyais certaines de mes cousines au maroc - trop belles - je pouvais pas m'empêcher de me dire - on dirait c'est elles qui viennent de france ))............
 
magicnanou a dit:
mon père allah y rahmou parlait couramment l'espagnol et j'ai encore en tête "por favor la caratera d'el madrid"
ma première langue était l'espagnol,je me souviens quand la prof nous a demandé si on savait parlé espagnol,j'ai levé le doit et j'ai dit

por favor la caratera d'el madrir mdr
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La carretera ))
Clair t'es en 6ème, ton père il te demande de lire les panneaux en espagnol ))
Et qd tu y arrivais pas
T'avais le droit à un "8adi 8ya l'9raya" ))
 
Freyja a dit:
J'y allais pour voir les dauphins j'étais niya à cette époque je comprenais pas que c'était la zone drague ... On me poursuivait parce que tbarqellah quand j'étais jeune waw qoli swidiya zit fi chi chouya pour l'histoire passe bien ...
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C'est vrai que l'accueil des dauphins étaient chaleureux mais ça n'a rien à voir avec l'accueil des douaniers, on te sert du thé, on te sert dans ses bras et on te porte même ta valise :D

Wlad l7ram, ils avaient cette technique, pas de file de voiture mais une anarchie qui règne, quand ils veulent te fouiller, ils te demandent de sortir tes affaires, déjà certains ont met une semaine pour tout mettre en ordre, mais dès que tu sort la moitié de tes affaires et que tu les poses par terre, le douanier s'il n'a pas reçu son cadeau, il disparaît pour aller voir quelqu'un d'autres et te laisse coincé, tu ne peux pas bouger pour surveiller tes affaires étalés, les mecs qui remplissent les passeports aux chibani contre quelques dirhams commencent à tourner autour de roi comme des vautours... tu fini par cracher toutes les pesetas et les francs et les dirhams qu'ils te restent du dernier voyage pour pouvoir sortir de la jungle.

Ha wa7ed bonjour 3lek
 
Il est minuit trente, samedi 16 juillet. Le port d’Algésiras ne désemplit pas. Il est toujours pris d’assaut par les voitures et les fourgonnettes des MRE. A bout de forces, une jeune femme, agent portuaire chargée d’orienter les véhicules vers les quais d’embarquement, profite des rares moments de répit pour se reposer à même le sol. Dès que les véhicules réapparaissent, la fille se lève rapidement et reprend ses gestes.

Comme en journée, le concert des coups de klaxon continue, déchirant le silence de la nuit. Sur les quais, un grand nombre de voitures attendent leur tour pour embarquer. Mais des problèmes mécaniques du bateau, précisément au niveau de la rampe, ont retardé l’opération. Encore une fois, fatigue, attente et colère... Seules les longues étreintes de deux amoureux européens à côté de leur voiture rappellent que les vacances sont, avant tout, des moments de détente et de plaisir.
Selon des passagers, l’attente a duré plus de quatre heures. La rampe du bateau a lâché au moment où une voiture débarquait. “Nous avons frôlé la catastrophe”, racontait un MRE. Pendant que certains passagers déversent leur colère sur le personnel du bateau, d’autres, las, préfèrent fumer une cigarette, ou monter dans leurs voitures. A l’intérieur des véhicules, les femmes et les enfants jouent des coudes pour dormir. Les visages défaits, les jambes débordent des fenêtres et des portes des véhicules.
Ceux qui doivent attendre le bateau suivant sont moins angoissés. Ils savent qu’ils ont encore du temps avant d’embarquer. Du coup, le parking se transforme en camping.
Alors que certains prennent le dîner, d’autres dorment tranquillement par terre, le long des véhicules. Les mieux équipés ont prévu des sacs de couchage ou des matelas gonflables. “Cela fait plus de trente ans que je fais ce trajet. Mieux vaut être prêts à tous les cas de figure et prendre son mal en patience”, souligne un MRE. C’est vrai qu’à force de forger, on devient forgeron.
Entre-temps, les passagers de l’autre bateau ont presque tous embarqué. Les engins de nettoyage ont immédiatement entamé leur travail. Restes de nourriture, bouteilles vides, boîtes de conserve et couches de bébés, laissés par les passagers, sont aussitôt ramassés.
Selon José Manuel Del Rio, chef d’équipe de la police portuaire et responsable de la permanence pour cette nuit, il faut redoubler ses efforts pour que l’opération de transit des MRE se passe dans de bonnes conditions. L’effectif est également renforcé pour faire face à ce grand flux de passagers et de véhicules. “La situation s’améliore année après année. Mais les passagers doivent aussi faire preuve de patience et de beaucoup d’organisation”, souligne-t-il.
Contrairement à Algésiras, l’ambiance à Almeria est moins tendue en cette nuit du samedi 16 au dimanche 17 juillet. Il est 23 heures, et il fait beau. C’est la dernière étape du voyage, avant l’arrivée au “bled”. Les MRE qui empruntent la ligne Almeria/Nador sont essentiellement originaires de la région de l’Oriental. Pour la plupart d’entre eux, l’essentiel du trajet a été fait. Quelque 200 à 300 kilomètres restent à parcourir, avant la destination finale. C’est pour cela qu’ils sont moins pressés. Les visages sont plus détendus, voire souriants. Les derniers cadeaux pour la famille sont achetés au magasin du port. Le bateau (Le Mistral de la Comanav), d’une capacité de plus de 2.000 passagers et d’environ 500 véhicules, est déjà au port. Le départ est prévu à une heure et la traversée durera plus de six heures. Selon Mostapha Benhima, représentant de la Comanav à Almeria, ce bateau, le dernier pour cette journée, a affiché complet dès 17h. Ceux qui n’ont pas eu la chance d’avoir leurs billets doivent attendre le lendemain matin. A Almeria, les départs sont suspendus après minuit. Ils reprennent à sept heures du matin.
A 23h30, les passagers s’apprêtent à embarquer. Le Mistral est équipé de deux rampes pour l’embarquement des véhicules. Du coup, l’opération est exécutée avec plus de fluidité et de rapidité.
Trente minutes après l’heure prévue pour le départ, le bateau prend le large.
 
A l’intérieur, c’est le souk. Pour les passagers, le bateau est l’endroit idéal pour se reposer. Après plusieurs heures de conduite et de manque de sommeil, tous les recoins du navire sont bons pour s’allonger. Ceux qui arrivent les premiers étalent leurs affaires sur plusieurs sièges. Les autres n’ont qu’à chercher ailleurs. A même le sol, les passagers dorment dans les couloirs, sur les escaliers et même dans les endroits les plus inaccessibles. “Ce n’est pas normal que certains passagers occupent plusieurs sièges alors que d’autres se mettent par terre”, s’insurge un passager.
Pendant que les chefs de famille accomplissent les formalités administratives, les femmes préparent les sandwichs, donnent à manger aux enfants ou changent les couches des bébés.
Epuisés par le périple, les hommes s’endorment aussitôt après avoir terminé les formalités. D’autres ne s’en soucient guère. Pour eux, le bateau sert à reprendre des forces. Les formalités peuvent attendre.
Au bout de deux heures, la quasi-totalité des passagers dorment. Tous les couloirs des salons du navire, des cafés et du restaurant sont bloqués par les corps allongés.
Selon Mohamed Dahdouh, commissaire au bord du Mistral, il est très difficile de rappeler les passagers à l’ordre. “Ce sont des gens qui ont roulé pendant des heures et des heures. Nous comprenons leur situation”, souligne-t-il.
Au petit matin, la fin de la traversée est proche. Les toilettes et les douches du navire sont prises d’assaut. C’est le “hammam”. Une douche bien chaude ou un simple brin de toilette et un rasage sont nécessaires. Pour les femmes coquettes, il est impensable de garder cette mine défaite devant les cousines et les voisines du bled. Quand même, ce sont “les gens de l’kharij”.
 
Il y a 20ans en arrière , j'étais en voiture à Meknès avec ma cousine (marié) , et à un stop , une jeune fille de 20ans environ , m'a demandé mon numéro de portable :eek: , ma cousine trés énervé est descendu et te lui a foutu une baffe :wazaa:, puis elle est remonté et on est parti , chemin faisant ... ça arrive ...
Grinning smiley
 
Salam , cet story c'est passée durant mon séjour en vacances au bled il y a plus de 20ans.
Etant donnée la venue de sa majesté le roi Mohamed 6 à Meknés du 18 septembre au 23 septembre .
Un monsieur haut placé dans la hiérarchie de la Wilaya de Meknés-Tafilalet et préfecture de Meknés se promené un soir dans Meknés avec sa petite voiture personelle , et non sa grosse berline de fonction , quand soudain dans une ruelle la nouvelle Police (Croatia) lui demanda de s'arrété pour un controle ...
S'avérant que monsieur ne porté pas la ceinture de sécurité, alors la nouvelle police lui demanda de payé 100dhs pour non port de ceinture de sécurité , mais monsieur n'avais pas cet somme sur lui ...
Alors l'eux des policiers lui dis , tant pis , alors donne nous quelque chose "bach en thecha" (pour diner) , il s'éxecuta sans un mot avec les quelques dhs qu'il porté sur lui , et parti derechef . :fou:
Il s'arréte un peu plus loin , et téléphone à la sureté nationale , qui arriva aussitot et embarqua toutes les personnes présente dans la fourgonette de la nouvelle police , et direction , la prison centrale de Khénitra en attendant leur jugement...:rolleyes:
 
Dans les grandes invitations on se marre bien!!

une fois avec mes cousins on assurer le service,hop le marsal pour se laver les

mains,un petit peu de tide on soupoudre,

ensuite premiére partie,on sert cinq petite tables ornées de poulets aux

pruneaux,et aux raisins secs,levé de rideau de la soirée,à qui devait succeder

cinq mini montagnes de couscous support-ant deux chévres que l oncle avait

sacrifié,et des assiettes de "dissir".

On avait déja passé les brochettes de foie,le cousin fesait le service en tenant

la brochette comme un mousquetaire,certains crevards prenaient 2 morceaux d un

coup!les crevards!

des mains déchiraient les pains comme une feuille de papier,sitot distribué,

en 2 temps trois mouvement,il etait trempé et ingurgité à grand bruit,sla9!sla9

nous en tant qu hotes,on etaient debout attentifs au moindre besoin,eau,pain,etc

l oncle lancait de temps en temps"mathechmou!koulou!rankom fi darkoum!"

des "barakallahoufick"sortait timidement des gosiers fourrés à la pàte que

formaient:le poulet,le pain,les prunaux et le douaz,pate compacte avalee

hattivement,pour pas se faire "zamag"par les autres!

distribution de coca et de fanta,les commandes fusaient "ara el hamra""ara el

kahla"on a meme eu droit au "faneta citroen"(fanta citron)mdr!,et

au "preks"(sprite)


"elhaj allah ihdik koul!""mathchmou""zidek djaj"!l oncle inlassablement,invitait

à la deglutition.


certains se retirent et supportent le mur,la main luisante d huile..
Grinning smiley


uns seule table continuait à s acharner sur les carcasses de volailles:des

voisins,desjeunes.

mon oncle le regard sévére attendait pour servir le couscous à tout le monde en

méme temps:"ouach hadou ma ka ihchmou?"

On etait nous morts de rire!

"ouach kanou fil habs?"
Grinning smiley


lui meskine disait cela serieusement,c est quelqu un de trés stricte.

Mon cousin a eu tout le mal du monde à aller chercher cette table,mais ca va les

freins ont tenu le choc!

attention!deuxiéme service!couscous pour tout le monde!

apparement la volaille aux pruneaux n etait pour eux qu un lubrifiant de

l appareil digestif!
Smiling Smiley


ils s en envoyaient dérriére la cravate!

Il y en a méme un qui a claquer des doigts pour reclamer de leau !!dingue ca !!!
 
hajbaoui a dit:
Dans les grandes invitations on se marre bien!!

une fois avec mes cousins on assurer le service,hop le marsal pour se laver les

mains,un petit peu de tide on soupoudre,

ensuite premiére partie,on sert cinq petite tables ornées de poulets aux

pruneaux,et aux raisins secs,levé de rideau de la soirée,à qui devait succeder

cinq mini montagnes de couscous support-ant deux chévres que l oncle avait

sacrifié,et des assiettes de "dissir".

On avait déja passé les brochettes de foie,le cousin fesait le service en tenant

la brochette comme un mousquetaire,certains crevards prenaient 2 morceaux d un

coup!les crevards!

des mains déchiraient les pains comme une feuille de papier,sitot distribué,

en 2 temps trois mouvement,il etait trempé et ingurgité à grand bruit,sla9!sla9

nous en tant qu hotes,on etaient debout attentifs au moindre besoin,eau,pain,etc

l oncle lancait de temps en temps"mathechmou!koulou!rankom fi darkoum!"

des "barakallahoufick"sortait timidement des gosiers fourrés à la pàte que

formaient:le poulet,le pain,les prunaux et le douaz,pate compacte avalee

hattivement,pour pas se faire "zamag"par les autres!

distribution de coca et de fanta,les commandes fusaient "ara el hamra""ara el

kahla"on a meme eu droit au "faneta citroen"(fanta citron)mdr!,et

au "preks"(sprite)


"elhaj allah ihdik koul!""mathchmou""zidek djaj"!l oncle inlassablement,invitait

à la deglutition.


certains se retirent et supportent le mur,la main luisante d huile..
Grinning smiley


uns seule table continuait à s acharner sur les carcasses de volailles:des

voisins,desjeunes.

mon oncle le regard sévére attendait pour servir le couscous à tout le monde en

méme temps:"ouach hadou ma ka ihchmou?"

On etait nous morts de rire!

"ouach kanou fil habs?"
Grinning smiley


lui meskine disait cela serieusement,c est quelqu un de trés stricte.

Mon cousin a eu tout le mal du monde à aller chercher cette table,mais ca va les

freins ont tenu le choc!

attention!deuxiéme service!couscous pour tout le monde!

apparement la volaille aux pruneaux n etait pour eux qu un lubrifiant de

l appareil digestif!
Smiling Smiley


ils s en envoyaient dérriére la cravate!

Il y en a méme un qui a claquer des doigts pour reclamer de leau !!dingue ca !!!
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Vous êtes passer avec le truc la pour que les gens se lavent es mains, je me rappel plus du nom...
?
 
hajbaoui a dit:
Il y a 20ans en arrière , j'étais en voiture à Meknès avec ma cousine (marié) , et à un stop , une jeune fille de 20ans environ , m'a demandé mon numéro de portable :eek: , ma cousine trés énervé est descendu et te lui a foutu une baffe :wazaa:, puis elle est remonté et on est parti , chemin faisant ... ça arrive ...
Grinning smiley
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mdrrrrrrrrrr
je sais plus quel bladinaute avait raconté qu'une fille était carrément rentrée dans sa voiture ou un truc du genre alors qu'il était avec sa mère !!!!!!!!!
elles sont pas farouches ))
 
Une autre de story : " co-voiturage à l'époque de la nationale N340 "
Histoire ancienne et véridique à l'époque de la nationale N340 du coté Barcelone ,
2 personnes que je cotoie sont partis ensemble,chemin faisant , mais le premier chauffeur ,
ne voulais jamais s'arréter,alors que le deuxiéme voulais faire des halte
pour se désaltérer un peu,reposé les jambes un peu,aprés tout ces les vacances ...
ça devais arrivée , le premier est parti pressée d'arrivée au port d'Algeciras chao chao... :eek:
Le deuxiéme est arrivée avant le premier au port , il a embarqué,il est monté sur le pont avec ses gosses et à aperçu son ami et lui a fais coucou tout sourire .:wazaa:
l'autre étais bouche bée avec sa voiture au port en train d'attendre un ferry...
Car en fait , tellement pressé d'arrivée ,qu'il a eu un coup de pompe fatidique
dans les montagnes d'Andalousie (Murcia-Granada) qu'il a dormis toute la nuit,
alors que l'autre petit à petit , il a rejoins Algeciras pour embarqué trés tot le matin,
en s'arrétant quand bon lui semblé , voila , donc comme dis le vieil adage :

Rien ne sers de courir,il faut partir à point...:D
 
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