Illuminations

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Salam Mustapha;)

Aïd moubarak saïd:)

Qu'Allah, Soubhana wa ta'ala, préserve ta santé & t'accorde mille & un instants de bonheur auprès des tiens!


Salamou Aleykoumes
Mabouk aidekoumes
je vous remercie de vos messages
qui sont très riches en enseignements
a les lire me donne plus de force et bonheur
c'est mon école la madrassa

Au plaisir de vous lire
Merci
 
« J'écarterai de Mes signes ceux qui, sans raison, s'enflent d'orgueil sur terre. Même s'ils voyaient tous les miracles, ils n'y croiraient pas. Et s'ils voient le bon sentier, ils ne le prennent pas comme sentier. Mais s'ils voient le sentier de l'erreur, ils le prennent comme sentier. C'est qu'en vérité ils traitent de mensonges Nos preuves et ils ne leur accordaient aucune attention. »

Sourate 7 - Verset 146
 
Selon Abû Sa'îd Al-Khudrî, l'Envoyé d'Allah, salla llâhu 3alayhi wa sallam, a dit:

« Accordez à vos yeux leur part de dévotion. -Ô Envoyé d'Allah ! Quelle est leur part de dévotion ?
- Regarder le Coran, le méditer et tirer des enseignements de ses merveilles.»
 
"J'ai regardé tous les amis, et je n'en ai pas trouvé de meilleur que le fait de sauvegarder sa langue. J'ai pensé à tous les vêtements, mais n'en ai pas trouvé de meilleur que la piété. J'ai réfléchi à toutes sortes de bonnes actions, mais n'en ai pas trouvé de meilleure que le bon conseil. J'ai regardé toutes sortes de subsistances, mais n'en ai pas trouvé de meilleure que la patience."

Calife 'Omar
 
Ibn al-Qayyîm a dit :

"Le coeur tombe malade tout comme le corps. Alors, il se guérit par le repentir et la diète [par le fait de se préserver des péchés]. Il se rouille comme le fer avant d´être purifié par le rappel [d´Allâh Ta´âla] ; il pourrait être dépouillé [de tout sont bien] tout comme le corps de ses vêtements, avant d´être couvert par la dévotion. Il a faim et soif tout comme le corps avant sa nourriture, sa boisson en science, son amour, sa confiance, son repentir et sa servitude [auprès d´Allâh Ta´âla]."
 
ce n'est pas tout ce qui est fait au nom du soufisme c'est (effectivement) du soufisme, ce n'est pas tout ce qui est fait au nom de la spiritualité c'est de la spiritualité, ce n'est pas tout ce qui est fait au nom de la sharî'a c'est de la sharî'a, ce n'est pas tout ce qui est fait au nom du Coran c'est du Coran, ce n'est pas tout ce qui est fait au nom de la Sunna c'est de la Sunna, ce n'est pas tout ce qui est fait au nom de l'islam c'est de l'islam.

Il ne suffit pas le nom, mais il faut la réalité. Il ne suffit pas d'avoir la loi, mais il faut avoir la foi. Il ne suffit pas d'avoir l'islam, mais il faut avoir l'ihsâne. Il ne suffit pas d'avoir le qur'âne, mais il faut avoir le furqâne. Il ne suffit pas d'avoir l'écriture, mais il faut avoir la lecture. Il ne suffit pas d'avoir la science, mais il faut avoir la conscience, il ne suffit pas d'avoir le Livre, mais il faut avoir la sagesse. Les gens du Livre sont nombreux, alors que les gens de la sagesse sont peu
 
Al Qâdî 'Iyâd Ibn Mûsâ Al Yahsubî (qu'Allâh l'agrée) a dit :

« 'Alî (qu'Allâh l'agrée) a dit : J'ai interrogé le Messager d'Allâh (salla Llâhu 'alayhi wa sallam) sur sa Sunnah et il me répondit :

« La connaissance est mon capital, la raison est le fondement de ma foi, l'amour est mon principe, l'ardent désir est mon vaisseau, l'invocation d'Allâh est mon confident, la confiance est mon trésor, la science est mon arme, la patience est mon habit et le contentement est mon butin. L'indigence est ma gloire, l'ascèse est mon métier, la certitude est ma nourriture, la véracité est mon intercesseur, l'obéissance me suffit, l'effort dans la voie d'Allâh est mon caractère et la prière constitue la prunelle de mes yeux. ». »

Et il est dit dans une autre version : « Le fruit de mon cœur réside dans sa mention, ma tristesse est vouée à ma Ummah et mon ardent désir est voué à mon Seigneur. ». »

Source : Kitâb Ush Shifâ° Bi Ta'rîf Huqûq Il Mustafâ° du Qâdî 'Iyâd Ibn Mûsâ Al Yahsubî (qu'Allâh l'agrée).
 
"Lorsque les hommes ont abandonné le jugement par le Coran et la Sunna, ont cessé de s’y référer, ont cru qu’il n’était pas suffisant de se contenter de cela, et ont préféré les avis, les analogies, les choix et les paroles des hommes, leur saine nature en a été pervertie, leur cœur s’est assombri, leur compréhension en devint confuse et leur raison déficiente."


l'Imam Ibn Al-Qayyim Al-Jawziya rahimahullah
 
«Si le coeur se nourrit de rappels, s'abreuve de méditation et se purifie de toute souillure, il sera alors témoin de phénomènes étonnants, et Allah lui inspirera la sagesse.»

On peut donc etre inspiré de sagesse, ibn el qayyim n'exclut pas que l'inspiration continuera pour toujours
Contrairement à la révélation qui s'arrete à Mohammed (pbsl) :)
 
Et alors Mou3allim, tu perds les bonnes manières? Tu ne passes plus le salam?
Salam,
Quel est le rapport avec la révélation?

Salam, merci pour le rappel, il est bénifique pour les croyants
Allah awha à la mère de Moussa de le jeter dans le yamm
Allah awha aux abeilles, Allah awha à Marie de faire bouger l'arbre

La mère de moussa et la mère de Jesus n'ont pas reçu de révélations
et pourtant il est dit Awha, de meme que pour les abeilles

la bonne traduction est que dieu les a inspiré et non leurs a révélé
Mais si des gens disent non révélé et persistent, donc comment ils la bloquent pour les humains et la permettent aux abeilles, moi je suis de ceux qui disent il y'a
Grande révélation comme chez les prophetes
et Petites révélations (ou inspirations) pour les pieux et meme les femmes (comme la mère de jesus et la mère de moussa dans le coran) et meme pour les animaux et les insectes, Allah les a inspiré des choses
 
Honnêtement, je n'ai pas saisi le lien avec ma citation...Cela parle de méditation, d'abreuver le coeur de sagesses...De se rapprocher du sens du Message révélé...

Mais bon, en même temps, je lutte contre le sommeil mais là je rends les armes...

Bonne nuit:)



Salam, merci pour le rappel, il est bénifique pour les croyants
Allah awha à la mère de Moussa de le jeter dans le yamm
Allah awha aux abeilles, Allah awha à Marie de faire bouger l'arbre

La mère de moussa et la mère de Jesus n'ont pas reçu de révélations
et pourtant il est dit Awha, de meme que pour les abeilles

la bonne traduction est que dieu les a inspiré et non leurs a révélé
Mais si des gens disent non révélé et persistent, donc comment ils la bloquent pour les humains et la permettent aux abeilles, moi je suis de ceux qui disent il y'a
Grande révélation comme chez les prophetes
et Petites révélations (ou inspirations) pour les pieux et meme les femmes (comme la mère de jesus et la mère de moussa dans le coran) et meme pour les animaux et les insectes, Allah les a inspiré des choses
 
N´ont-ils pas vu les oiseaux au-dessus d´eux, déployant et repliant leurs ailes tour à tour? Seul le Tout Miséricordieux les soutient. Car Il est sur toute chose, Clairvoyant.

Ayat 19, sourate Al Mulk.

Il a été rapporté que Abdallâh Ibn Mass'oûd (radhiallâhu 'anhu) a dit :
"Quiconque récite la Sourate « al-Mulk » [ La Royauté ] chaque nuit, Allâh le préservera du supplice de la tombe. Du temps du Messager d'Allâh (sallallahu 'alayhi wa sallam) nous l'appelions « al-Mâni'ah » [La protectrice]. Elle est, en fait, une Sourate du Qor'ân dont la récitation chaque nuit est source d'une bonne et grande rétribution. »
 
L’Imam Al Ghazali a dit : « l’Homme de science est comme le soleil : il éclaire pour lui-même et pour les autres ».

Ah l'imam ghazali .... Une montagne parmi les montagnes
Le Prophète Muhammad, salla llâhu 3alayhi wa sallam, a dit :

"Quelque dépense que tu engages, il s'agit d'une aumône, même la bouchée que tu mets dans la bouche de ta femme."

Ça c'est uniquement pour ceux qui sont marier , sinon leur reste ce contentera de sa propre bouche :D
 
Prière de la sérénité:

Mon Dieu,
Donnez-moi la sérénité
D'accepter
Les choses que je ne puis changer,
Le courage
De changer les choses que je peux,
Et la sagesse
D'en connaître la différence.

Je l'aime bien, bien que je sois agnostique.
 
"Repens-toi et reste ferme dans ton repentir. En effet, ce qui importe ce n'est pas le repentir lui-même, mais la fermeté du repentir. Ce qui importe ce n'est pas la plante, c'est sa vigueur, son enracinement et ses fruits. Attachez-vous à vous conformer à D'Allah, Soubhana wa ta'ala, dans les épreuves et dans l'adversité, dans la pauvreté et dans la richesse, dans les difficultés et dans l'aisance, dans la maladie et dans la bonne santé, dans le bien et le malheur, dans le don et dans la réserve. Je ne vois pas d'autre remède pour vous que de vous en remettre à Allah, Soubhana wa ta'ala."


Abd-el-Qader al-Jilani
 
Poême d'Al Ghazali quelques minutes avant son décès.


"Dites à mes amis qui, me voyant mort, pleurent pour moi avec tant de douleur,

Ne croyez pas que le cadavre que vous voyez est moi-même. Je vous dis que ce n’est pas moi.

Je suis un esprit, ceci n’est rien que de la chair qui fut pendant un certain moment ma demeure et mon vêtement.

Je suis un trésor maintenu caché par un talisman, entouré par de la poussière, qui lui servit de manteau.

Je suis une perle, qui abandonna sa coquille désertifiée. C’était ma prison, où j’ai passé mon temps dans la peine.

Je suis un oiseau, et ce corps est ma cage de laquelle je me suis envolé.

J’ai passé mon chemin et vous êtes restés. Votre demeure n’était pas l’endroit où je suis supposé loger.

Ne pensez pas que la mort est la mort, non, c’est la vie et c’est la plus belle des espérances."

Quel astre:love:
 
Quelqu'un m'a demandé mon âge, après avoir vu la vieillesse grisonner sur mes tempes et les boucles de mon front.

Je lui ai répondu : une heure.

Car en vérité je ne compte pour rien le temps que j'ai par ailleurs vécu.

Il m'a dit : "Que dites-vous là ? Expliquez-vous. Voilà bien la chose la plus émouvante."

Je dis alors :

"Un jour, par surprise, j'ai donné un baiser, un baiser furtif, à celle qui tient mon coeur.

Si nombreux que doivent être mes jours, je ne compterai que ce court instant,
car il a été vraiment toute ma vie."

Abû Muhammad Alî ibn Hazm
 
Quelqu'un m'a demandé mon âge, après avoir vu la vieillesse grisonner sur mes tempes et les boucles de mon front.

Je lui ai répondu : une heure.

Car en vérité je ne compte pour rien le temps que j'ai par ailleurs vécu.

Il m'a dit : "Que dites-vous là ? Expliquez-vous. Voilà bien la chose la plus émouvante."

Je dis alors :

"Un jour, par surprise, j'ai donné un baiser, un baiser furtif, à celle qui tient mon coeur.

Si nombreux que doivent être mes jours, je ne compterai que ce court instant,
car il a été vraiment toute ma vie."

Abû Muhammad Alî ibn Hazm

Moi je n'ai pas encore donné ce baiser mais j'ai donné autre chose et je suis marqué par un autre moment
Chacun de nous est marqué par des souvenirs
 
« Je connais la souffrance des orphelins,
Car l’ombre de mon père s’éloigna de ma tête,
C’était aux côtés de mon père seul,
Que j’avais la tête couronnée. »

Paroles de Saadi

Qu'Allah, Soubhana wa ta'ala, préserve la santé de nos parents. Amine.
 
"Les enfants d'Adam font partie d'un corps
Ils sont créés tous d'une même essence
Si une peine arrive à un membre du corps
Les autres aussi, perdent leur aisance
Si, pour la peine des autres, tu n'as pas de souffrance
Tu ne mériteras pas d'être dans ce corps."

Poème de Saadi
 
« Voici le monde, gardez-vous en » (Sayyidunâ 'Îsâ)

Un jour, un homme accompagnait Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) lui disant : « Je veux rester avec toi et être ton compagnon. »

Ils se mirent en route et arrivèrent sur la berge d'une rivière, où ils s'assirent pour manger. Ils avaient trois miches de pain. Ils en mangèrent deux, et il en restait une troisième. Alors Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) se leva et alla à la rivière pour boire. Quand il revint, il ne trouva plus la troisième miche, aussi demanda-t-il à l'homme : « Qui a prit la miche ? » ; « Je ne sais pas. » répondit l'homme.

Sayyidinâ 'Îsâ reprit la route avec l'homme, et il vit une biche avec deux de ses petits. Sayyidinâ 'Îsâ appela l'un des deux, qui vint à lui. Alors Sayyidinâ 'Îsâ le tua, le fit rôtir et le mangea avec son compagnon. Puis il dit au jeune cerf : « Relève-toi avec la permission d'Allâh. » Le cerf se leva et partit. Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) se tourne alors vers son compagnon et dit : « Je te demande au nom de Celui qui t'a montré ce miracle, qui a pris la miche ? » ; « Je ne sais pas. », répondit l'homme.

Les deux hommes arrivèrent alors à une étendue d'eau dans une vallée. Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) prit l'homme par la main et ils marchèrent sur l'eau. Quand ils eurent traversés, Sayyidinâ 'Îsâ lui dit : « Je te demande au nom de Celui qui t'a montré ce miracle, qui a pris la miche ? » ; « Je ne sais pas. », répondit l'homme.

Ils arrivèrent alors à un désert sans eau et ils s'assirent sur le sol. Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) commença alors à rassembler un peu de terre et de sable, puis il dit : « Transforme-toi en or avec la permission d'Allâh. », et c'est ce qui se produisit. Sayyidinâ 'Îsâ répartit l'or en trois parts et dit : « Un tiers pour moi, un tiers pour toi, et un tiers pour celui qui a pris la miche. » L'homme dit : « C'est moi qui ai prit la miche. » Sayyidinâ 'Îsâ dit alors : « Tout l'or est pour toi. »

Puis Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) le quitta. Deux hommes tombèrent sur l'homme par hasard dans le désert avec l'or, et ils voulurent le voler et le tuer. Il leur dit : « Partageons-le en trois parties entre nous, et envoyons l'un de vous deux à la ville pour nous acheter quelque chose à manger. » L'un d'entre eux fut envoyé, et il se dit à lui-même : « Pourquoi devrais-je partager l'or avec ces deux-là ? Je vais plutôt empoisonner la nourriture et j'aurai tout l'or pour moi. » Il partit, et c'est ce qu'il fit.

Entre-temps, les deux qui étaient restés en arrière se dirent l'un à l'autre : « Pourquoi devrions-nous donner un tiers de l'or ? Tuons-le plutôt quand il reviendra et partageons l'argent entre nous. »

Quand l'autre revint, ils le tuèrent, mangèrent la nourriture empoisonnée et moururent. L'or resta dans le désert avec les trois hommes à côté de lui. Sayyidinâ 'Îsâ (que Le Salut et La Paix d'Allâh soient sur lui) passa par là, les trouva dans cette situation, et dit à ses compagnons qui l'accompagnait : « Voici le monde. Gardez-vous en. ».

Histoire rapportée par :

* Al Imâm Abû Bakr Ibn Abî Ad Dunyâ (qu'Allâh l'agrée) dans Kitâb Ul Qana'ah wa At Ta'affuf.

* Al Imâm Abû Hâmid Al Ghazâlî At Tûsî (qu'Allâh l'agrée) dans Al Ihyâ 'Ulûm Ud Dîn.

* Al Imâm Abû Tâlib Al Makkî (qu'Allâh l'agrée) dans Qût Ul Qulûb.

* Al Imâm Muhammad Ibn Al Walîd At Turtushî (qu'Allâh l'agrée) dans Sirâj Ul Muluk.

* Al Imâm 'Alî Ibn Al Hasan Ibn 'Asakîr (qu'Allâh l'agrée) dans Sirât As Sayyid Al Masîh.

Source francophone : Un Musulman nommé Jésus de Tarif Khalidî aux éditions Albin Michel.
 
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