Le numéro 2 du service régional de police judiciaire de Limoges s’est donné la mort dans son bureau, dans la nuit de mercredi à jeudi, en se tirant une balle dans la tête.
Il travaillait sur une mission de la police judiciaire dans le cadre de l’affaire Charlie Hebdo. Ce suicide intervient un peu plus d’un an après la mort d’un autre responsable du service régional de la police judiciaire de Limoges. En novembre 2013, le numéro 3 de ce service s’était lui aussi donné la mort et c’est le commissaire décédé la nuit dernière qui l’avait découvert.
Originaire de Limoges, cet homme de 44 ans avait débuté sa carrière en 1997 comme officier de police judiciaire à la direction régionale de la police judiciaire de Versailles, avant de revenir à Limoges. En 2007, il était devenu commissaire, après deux ans à l’école Saint-Cyr du Mont-Dore, avant d'être nommé chef de la sûreté départementale de la Haute-Vienne. En septembre 2010, il avait rejoint la ville de Cherbourg (Manche) pour assurer la fonction de commissaire central. Avant de revenir à Limoges en août 2012 pour être nommé directeur adjoint du service régional de police judiciaire.
Les policiers, déjà durement éprouvés par les événements de ces dernières heures, sont sous le choc. « Nous sommes tous abattus. C’était quelqu’un de très humain et de proche des gens », a témoigné Pascal Cayla du syndicat Alliance police nationale.
Une autopsie doit être pratiquée ce jeudi après-midi et une enquête a été ouverte.
http://www.lepopulaire.fr/limousin/...oges-se-suicide-dans-son-bureau_11283307.html
Ananalyse de Quenel+ :
Bien évidemment les mauvaises langues vont se ruer sur ce genre d’information et se lancer dans de vaseuses explications consistant à crier au complot.
Ils affirmeront sans aucun doute que ces deux suicides visiblement dans les mêmes locaux d’un commissaire précédé de son subordonné et tout deux liés à l’enquête dite de Charlie Hebdo, sont plus que suspect. En effet le premier disparu âgé également de 44 ans et père de 4 enfants aurait laissé à sa mort une lettre dont le contenu n’a jamais été dévoilé. Un information qui s’ajouta à la longue liste de mystères entourant cet attentat, menaçant de plonger la masse laborieuse dans l’obscurité.
Notre expérience nous amène à penser qu’il s’agit tout simplement de la malédiction des 44, une légende horrible dans laquelle les commissaires en charge des enquêtes sur Charlie hebdo vivant dans la cité maudite de Limoges finissent par se suicider pourchassés par des fantômes du passé, ni plus ni moins. Cessez de voir des bizarreries là où il n’y en a pas !