Blabla entre filles 2020

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wa lmouchkila, ils disent "la communauté musulmane se demande si il ne faut pas reporter le mois de ramadan" :D ahe bon???? qui quoi quand où? fine 8ouma 8ad la communauté qui veut reporter? :D
Sûrement les « masayminch » ...

 
Dernière modification par un modérateur:
wa lmouchkila, ils disent "la communauté musulmane se demande si il ne faut pas reporter le mois de ramadan" :D ahe bon???? qui quoi quand où? fine 8ouma 8ad la communauté qui veut reporter? :D
Malki ch3elti ... ghir wa7ed oulla zouj ra8 kouminouté hadik ..
Comme les extrémistes il suffit de 1 ou 2 pour dire des tahimarite au nom de la koumunouté
 
Moi ce qui me fait rire c'est qu'on donne ce prenom a son enfant, surtout pour les anglophones. Imagine au Maroc quelqu'un qui s'appelle Derri :D

ca fait surtout tres "vieillot" .
c'est sur pour les anglophones , c'est special mais ca va encore :p

regarde moi le niveau des gens . des dingues



Covid et Corona : les incroyables prénoms donnés à des jumeaux Indiens en pleine crise du coronavirus
 
Petite gymnastique intellectuelle Dans le texte, se cachent les noms de trente écrivains de notre belle langue française. Saurez-vous les retrouver ?
Confiné, il racontait ce qu’il ferait une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là. Ce moment semble si dur à surmonter… mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir des maux passants. Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, et racines semblent endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore. Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice. Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour. Mus, c’est le mot, mais sans le mouvement : ils se posent, l’arbre vert ne bouge presque pas. Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues. Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd'hui ? Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds. Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard. Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas. Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge pas en réalité pas. C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts. Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves. L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent. Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage.
 
Petite gymnastique intellectuelle Dans le texte, se cachent les noms de trente écrivains de notre belle langue française. Saurez-vous les retrouver ?
Confiné, il racontait ce qu’il ferait une fois libre, d’ici un mois, dans ces eaux-là. Ce moment semble si dur à surmonter… mais les mots, lierre de la pensée, permettent de s’évader un moment, de laisser fuir des maux passants. Près de la fontaine dont les flots bercent l’oreille distraite, des oiseaux volent, terre, et racines semblent endormis. Les oiseaux sont là, souverains, beaux, jeunes encore. Une tribu goguenarde qui boit l’eau et la bénédiction du soleil qui couvre leur air novice. Le rabot de l’air ne les épuise pas : ils n’en font cas, mus par la douceur du jour. Mus, c’est le mot, mais sans le mouvement : ils se posent, l’arbre vert ne bouge presque pas. Du mât naturel, ils regardent au loin, plus ou moins anges, peu ou prou statues. Braves bêtes, la becquée te les rend grands mais où est le bec aujourd'hui ? Le héros poursuit son chemin rêvé. Les ronces ardentes frôlent ses pieds. Il avance, doucement, cherchant une aide, blonde, brune, rousse, au hasard. Il a beau voir toute cette splendeur, il ne s’y trompe pas. Il a beau marcher par l’esprit, il ne bouge pas en réalité pas. C’est la force des poètes : se promener sans mouvement, sans de grands efforts. Voir la vie en beau malgré tout, malgré les épreuves. L’esprit est une gare : y passent mille idées qui s’enfuient et nous entraînent. Toujours l’art a gonflé cette voile humaine, cette force : tenir bon, jusqu’au prochain voyage.

voici pour le debut
 
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