Le cas Rima Hassan

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Trackergirl
  • Date de début Date de début
Je rappelle que ceux qui ont critiqué LFI depuis l'intérieur, c'est notamment pour appeler à plus de démocratie
Quand même extraordinaire qu'un parti qui se prétend proche du peuple ne donne pas le pouvoir à ses militants de désigner les cadres du parti
Je suis attentivement ce qui se passe au sein de La France Insoumise et jusqu'à présent je n'ai rien vu de contraire à la démocratie interne. Oui, les mélenchonistes ont réglé leurs comptes avec leurs adversaires de l'intérieur, mais la manière dont ils ont réglé leurs comptes était démocratique. Les mélonchonistes ont éliminé leurs opposants internes par des moyens légaux. Si leur façon de procéder n'était pas légale, nous aurions vu ces opposants recourir à la justice et non aux médias.

Autre point qui a retenu mon attention : l'attachement des Insoumis à la candidature d'un homme qui avait été incarcéré pour violences conjugales. Pour moi, cet attachement est un message intelligent adressé à tous ceux qui ont un casier judiciaire. C'est comme s'ils leur disaient : "On s'en fiche de votre passé. Ce qui nous intéresse, c'est votre présent et ce que vous serez dans le futur".

Grâce à ce message, les Insoumis cherchent à gagner la sympathie et le soutien de ces groupes qui ont été punis pour leurs erreurs du passé, et qui ont le droit d'étudier, de travailler et de s'engager dans des activités associatives et politiques comme le reste des citoyens.

Le scandale suscité par cette candidature était un coup de pub gratuit pour la France Insoumise... Aujourd'hui ces groupes savent très bien qui respecte leur identité, leur citoyenneté, leurs libertés et leurs droits et qui les stigmatise et les considère citoyens de second degré.
 
Je suis attentivement ce qui se passe au sein de La France Insoumise et jusqu'à présent je n'ai rien vu de contraire à la démocratie interne. Oui, les mélenchonistes ont réglé leurs comptes avec leurs adversaires de l'intérieur, mais la manière dont ils ont réglé leurs comptes était démocratique. Les mélonchonistes ont éliminé leurs opposants internes par des moyens légaux. Si leur façon de procéder n'était pas légale, nous aurions vu ces opposants recourir à la justice et non aux médias.

Il faut mieux regarder. Melenchon a éléminé ceux qu'il considérait opposés à sa vision interne à la façon d'un dictateur. Comme c'est sa prérogative, il en utilise et il n'y pas de recours légal, donc l'argument consistant à dire qu'ils auraient eu recours à la justice n'est guère pertinent dans la mesure où rien n'empêche légalement mélenchon de ne pas renouveler les mandats de qui il veut en tant que chef de parti. Sur le fond, cependant, cela relève bel et bien d'une manoeuvre stalinienne où il fait taire par la force les voix discordantes.

Il s’assure de fracturer le front unitaire pour mieux garder la main après le second tour des législatives, le 7 juillet.

Autre point qui a retenu mon attention : l'attachement des Insoumis à la candidature d'un homme qui avait été incarcéré pour violences conjugales. Pour moi, cet attachement est un message intelligent adressé à tous ceux qui ont un casier judiciaire. C'est comme s'ils leur disaient : "On s'en fiche de votre passé. Ce qui nous intéresse, c'est votre présent et ce que vous serez dans le futur"

Grâce à ce message, les Insoumis cherchent à gagner la sympathie et le soutien de ces groupes qui ont été punis pour leurs erreurs du passé, et qui ont le droit d'étudier, de travailler et de s'engager dans des activités associatives et politiques comme le reste des citoyens.

Assez amusant comme interprétation :). Ca peut aussi être compris comme le fait de banaliser la voilence conjuguale en permettant à un condamné pour de tels faits de siéger au parlement :rolleyes:...Et que pour mélenchon, suivre ses idées est plus important que de ne pas violenter sa compagne...

Le scandale suscité par cette candidature était un coup de pub gratuit pour la France Insoumise... Aujourd'hui ces groupes savent très bien qui respecte leur identité, leur citoyenneté, leurs libertés et leurs droits et qui les stigmatise et les considère citoyens de second degré.

Il n 'y a pas eu de pub, juste un scandale. Atel point que la gars a eu la décence de retirer sa candidature
 
Il faut mieux regarder. Melenchon a éléminé ceux qu'il considérait opposés à sa vision interne à la façon d'un dictateur. Comme c'est sa prérogative, il en utilise et il n'y pas de recours légal, donc l'argument consistant à dire qu'ils auraient eu recours à la justice n'est guère pertinent dans la mesure où rien n'empêche légalement mélenchon de ne pas renouveler les mandats de qui il veut en tant que chef de parti. Sur le fond, cependant, cela relève bel et bien d'une manoeuvre stalinienne où il fait taire par la force les voix discordantes.

C'est un peu plus que cela ! Manœuvre contre manœuvres ! C'est pas un probléme de vision mais de coups tordus ...
Quand tu t'opposes tu quittes un mouvement pour rejoindre d'autre qui sont plus compatibles avec ton point de vu , tu complotes pas en secret avec ces autres ...Ceux qui ne faisaient pas parti de LFI ont été investi , Ruffin ( Picardie Debout ) ou Autain ( Essemble) par exemple ils sont libre d'aller à des réunions secrètes avec qui ils veulent même si ils siègent avec LFI au parlement ...

On en reparle après le 7 juillet

En attendant les Média font de Mélenchon un dictateur stalinien mais Macron il peut gérer toutes les candidatures à tous les niveaux , décider seul de tout mais c'est pas un probléme !


On peut parler aussi des petits meurtres entre amis du parti de l'ordre et de la discipline , les bonapartistes des Républicains avec l'épisode Ciotti!
 
C'est un peu plus que cela ! Manœuvre contre manœuvres ! C'est pas un probléme de vision mais de coups tordus ...
Quand tu t'opposes tu quittes un mouvement pour rejoindre d'autre qui sont plus compatibles avec ton point de vu , tu complotes pas en secret avec ces autres ...Ceux qui ne faisaient pas parti de LFI ont été investi , Ruffin ( Picardie Debout ) ou Autain ( Essemble) par exemple ils sont libre d'aller à des réunions secrètes avec qui ils veulent même si ils siègent avec LFI au parlement ...

On en reparle après le 7 juillet

En attendant les Média font de Mélenchon un dictateur stalinien mais Macron il peut gérer toutes les candidatures à tous les niveaux , décider seul de tout mais c'est pas un probléme !


On peut parler aussi des petits meurtres entre amis du parti de l'ordre et de la discipline , les bonapartistes des Républicains avec l'épisode Ciotti!

Le propre d'une démocrartie c'est le débat évolutif. Et pas la sanction bête et méchante de quiconque ne pense pas comme le "patron". Le débat est le prpore de chaque parti et c'est ce qui fait évoluer ses idées. Chez LFI, c'est mélenchon qui dicte pour tout le monde ce que doivent être les idées et quiconque ne s'y plie pas est mis sur la touche.

C'est ce qui sépare un fonctionnement interne démocratique d'un totalitarisme oligarchique.
 
Je suis attentivement ce qui se passe au sein de La France Insoumise et jusqu'à présent je n'ai rien vu de contraire à la démocratie interne.

Encore heureux qu'ils respectent la loi ! On va quand même pas s'en réjouir, non, si ?
Ce n'est pas un parti politique, c'est un mouvement - c'est pour ça que les règles sont à la discrétion du tribun et tu as l'air de bien t'en accommoder pour un démocrate - ça ne me surprend pas ceci dit, quand je vois la facilité avec laquelle certains tressent des lauriers à Poutine et consorts et en même temps appellent à l'instauration de la république au Maroc - Pour en revenir à LFI, les propos de Rima Hassan sont violents, et si cette violence dans le verbe t'indiffère, ne reproche pas à d'autres d'y avoir recours (le recours au terme de traitre) !

La face sombre du tribun

Comment elle s’appelle, déjà ?" C’est par cette phrase que Jean-Luc Mélenchon, leader de La France insoumise, a semblé feindre l’oubli du nom de Manon Aubry, pourtant une figure centrale de la campagne en vue des élections européennes en juin prochain. Cette remarque, prononcée lors des journées d’été de LFI à Valence en 2022, et relayée le 9 mai dernier par nos confrères du journal Le Monde, illustre une relation complexe entre Mélenchon et Aubry, marquée par des tensions et des moments de soutien fluctuants.

Engagée en politique au sein de LFI depuis 2018, Manon Aubry a rapidement gravi les échelons pour devenir la tête de liste du parti aux élections européennes de 2019 et de 2024. Cependant, sa relation avec Jean-Luc Mélenchon n’a pas toujours été simple. Bien que vantée par ce dernier comme "la plus jeune présidente d’un groupe au Parlement européen" lors d’un meeting à Roubaix en avril dernier, la campagne européenne de Manon Aubry a été largement éclipsée par Jean-Luc Mélenchon et par l’émergence de Rima Hassan, une nouvelle figure de LFI. Le patron des "insoumis" a choisi de mettre en avant le conflit israélo-palestinien, reléguant les thèmes de campagne de Manon Aubry, tels que la lutte contre la vie chère et les traités de libre-échange, au second plan. "J’essaie de faire campagne sur mes sujets. Je n’ai ni la maîtrise ni le contrôle des propos de Jean-Luc Mélenchon", a déclaré la députée européenne auprès de nos confrères, visiblement frustrée.
 
Autre point qui a retenu mon attention : l'attachement des Insoumis à la candidature d'un homme qui avait été incarcéré pour violences conjugale

Que du beau monde dis-donc

Ils sont pas très regardants ceci-dit

Ce dimanche au micro de BFM-TV, c'est Manuel Bompard qui a volé au secours du leader antifa. Le coordinateur de la France insoumise a d'abord nié les accusations de violences prêtées à Raphaël Arnault : "Il n’y a aucune violence dans l’action qui a été celle de la Jeune Garde, qui est un mouvement de résistance contre l’extrême droite". La Jeune Garde ne s'est pourtant jamais cachée d'affronter physiquement ses opposants d'ultra-droite, organisant même des camps d'entraînement à la boxe.

Concernant la fiche S, Manuel Bompard botte là encore en touche : "Sauf erreur de ma part, la fiche S n’est pas une condamnation, la fiche S n’est pas une décision, la fiche S n'est pas une sanction. Il y a des gens qui sont fiché S pour leurs engagements écologistes, syndicalistes. Je trouve ça assez scandaleux d'ailleurs".

Grâce à ce message, les Insoumis cherchent à gagner la sympathie et le soutien de ces groupes qui ont été punis pour leurs erreurs du passé, et qui ont le droit d'étudier, de travailler et de s'engager dans des activités associatives et politiques comme le reste des citoyens.

Ils composent avec des éléments qui reflètent le mouvement, complètement border-line
Ils poussent au communautarisme pour se présenter par la suite comme les défenseurs des musulmans
Ils poussent à la construction de minorités sexuelles pour se présenter par la suite comme les défenseurs de ces dernières

Quelle société dessinent t-ils ?

Le scandale suscité par cette candidature était un coup de pub gratuit pour la France Insoumise... Aujourd'hui ces groupes savent très bien qui respecte leur identité, leur citoyenneté, leurs libertés et leurs droits et qui les stigmatise et les considère citoyens de second degré.

Une image reluisante
Surtout quand Panot appelle à voter contre Corbière
La grande classe !
 
@Barlamane
Comme je l'ai déjà dit, je ne crois pas à l’intérêt du dialogue avec les dirigeants du Polisario. Aujourd’hui, ses leaders ne sont plus aussi honnêtes qu’ils l’étaient leurs prédécesseurs par le passé. Aujourd’hui, la direction du Polisario est une direction corrompue, qui exploite le conflit sahraoui pour s’enrichir et servir ses propres intérêts.

Des aides très importantes sont accordées aux réfugiés sahraouis dans les camps de Tindouf. Des organisations affiliées aux Nations Unies, d'autres affiliées à l'Union européenne, divers pays et ONG, envoient tous de nombreuses aides financières, sanitaires, alimentaires et logistiques à ces camps, dont seules les miettes parviennent aux réfugiés sahraouis... et le reste est détourné et partagé entre les dirigeants du Polisario et les généraux algériens.

À cause de ça, je ne vois aucun intérêt à négocier avec de tels dirigeants. Ça ne servira vraiment à rien. Mais il est possible de procéder d'une manière qui va les affaiblir et déstabiliser tous ceux qui reconnaissent leur république bananière ou soutiennent leur droit à l'autodétermination. Ceci n’est pas difficile si l’on arrive à bien apprendre des expériences passées et des leçons de l’histoire des anciens émirats du Maroc.

En observant cette histoire, on voit que bon champ semé, bon blé rapporte ; et qui sème le vent, récolte la tempête. Plus les conditions économiques et sociales de la population du Maroc s'améliorent, plus elle se rassemble autour de l'État marocain et plus le désir d'y appartenir devient fort. Plus ces conditions se détériorent, plus le degré de loyauté envers cet État se disloque et plus le nombre de révolutions, de coups d’État internes et de mouvements séparatistes augmente. Plus le Maroc est fort et avancé, plus les peuples des pays voisins veulent le rejoindre, tout comme de nombreux jeunes du Nord rêvent aujourd'hui de se séparer du Maroc et de rejoindre l'Espagne. Plus il est faible et arriéré, plus l’État perd de sa popularité et plus il y a de voix souhaitant quitter ses territoires sans retour, le renverser ou faire sécession.

La solution est donc simple : développer les régions sahraouies et en faire un paradis pour les Sahraouis, une région très développée, avec des écoles, des universités, des hôpitaux, des autoroutes, des usines et des entreprises qui créent des opportunités d'emploi pour la population sahraouie, ce qui aura un impact sur les camps de Tindouf. Les Sahraouis de Tindouf vivent l'enfer dans leurs camps. S’ils voient le Sahara marocain avancer, ils manifesteront dans leurs camps et demanderont à l'ONU de faciliter leur retour au Maroc. Ils accorderont leur loyauté aux Alaouites et tourneront leurs dos aux dirigeants du Polisario "qui sont aujourd'hui vu en noir par les réfugiés de Tindouf".

Je pense que le processus de développement des provinces du Sud est bien engagé
Il y a des rapports, des publications qui l'établissent
Tout comme le Nord du Maroc, on ne peut pas nier les grands projets lancés dans la région

Après oui, y en a toujours qui s'imaginent que le Maroc a les moyens de construire des autoroutes dans les régions montagneuses :rolleyes:
 
Celui qui croit que ces réfugiés ont des ambitions politiques ne comprend pas la mentalité sahraouie. Ces Sahraouis sont comme le reste des Marocains. Ils ne sont pas très intéressés par la politique et se soucient plutôt de leur situation économique et sociale. Mais en même temps, ils s’aiment trop "nafs8oum 7ara, comme on dit" et détestent être trahis ou manipulés par qui que ce soit... surtout par un émir des croyants qu'ils ont toujours chéri et porté dans leurs cœurs.

L7ob machi b7zara
Ceux qui préfèrent les geôles de Tindouf, qu'ils y restent

Parallèlement à cette approche économique et sociale qui fera progresser les régions sahraouies, une réconciliation doit être faite avec le parti de "La voie démocratique travailliste". Ce parti pourrait jouer un rôle majeur dans la provocation de l’Algérie et des puissances occidentales. Ses membres peuvent produire d'un temps à l'autre des publications défendant le droit des peuples Kabyle, Catalan et Corse à l'autodétermination. Ses médias publieront de nombreux articles défendant le droit de ces peuples à se libérer de la colonisation algérienne, espagnole et française. Ses députés accueilliront les indépendantistes de ces régions au Parlement et assisteront à leurs manifestations, et prendront des photos avec leurs leaders et le reste de leurs membres portant leurs drapeaux. Ce parti pourra même défendre le droit au retour des Amérindiens aux États-Unis et au Canada.

Moi je ne suis pas au pouvoir donc facile pour moi de dire "hors de question"
Le truc c'est que ce qui était encore faisable à l'ère où seules les personnes rompues à l'exercice du pouvoir et à la politique avaient connaissance des faits et gestes, prises de paroles de personnes encartées dans un mouvement ou d'illustres inconnus - aujourd'hui, avec l'avènement du digital et la vitesse de circulation de l'information, je doute qu'on efface aussi facilement certains passifs - ex les "marocains" à l'ONU qui plaident contre le Maroc à l'invitation de l'Algérie, tu penses que j'ai envie de revoir à ma table ces Judas ?...lmot 7ssen men 7yat8om :D

En tant que Marocains, nous avons le droit de traiter les autres de la même manière et de leur faire goûter à la même coupe dans laquelle ils nous ont fait boire. Mais ni les zones sahraouies ne deviendront un paradis pour les Sahraouis, ni le régime alaouite n’osera traiter les autres de la même manière.

Je compte sur la main de Dieu.

Je suis très pessimiste vis-à-vis des Alaouites. Je les vois vraiment en noir. Pour moi, ils sont des traîtres qui complotent contre les sociétés musulmanes.

Ces propos sont lunaires

Ils ne sont pas bêtes, ils savent très bien ce qu'ils doivent faire pour faire avancer le Maroc mais ils veulent qu'on reste un monde arriéré qui souffre de la crise sur tous les plans.

Je lisais un jour un Marocain qui s'exprimait sur la monarchie
Il expliquait que ceux qui s'imaginent que le roi a les mains complètement libres sont naïfs - lui même doit affronter des obstacles - la monarchie, c'est toute une machine - et s'il ne veut pas que certains cercles se retournent contre lui - le roi doit fermer les yeux sur certaines choses..
J'espère que les jours me prouvent que je me trompe.

Je l'espère pour toi
Ama ana, je suis confiante
Lorsque le mur de Berlin est tombé, les gens se sont rués vers l'Ouest
Lorsque les candidats à l'immigration souhaitent s'échapper de leur condition sociale, ils vont vers les pays occidentaux
Personne ne rêve de s'échouer dans un pays socialo-communiste, pas besoin d'écrire des tartines, suffit de songer au principe de la réalité
 
Dernière édition:
Chez LFI, c'est mélenchon qui dicte pour tout le monde ce que doivent être les idées et quiconque ne s'y plie pas est mis sur la touche.

C'est ce qui sépare un fonctionnement interne démocratique d'un totalitarisme oligarchique.
Mon cher Mojod,
Le plus important c'est l'union de notre cher gauche au sein du nouveau front populaire.
Faisant barrage ensemble à l'extrême droite.
 
Il faut mieux regarder. Melenchon a éléminé ceux qu'il considérait opposés à sa vision interne à la façon d'un dictateur. Comme c'est sa prérogative, il en utilise et il n'y pas de recours légal, donc l'argument consistant à dire qu'ils auraient eu recours à la justice n'est guère pertinent dans la mesure où rien n'empêche légalement mélenchon de ne pas renouveler les mandats de qui il veut en tant que chef de parti. Sur le fond, cependant, cela relève bel et bien d'une manoeuvre stalinienne où il fait taire par la force les voix discordantes.

Il s’assure de fracturer le front unitaire pour mieux garder la main après le second tour des législatives, le 7 juillet.



Assez amusant comme interprétation :). Ca peut aussi être compris comme le fait de banaliser la voilence conjuguale en permettant à un condamné pour de tels faits de siéger au parlement :rolleyes:...Et que pour mélenchon, suivre ses idées est plus important que de ne pas violenter sa compagne...



Il n 'y a pas eu de pub, juste un scandale. Atel point que la gars a eu la décence de retirer sa candidature
En France, on a un office du juge judiciaire spécialisé dans le contrôle des partis politiques. Cet office peut être saisi par tout membre qui s'estime lésé par les décisions de son parti. Mais avant d'arriver à ce stade, ce membre doit d'abord faire appel de la décision contestée devant les structures éthiques de ce parti. Après, il pourra passer au stade supérieur en saisissant le juge judiciaire. S'il ne saisit pas les instances internes de son parti, son appel va être rejeté.

Lorsqu'on est convaincus qu'on a été exposés à une injustice au sein d’un parti, nous suivons toutes ces procédures. Mais quand on est conscients que les décisions prises à notre encontre sont légales et respectent les règlements intérieurs du parti, et que nous sommes des gens qui ne respectent pas la démocratie interne, nous courons vers les médias pour régler nos comptes avec ce parti.

Pour le reste, le législateur français ne considère pas les violences conjugales comme un délit ou un crime privant les droits politiques. Par conséquent, ce que les mélenchonistes ont fait est loin d'être une violation des lois. Et quiconque n’est pas d’accord avec cette doctrine législative devrait lutter pour inclure les violences conjugales dans la liste des motifs qui privent des droits politiques.

Quant à la question du retrait de ce candidat, ceci est son droit. L'essentiel, le message est passé. Les personnes qui ont été condamnés pour violences conjugales savent très bien qui sont ceux qui ont du respect pour leur identité, leurs droits et leurs libertés et qui sont ceux qui les stigmatisent et appellent à leur exclusion et qu'ils soient doublement sanctionnés.
 
En France, on a un office du juge judiciaire spécialisé dans le contrôle des partis politiques. Cet office peut être saisi par tout membre qui s'estime lésé par les décisions de son parti. Mais avant d'arriver à ce stade, ce membre doit d'abord faire appel de la décision contestée devant les structures éthiques de ce parti. Après, il pourra passer au stade supérieur en saisissant le juge judiciaire. S'il ne saisit pas les instances internes de son parti, son appel va être rejeté.

Lorsqu'on est convaincus qu'on a été exposés à une injustice au sein d’un parti, nous suivons toutes ces procédures. Mais quand on est conscients que les décisions prises à notre encontre sont légales et respectent les règlements intérieurs du parti, et que nous sommes des gens qui ne respectent pas la démocratie interne, nous courons vers les médias pour régler nos comptes avec ce parti.

Pour le reste, le législateur français ne considère pas les violences conjugales comme un délit ou un crime privant les droits politiques. Par conséquent, ce que les mélenchonistes ont fait est loin d'être une violation des lois. Et quiconque n’est pas d’accord avec cette doctrine législative devrait lutter pour inclure les violences conjugales dans la liste des motifs qui privent des droits politiques.

Quant à la question du retrait de ce candidat, ceci est son droit. L'essentiel, le message est passé. Les personnes qui ont été condamnés pour violences conjugales savent très bien qui sont ceux qui ont du respect pour leur identité, leurs droits et leurs libertés et qui sont ceux qui les stigmatisent et appellent à leur exclusion et qu'ils soient doublement sanctionnés.

Une fois de plus tu prends ta grille de lecture personnelle comme une réalité objective.

Tu ne veux pas admettre que la purge de Mélenchon s'apparente à une forme de stalinisme où il élimine toute opposant ne pensant pas comme lui juge qu'il faut penser.

Il n'y a pas de recours légal contre une décision qui est la prérogative du chef du parti. Des tas de candidats se sont fait exclure sans introduire de plaintes legales. Il s'agit aussi evidemlent de ne pas nuire à l'image du parti.

Pour ce qui est des violences conjugales elles sont passibles d'emprisonnements, lesquels ne sont guère compatibles tu en conviendras, avec l'exercice de fonctions politiques. C'est stupéfiant de te voir considérer que des violences conjugales ne constituent pas une faute morale alors qu'un mandataire politique est censé être exemplaire. Que Mélenchon ne purge pas ce candidat en dit long sur son sens des valeurs et des priorités.
 
Une fois de plus tu prends ta grille de lecture personnelle comme une réalité objective.

Tu ne veux pas admettre que la purge de Mélenchon s'apparente à une forme de stalinisme où il élimine toute opposant ne pensant pas comme lui juge qu'il faut penser.

Il n'y a pas de recours légal contre une décision qui est la prérogative du chef du parti. Des tas de candidats se sont fait exclure sans introduire de plaintes legales. Il s'agit aussi evidemlent de ne pas nuire à l'image du parti.

Pour ce qui est des violences conjugales elles sont passibles d'emprisonnements, lesquels ne sont guère compatibles tu en conviendras, avec l'exercice de fonctions politiques. C'est stupéfiant de te voir considérer que des violences conjugales ne constituent pas une faute morale alors qu'un mandataire politique est censé être exemplaire. Que Mélenchon ne purge pas ce candidat en dit long sur son sens des valeurs et des priorités.
Un extrait de la réglementation intérieure de la France Insoumise... Ça se voit clair que ce n'est pas Mélenchon qui décide du sort des candidats présentés par la France Insoumise, mais plutôt les membres du comité électoral du parti.

LE COMITÉ ÉLECTORAL DE LA FRANCE INSOUMISE EST EN CHARGE DES MISSIONS SUIVANTES
  • Investir les candidat·es présenté·es par la France insoumise lors des différentes échéances électorales : élections européennes, législatives, sénatoriales, régionales, départementales, municipales, consulaires, etc.
  • Mettre en œuvre la stratégie électorale adoptée par La France insoumise lors des différentes élections ;
  • Garantir la parité de nos candidat·es ;
  • Être l’instance de recours en cas de réclamation concernant une investiture.

COMPOSITION DU COMITÉ ÉLECTORAL
Le Comité électoral est composé de 15 personnes, à parité de genre, nommé·es par la Coordination des espaces. Il est assisté par deux représentant·es du Pôle des groupes d’action et une représentante du Pôle finances, qui participent à ses travaux sans voix délibérative.

Liste des membres du Comité électoral :
  • Reda Belkadi, en charge du suivi du Centre-Val de Loire
  • Anthony Brondel, en charge du suivi de la Bourgogne-Franche-Comté
  • Rémy Catrou, en charge du suivi de la Nouvelle-Aquitaine
  • Aliaume Couchard, en charge du suivi de l’Auvergne-Rhône-Alpes
  • Côme Delanery, en charge du suivi du Grand Est
  • Marina Ferreruela, en charge du suivi des Pays de la Loire
  • Lucas Fournier, en charge du suivi du Hauts-de-France
  • Clarisse Guiraud, en charge du suivi de l’Île-de-France (77-78-92-93)
  • Farida Majdoub, en charge du suivi de la Normandie
  • Manuel Menal, en charge du suivi de l’île-de-France (75-91-94-95)
  • Marie Mesmeur, en charge du suivi de la Bretagne
  • Cassandra Serier, en charge du suivi des Français·es de l’étranger
  • Kalila Sevin, en charge du suivi de la Provence-Alpes-Côte d’Azur
  • Guilhem Seyries, en charge du suivi de l’Occitanie
  • Karine Varasse, en charge du suivi des Outre-Mer
  • Clarence Mac Dougall pour le Pôle des groupes d’action
  • Alexandra Mortet pour le Pôle des groupes d’action

Pour le reste, un homme coupable de violences conjugales a été sanctionné et emprisonné pour une certaine période. Durant cette période, il a été privé d'une grande partie de ses droits et libertés. Donc pour moi, ça s'arrête ici. Dès que cet homme quitte la prison, il devient un citoyen comme tout le monde qui bénéficie de tous ses droits (inclus le droit de se présenter aux élections). Le priver de ses droits à cause de son passé est une atteinte à son identité et une violation des lois en vigueur. Car cet homme était un homme qui se permettait la violence conjugale, rien ne prouve qu'il l'est toujours.
 
Est-ce qu'on peut appeler le Maroc à plus de démocratie et en même temps plébisciter un parti qui est loin de satisfaire les exigences démocratiques ?

Aujourd’hui, Jean-Luc Mélenchon paraît toujours un peu plus - aux yeux de ses dissidents, avec Clémentine Autain et François Ruffin en tête, et plus largement au sein de la gauche - comme un « agent perturbateur », dont les décisions relèvent davantage du personnel que du collectif. Cela soulève des interrogations quant à la capacité de Jean-Luc Mélenchon à continuer d’incarner une figure de stabilité et de présidentialité pour son mouvement.

D’apparence, la situation semblait favorable au sein du Nouveau Front Populaire pour lancer une dynamique d’ampleur pour les législatives de 2024. Sous l'égide de l'union et de l'opposition au Rassemblement National, les différentes formations politiques de gauche ont formé une coalition, élaboré un programme commun, et se sont mis d'accord sur la stratégie d'un candidat unique par circonscription.
Mais dans la soirée du vendredi 14 juin est annoncé que cinq des députés insoumis, compagnon de route de Jean-Luc Mélenchon : Alexis Corbière (Seine-Saint-Denis), Raquel Garrido (Seine-Saint-Denis), Danielle Simonnet (Paris), Frédéric Mathieu (Ille-et-Vilaine) et Hendrik Davi (Bouches-du-Rhône), ne seront pas réinvestis sous l’étiquette LFI pour les législatives.
Certaines voix s’élèvent et évoquent une « purge » des députés ayant ouvertement critiqué le fonctionnement interne du mouvement, ainsi que certaines prises de position de son leader-fondateur.
 
Cette décision a stupéfait les différentes formations politiques qui composent le Nouveau Front Populaire, ainsi que dans les rangs des insoumis, la qualifiant d’« irresponsable et dangereux ». Cette incompréhension est d’autant plus forte en raison de la courte période d'organisation des législatives et de la montée en puissance du Rassemblement National aux élections européennes de 2024. La stratégie attendue aurait été de reconduire les députés sortants, capitalisant ainsi sur leur capital autochtonie et médiatique, évitant ainsi de remobiliser des militants et des moyens financier qui auraient pu être utilisés dans d’autres circonscriptions.

Cette situation est d’autant plus absconse que le député sortant de la 1ère circonscription de Lille, Adrien Quatennens, s’était vu réinvesti alors même qu’il était largement contesté au sein des formations politiques de gauche, après avoir été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour des violences conjugales sur son ex-compagne.
 
Finalement, il annonce renoncer à se présenter, laissant sa place à Aurélien Le Cocq, co-animateur des jeunes Insoumis et candidat en dixième position aux élections européennes.


Aujourd’hui, Jean-Luc Mélenchon paraît toujours un peu plus - aux yeux de ses dissidents, avec Clémentine Autain et François Ruffin en tête, et plus largement au sein de la gauche - comme un « agent perturbateur », dont les décisions relèvent davantage du personnel que du collectif. Cela soulève des interrogations quant à la capacité de Jean-Luc Mélenchon à continuer d’incarner une figure de stabilité et de présidentialité pour son mouvement.

L’ombre d’un leader toujours présent​


Malgré son retrait annoncé, Jean-Luc Mélenchon garde une influence centrale sur la direction, la ligne politique de LFI et plus récemment les investitures. Cela est devenu évident lors de la nomination à l’unanimité de Manuel Bompard, un fidèle de l’ancien candidat, à la tête de la coordination du mouvement.


Les 21 membres de la « Coordination des Espaces » impliqués dans cette décision comprennent des proches du leader tels que Sophia Chikirou, Gabriel Amard, Mathilde Panot, Louis Boyard, Danièle Obono, Clémence Guetté et Manon Aubry, tous membres de sa garde rapprochée. En revanche, certains, tels qu’Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin et Eric Coquerel, affirment ne pas avoir été consultés et se retrouvent écartés des instances opérationnelles.

Cette désignation est perçue par certains membres en interne comme « une purge », un acte de « verrouillage » ou encore une forme d’« autodésignation ». Cette nomination est révélatrice de l’influence persistante de Jean-Luc Mélenchon sur la direction du parti.

En parallèle, en assumant la co-présidence avec Clémence Guetté de l’Institut La Boétie, il conserve une position stratégique au sein du mouvement. Cet institut est conçu comme un laboratoire d’idée pour le parti et de formation des futurs cadres, axant ses programmes sur les thématiques chères à l’ancien candidat, lui permettant de continuer à exercer une emprise idéologique et de façonner les futurs leaders du parti selon ses principes et sa vision politique.
 
Un extrait de la réglementation intérieure de la France Insoumise... Ça se voit clair que ce n'est pas Mélenchon qui décide du sort des candidats présentés par la France Insoumise, mais plutôt les membres du comité électoral du parti.

LE COMITÉ ÉLECTORAL DE LA FRANCE INSOUMISE EST EN CHARGE DES MISSIONS SUIVANTES
  • Investir les candidat·es présenté·es par la France insoumise lors des différentes échéances électorales : élections européennes, législatives, sénatoriales, régionales, départementales, municipales, consulaires, etc.
  • Mettre en œuvre la stratégie électorale adoptée par La France insoumise lors des différentes élections ;
  • Garantir la parité de nos candidat·es ;
  • Être l’instance de recours en cas de réclamation concernant une investiture.

COMPOSITION DU COMITÉ ÉLECTORAL
Le Comité électoral est composé de 15 personnes, à parité de genre, nommé·es par la Coordination des espaces. Il est assisté par deux représentant·es du Pôle des groupes d’action et une représentante du Pôle finances, qui participent à ses travaux sans voix délibérative.

Liste des membres du Comité électoral :
  • Reda Belkadi, en charge du suivi du Centre-Val de Loire
  • Anthony Brondel, en charge du suivi de la Bourgogne-Franche-Comté
  • Rémy Catrou, en charge du suivi de la Nouvelle-Aquitaine
  • Aliaume Couchard, en charge du suivi de l’Auvergne-Rhône-Alpes
  • Côme Delanery, en charge du suivi du Grand Est
  • Marina Ferreruela, en charge du suivi des Pays de la Loire
  • Lucas Fournier, en charge du suivi du Hauts-de-France
  • Clarisse Guiraud, en charge du suivi de l’Île-de-France (77-78-92-93)
  • Farida Majdoub, en charge du suivi de la Normandie
  • Manuel Menal, en charge du suivi de l’île-de-France (75-91-94-95)
  • Marie Mesmeur, en charge du suivi de la Bretagne
  • Cassandra Serier, en charge du suivi des Français·es de l’étranger
  • Kalila Sevin, en charge du suivi de la Provence-Alpes-Côte d’Azur
  • Guilhem Seyries, en charge du suivi de l’Occitanie
  • Karine Varasse, en charge du suivi des Outre-Mer
  • Clarence Mac Dougall pour le Pôle des groupes d’action
  • Alexandra Mortet pour le Pôle des groupes d’action

Pour le reste, un homme coupable de violences conjugales a été sanctionné et emprisonné pour une certaine période. Durant cette période, il a été privé d'une grande partie de ses droits et libertés. Donc pour moi, ça s'arrête ici. Dès que cet homme quitte la prison, il devient un citoyen comme tout le monde qui bénéficie de tous ses droits (inclus le droit de se présenter aux élections). Le priver de ses droits à cause de son passé est une atteinte à son identité et une violation des lois en vigueur. Car cet homme était un homme qui se permettait la violence conjugale, rien ne prouve qu'il l'est toujours.

Tu es doué en copie colle bravo😀

A présent serre-toi de ton intelligence et essaie de te demander si le comité interne de LFI est du genre a aller à l'encontre des décisions du chef suprême ;)

Tu es bien sur libre de t'entêter à ne pas voir un acte stalinien dans l'exclusion de membres du parti que Mélenchon n'aime pas voir. Ça me fait hélas pas de ton avis une opinion objective ni encore moins générale ni pertintente
 
Dernière édition:
Le jour où la France insoumise comprendra que c'est elle qui alimente le vote RN et inversement, elle aura fait un grand pas... l'extrême gauche alimente la division et la communautarisation en réponse à une autre forme de division apportée par l'extrême droite. C'est juste la peste ou le choléra
 
@Sansabri

'تمغربيت’: إحساس بالانتماء أم مزايدة أيديولوجية متطرفة واقساءية؟​

لنعترف منذ البداية أن المواطنة والانتماء قيمتان رئيستان
يفتخر بهما كل إنسان مهما كان البلد الذي يعيش فيه. ولنتفق أن الإحساس بهاتين القيمتين لا يختص بفرد دون آخر، أو جماعة دون أخرى، أو كيان كيفما كان نوعه دون غيره من الكيانات الأخرى داخل الوطن نفسه. ولا يحق لأي كان أن يميز نفسه عن الآخرين بميزة هاتين القيمتين، أو يضع نفسه فوق القانون أو فوق الآخرين بسببهما، أو يخول لنفسه أن ينزعهما عن الآخرين أو يحرمهم منهما. وهذا يعني أن قيمتي المواطنة والانتماء.
لكن لماذا يوظف البعض ‘تمغربيت’ بصورة طاغية في خطاباتهم، خاصة في شبكات التواصل الاجتماعي؟
كيف ظهرت هذه الخطابات، التي تنزع في بعض الأحيان إلى التبجح بقيمتي المواطنة والانتماء، وإلى سحبهما عن آخرين؟

Qu'en pense-tu?

Une video....

. "تمغربيت.. كابوس خونة الأوطان وحلف الشيطان وعبيد الكابران" sur YouTube
 
Dernière édition:
Tu es doué en copie colle bravo😀

A présent serre-toi de ton intelligence et essaie de te demander si le comité interne de LFI est du genre a aller à l'encontre des décisions du chef suprême ;)

Tu es bien sur libre de t'entêter à ne pas voir un acte stalinien dans l'exclusion de membres du parti que Mélenchon n'aime pas voir. Ça me fait hélas pas de ton avis une opinion objective ni encore moins générale ni pertintente
Dans le cadre de tels sujets, il est tout à fait normal que je fais un copier-coller des extraits de la réglementation interne du parti dont on est en train de parler. Nous parlons d'une organisation politique qui possède ses propres lois qui régissent le mode de prise de décision en son sein et le fonctionnement de ses différents organes... Donc c'est cette réglementation interne qui prime, c'est elle la source primaire et pas le ressenti ou les déclarations de qui que ce soit.

Sur la base de cette réglementation interne, je vois que le comité électoral est indépendant de Mélenchon et qu'au contraire, c'est ce comité qui a le pouvoir d'accepter la candidature aux élections de Mélenchon ou la refuser. Et s'il y a quelqu’un qui voit le contraire, qu’il nous l’explique en se basant sur les textes réglementaires du parti LFI.

La dictature ou l'autoritarisme, que ce soit au sein des structures étatiques ou au sein des institutions des partis politiques, s'appuie toujours sur des textes juridiques (constitution, lois organiques, réglementation interne, etc.) pour exercer sa dictature ou son autoritarisme. C'est normal donc que je pose cette question :
- Où sont ces textes réglementaires qui permettent à Mélenchon d'exercer sa soi-disant dictature partisane ?!
 
Dans le cadre de tels sujets, il est tout à fait normal que je fais un copier-coller des extraits de la réglementation interne du parti dont on est en train de parler. Nous parlons d'une organisation politique qui possède ses propres lois qui régissent le mode de prise de décision en son sein et le fonctionnement de ses différents organes... Donc c'est cette réglementation interne qui prime, c'est elle la source primaire et pas le ressenti ou les déclarations de qui que ce soit.

Sur la base de cette réglementation interne, je vois que le comité électoral est indépendant de Mélenchon et qu'au contraire, c'est ce comité qui a le pouvoir d'accepter la candidature aux élections de Mélenchon ou la refuser. Et s'il y a quelqu’un qui voit le contraire, qu’il nous l’explique en se basant sur les textes réglementaires du parti LFI.

La dictature ou l'autoritarisme, que ce soit au sein des structures étatiques ou au sein des institutions des partis politiques, s'appuie toujours sur des textes juridiques (constitution, lois organiques, réglementation interne, etc.) pour exercer sa dictature ou son autoritarisme. C'est normal donc que je pose cette question :
- Où sont ces textes réglementaires qui permettent à Mélenchon d'exercer sa soi-disant dictature partisane ?!

Tu es amusant à ton entetement de ne pas voir la dérive autocratique de Mélenchon.😙

Je te répète que tu n'es pas obligé d'y voir une purge qui rend compte.d'une dérive autocratique d'un vieil homme politique qui qui s'isole de plus en plus dans une stratégie de contrôle oligarchique. Mais assez d'autres l'ont fait pour ne pas en douter.

Libre à toi de continuer à essayer de te convaincre que le fait que les personnes expurgées de la France insoumise non pas porté plainte, signifie que leur mise à l'écart est légitime.


Lit aussi l'opinion d'un homme de gauche sur la manœuvre de ton idole☺️

 
Pour désertion :D

Raki 3arfani mkhawrej si je m engage dans la bataille à tous les coups je vais me faire virer :D on envoie les canonnières et on tire à vue :D ?

de base, je plaisante quand je parle de livrer bataille (je préfère le préciser au cas où ça serait pris au 1er degré par jm8or :D)
Par contre, il est vrai que si la monarchie tombait, le rapport à ma marocanité en serait sans doute affecté
 
de base, je plaisante quand je parle de livrer bataille (je préfère le préciser au cas où ça serait pris au 1er degré par jm8or :D)
Par contre, il est vrai que si la monarchie tombait, le rapport à ma marocanité en serait sans doute affecté
Tout ce qui risque de tomber chère amie ce sont les dents des petites baltringues qui ouvrent un peu trop leur claque mmerde croyant que l anonymat les protège :D

La monarchie kbira 3la jedhoum l7mar ou jdourha ghar9in khalina mn lhadra lkhawya a khti barlamane

Atta j appelle 3abdeltif :D


7AD5236F-4EEB-4F17-BD44-BD03AE20DC51.jpeg
 
Retour
Haut