Paris: Mon experience

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion BEJAADI
  • Date de début Date de début
Excuse-moi mais en lisant ce topic tu donnes l'impression d'une personne qui a voulu s'attaquer à un gros poisson, qui n'y 'est pas parvenu, et qui rechigne au lieu de se rabattre sur des sardines.

Bref, laisse ces parisiennes huppées, chacun son rêve et son délire, ne t'inquiète pas pour elles. Il existe leur homologues maghrébins.

En ce qui te concerne, retourne à ta ville mère; j'en suis sûre que t'y trouveras l'élue de ton coeur.
Finalement, chacun y trouvera son compte.

Et surtout ça nous évitera ces analyses sociologiques de seconde zone.

J'ai lu ton laïus nébuleux, que je vais qualifier de poncif car aucune pertinence ne semble se dégager de ta diarrhée littéraire. Comme je suis courtois je vais t'aider à essuyer.

Pour commencer je doute que tu aies une quelqueconque notion de sociologie, car mon post n'avait pas ce dessein. Ce qui est de seconde zone, sont tes commentaires qui découlent d'une frustration exacerbée féministe.

On va donc commencer par le commencement.

Tout d'abord, je ne pense pas avoir aucune affinité avec toi (bonne ou mauvaise soit elle et Dieu m'en préserve) pour que tu puisses te permettre quelqueconque spéculation à mon égard.

Je ne me suis attaqué à aucun de ces poissons, ni aux sardines environnantes, car je ne pêche pas en eaux troubles...comment veux tu pêcher du bon poisson dans une eau polluée? et quant bien même je pécherai dans ces eaux, rassures toi les mailles de mon filet ne prennent "les poissons" que j'ai décris ainsi que ceux de ton engeance..

Maintenant passons à l'ébauche sociologique si tu veux bien, meme si tu es une ignorante en la matière...

Les maghrébines huppées (qui ne le sont pas mentalement) ne trouvent plus de maghrébins....comment peux tu expliquer que la majorité s'entre elles se retrouvent dans les profondeurs des files de mariages?

Comment explique tu un célibat persistant chez cette population?

Comment explique tu que la majorité des maghrébins fréquentant cette populace se désistent (pour se marier), après de longues relations?

Comment explique tu le phénomène accentué "vieille filles" dans cette population?

Comment explique la multiplication des mariages mixtes dans cette population...tu dis que les maghrébins en raffolent?

Je vais ajouter que les maghrébines en province sont déjà mariées à 25 ans, et qu'elles forment déjà un couple fidèle et stable depuis des années, ont des enfants et que leur idéal de vie, c'est de fonder une famille avec l'homme qu'elles aiment, et de construire leur petite vie dans l'équilibre et l'harmonie.

La maghrébine alias "gros poisson" huppée comme tu la décris est encore à 35 ans célibataires, et arpente les bars et boites de nuits espérant qu'un chevalier servant face d'enclume vienne la délivrer de sa misère affective...

Je n'ai nulle besoin de retourner à ma ville mère pour constater que tes propos de maghrébine huppée transpirent la niaiserie, et que cela me conforte mon sentiment initial qui est tu nages en eaux troubles.
 
Je vois pas l'utilité d'utiliser de grands mots et de belles et longues phrases, alors je vais faire simple :
Paris, quartier d'affaire : c'est déja un décor particuler. Est ce qu'on s'attend a avoir une ambiance type "maison de quartier", chaleureux et amical ? Je ne pense pas non. Quasiment tous sont "fiers d'eux", et pas très sociables. Ils sont là pour gagner de l'argent et se la jouer il faut le dire.
Tu parles des françaises, asiatiques ou autres qui elles, ont su resté humble ? oO
Je suis pas sure que tu les a toutes rencontrées (je dis ca car j'ai bossé à la Défense).
Moi je pense que tu t'es focalisé (et tu le dis d'ailleurs) sur les maghrebines et tu ne t'attendais justement pas à ce qu'elles soient autant occidentalisées.
Voila, c'est mon avis, sans prétention.

Je vais être succinct dans ma réponse:

Je ne les ai effectivement pas toutes rencontrées, mais ayant travaillé à la Défense et à Paris les plus arrogantes restent les maghrébines à quartier égal et statut égal. En dépit de la froideur du contexte les plus froides et les plus antipathiques restent les Maghrébines. Pas toutes, mais la majorité. Comme je l'ai signalé depuis le début je ne stigmatise pas.
 
Tu as ressorti ton apologie préférée, celle de la caissière humble....

Tu sais je suis sûre que tes états d'âmes n'empêcheront pas les cadres maghrébines de dormir et je pense que tu as dû te prendre le rateau de ta vie pour développer une telle obsession......racontes nous les détails de ce rateau d'or au lieu de philosopher on veut du croustillant sur bladi !

Si tu savais dégager les éléments pertinents d'un post, tu te serais dispensé de ce fatras syntaxique insipide.

Il n'y était fait d'aucune mention de caissière, mais de la comparaison entre deux catégories sociales.

Je n'ai aucun état d'âme, mais émets un constat avéré. Quant à mes (éventuels) râteaux bladi serait bien mon dernier confessionnal.

Je ne philosophe pas sur bladi, je discute. La philosophie je la garde pour le domaine privé avec certaines personnes.
 
J'ai lu ton laïus nébuleux, que je vais qualifier de poncif car aucune pertinence ne semble se dégager de ta diarrhée littéraire. Comme je suis courtois je vais t'aider à essuyer.

Pour commencer je doute que tu aies une quelqueconque notion de sociologie, car mon post n'avait pas ce dessein. Ce qui est de seconde zone, sont tes commentaires qui découlent d'une frustration exacerbée féministe.

On va donc commencer par le commencement.

Tout d'abord, je ne pense pas avoir aucune affinité avec toi (bonne ou mauvaise soit elle et Dieu m'en préserve) pour que tu puisses te permettre quelqueconque spéculation à mon égard.

Je ne me suis attaqué à aucun de ces poissons, ni aux sardines environnantes, car je ne pêche pas en eaux troubles...comment veux tu pêcher du bon poisson dans une eau polluée? et quant bien même je pécherai dans ces eaux, rassures toi les mailles de mon filet ne prennent "les poissons" que j'ai décris ainsi que ceux de ton engeance..

Maintenant passons à l'ébauche sociologique si tu veux bien, meme si tu es une ignorante en la matière...

Les maghrébines huppées (qui ne le sont pas mentalement) ne trouvent plus de maghrébins....comment peux tu expliquer que la majorité s'entre elles se retrouvent dans les profondeurs des files de mariages?

Comment explique tu un célibat persistant chez cette population?

Comment explique tu que la majorité des maghrébins fréquentant cette populace se désistent (pour se marier), après de longues relations?

Comment explique tu le phénomène accentué "vieille filles" dans cette population?

Comment explique la multiplication des mariages mixtes dans cette population...tu dis que les maghrébins en raffolent?

Je vais ajouter que les maghrébines en province sont déjà mariées à 25 ans, et qu'elles forment déjà un couple fidèle et stable depuis des années, ont des enfants et que leur idéal de vie, c'est de fonder une famille avec l'homme qu'elles aiment, et de construire leur petite vie dans l'équilibre et l'harmonie.

La maghrébine alias "gros poisson" huppée comme tu la décris est encore à 35 ans célibataires, et arpente les bars et boites de nuits espérant qu'un chevalier servant face d'enclume vienne la délivrer de sa misère affective...

Je n'ai nulle besoin de retourner à ma ville mère pour constater que tes propos de maghrébine huppée transpirent la niaiserie, et que cela me conforte mon sentiment initial qui est tu nages en eaux troubles.



Tu me prends pour ignorante khlass, moi je te prends pour un ignare.

Tu as des chiffres? hé non, il s'agit juste de spéculations, ... Et si ce n'est souligner ta personnalité ignare en affirmant que; les filles de province sont toutes bonnes à marier et les parisiennes des vieilles filles frustrées, je n'en tire d'autres conclusions, ...

Sincèrement, je ressens plus de la pitié en te lisant que de l'exacerbation, ... dite en passant... féministe. (argument facilement utilisé à l'encontre des femmes qui ont une vision neutre des choses, lorsqu'on se rend compte de sa bassesse).

Sur ce, je te laisse à tes délires, en attendant le célibataire frustré, c'est bien toi.

Et s'il te plaît, épargne Allah, le Clément qui aime ses créatures et ne les stigmatise pas selon des catégories qui sortent tout droit de l'imaginaire de personnes dépitées.
 
Tu me prends pour ignorante khlass, moi je te prends pour un ignare.

Tu as des chiffres? hé non, il s'agit juste de spéculations, ... Et si ce n'est souligner ta personnalité ignare en affirmant que; les filles de province sont toutes bonnes à marier et les parisiennes des vieilles filles frustrées, je n'en tire d'autres conclusions, ...

Sincèrement, je ressens plus de la pitié en te lisant que de l'exacerbation, ... dite en passant... féministe. (argument facilement utilisé à l'encontre des femmes qui ont une vision neutre des choses, lorsqu'on se rend compte de sa bassesse).

Sur ce, je te laisse à tes délires, en attendant le célibataire frustré, c'est bien toi.

Et s'il te plaît, épargne Allah, le Clément qui aime ses créatures et ne les stigmatise pas selon des catégories qui sortent tout droit de l'imaginaire de personnes dépitées.

A défaut d'avoir un argumentaire construit, tu louvoies avec des pseudos spéculations (que je suis frustré ou je ne sais quoi).

Je te trouve bien agressive.

Je suis prédisposé si tu veux à te mettre une muselière, mais te tenir en laisse n'est pas bien nécessaire.....tu n'es pas dangereuse tu sais.
 
A défaut d'avoir un argumentaire construit, tu louvoies avec des pseudos spéculations (que je suis frustré ou je ne sais quoi).

Je te trouve bien agressive.

Je suis prédisposé si tu veux à te mettre une muselière, mais te tenir en laisse n'est pas bien nécessaire.....tu n'es pas dangereuse tu sais.


Bassesse quand tu nous tiens.

Parce que ton argumentaire est construit?

Ne t'afolle pas pour si peu, je suis posée, et je rends compte simplement de certains états de faits.

Sans rancune :)
 
Bassesse quand tu nous tiens.

Parce que ton argumentaire est construit?

Ne t'afolle pas pour si peu, je suis posée, et je rends compte simplement de certains états de faits.

Sans rancune :)

Mets un peu de lumière dans ta chambre d'étudiante, arrête de regarder Gulli, ouvre des livres et étudies.

Dans 5 ans tu reviendras discuter avec moi.

Pour l'instant le fait de discuter avec toi ne m"apporte rien en l'état.

Clic.
 
Bassesse quand tu nous tiens.

Parce que ton argumentaire est construit?

Ne t'afolle pas pour si peu, je suis posée, et je rends compte simplement de certains états de faits.

Sans rancune :)

Il n'est pas le seul a voir fait ces constats sur la maghrébine "huppée". Ses avis sont partagés par bon nombre "d'observateurs" malheureusement.
 
Mets un peu de lumière dans ta chambre d'étudiante, arrête de regarder Gulli, ouvre des livres et étudies.

Dans 5 ans tu reviendras discuter avec moi.

Pour l'instant le fait de discuter avec toi ne m"apporte rien en l'état.

Clic.


Apporte de la lumière à ton esprit et reviens me parler dans quelques jours :)

Paix sur ton âme Général :)
 
Apporte de la lumière à ton esprit et reviens me parler dans quelques jours :)

Paix sur ton âme Général :)

Écoute maintenant tu es gentille. Sois tu interviens sur mon post avec des interventions en corrélation avec celui-ci, ou bien c'est simple:

Si tu veux comparer ma bassesse de provincial, à la maghrébine francilienne huppée que tu es, c'est simple ouvre un post et on pourra comparer nos statures.

Pour le moment je t'invite à ranger les smiley, car tu ne m'apportes rien en l'état.

Fin de la discussion.
 
Écoute maintenant tu es gentille. Sois tu interviens sur mon post avec des interventions en corrélation avec celui-ci, ou bien c'est simple:

Si tu veux comparer ma bassesse de provincial, à la maghrébine francilienne huppée que tu es, c'est simple ouvre un post et on pourra comparer nos statures.

Pour le moment je t'invite à ranger les smiley, car tu ne m'apportes rien en l'état.

Fin de la discussion.


je suis de la campagne (Hilare)

Fin de la discussion
 
Écoute maintenant tu es gentille. Sois tu interviens sur mon post avec des interventions en corrélation avec celui-ci, ou bien c'est simple:

Si tu veux comparer ma bassesse de provincial, à la maghrébine francilienne huppée que tu es, c'est simple ouvre un post et on pourra comparer nos statures.

Pour le moment je t'invite à ranger les smiley, car tu ne m'apportes rien en l'état.

Fin de la discussion.
toujours les grand mots, purée tu peux pas parler normalement comme tous le monde chwouiya, tu te penses supérieur ?
 
Ton texte, tu l'as réchauffé et tu es venu le poster sur un autre forum. Tu critiques la "maghrébine" en te cachant derrière un "constat" quasi sociologique ( d'après tes dires) et en arguant avec un style pompeux, lourd, ponctué de fautes d'orthographes ça et là, tout cela pour te montrer on ne peut mieux.
Ton "constat" dénote une frustration profonde chez toi, frustration qui te pousses non seulement à de la critique pure et simple d'un monde dans lequel tu ne gravites pas. L'on pourrait faire un texte quelque peu détourné et l'agrémenter d'un "constat" comme tu aimes si bien le faire.

Issu de ta province natale (ou adoptive), tu t'es forgé une pseudo réputation dont seules les 2000 âmes qui te côtoyaient en vantaient les mérites. De parents sans doute illettrés voire analphabètes, ta verve et tes récits soporifiques faisaient leur fierté mais aussi celle du village alentour.Bombant le torse tel un coq de basse-cour, tu te disais sans doute que les "issus de la diversité" de ta trempe, rares étaient-ils.

Tu arrivais ainsi à Paris, la capitale que tu t'étais juré de conquérir, d'une conquête aussi subtile qu'un éléphant trop étroit dans un magasin de porcelaine.
Ainsi tu débarquais sur Paris, ville que tu te promettais de mettre à tes pieds, tes illusions, ton arrogance et ton outrecuidance dans ta poche, aussi bien rodées que le discours d'un homme politique plus près de la sortie que de l'estrade de l'assemblée.
Mais, ta surprise fût grande lorsque tu vis toutes ces jeunes femmes aussi vives d'esprit et présomptueuses que toi. Sur elles allais-tu jeter ton dévolu et cet objectif mûrissait tel le plan du braqueur de la "té-ci". Pourtant, ces demoiselles dont l'idée d'en faire tes proies te réjouissait jusqu'à l'os, ne voulaient pas de toi. Et l'imparfait est de mise au regard de tes nombreuses tentatives avortées.Comment diable, un homme tel que toi, dont la nature avait réuni une intelligence et une vivacité d'esprit, pouvait-il se voir éconduit de la sorte?

Tu bouillonnais en ton fort intérieur et de cette défaite, tu en ferais un atout.
Tel l'étudiant à lunette dont aucune fille ne voulait, et qui dans ce polar à 2 sous, finit banquier le jour et tueur en série la nuit, tu mûrissais ta "vengeance", attendant le moment propice pour dégainer tes mots d'une arme mal entretenue est usée par le temps.

Toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite.
 
Ton texte, tu l'as réchauffé et tu es venu le poster sur un autre forum. Tu critiques la "maghrébine" en te cachant derrière un "constat" quasi sociologique ( d'après tes dires) et en arguant avec un style pompeux, lourd, ponctué de fautes d'orthographes ça et là, tout cela pour te montrer on ne peut mieux.
Ton "constat" dénote une frustration profonde chez toi, frustration qui te pousses non seulement à de la critique pure et simple d'un monde dans lequel tu ne gravites pas. L'on pourrait faire un texte quelque peu détourné et l'agrémenter d'un "constat" comme tu aimes si bien le faire.

Issu de ta province natale (ou adoptive), tu t'es forgé une pseudo réputation dont seules les 2000 âmes qui te côtoyaient en vantaient les mérites. De parents sans doute illettrés voire analphabètes, ta verve et tes récits soporifiques faisaient leur fierté mais aussi celle du village alentour.Bombant le torse tel un coq de basse-cour, tu te disais sans doute que les "issus de la diversité" de ta trempe, rares étaient-ils.

Tu arrivais ainsi à Paris, la capitale que tu t'étais juré de conquérir, d'une conquête aussi subtile qu'un éléphant trop étroit dans un magasin de porcelaine.
Ainsi tu débarquais sur Paris, ville que tu te promettais de mettre à tes pieds, tes illusions, ton arrogance et ton outrecuidance dans ta poche, aussi bien rodées que le discours d'un homme politique plus près de la sortie que de l'estrade de l'assemblée.
Mais, ta surprise fût grande lorsque tu vis toutes ces jeunes femmes aussi vives d'esprit et présomptueuses que toi. Sur elles allais-tu jeter ton dévolu et cet objectif mûrissait tel le plan du braqueur de la "té-ci". Pourtant, ces demoiselles dont l'idée d'en faire tes proies te réjouissait jusqu'à l'os, ne voulaient pas de toi. Et l'imparfait est de mise au regard de tes nombreuses tentatives avortées.Comment diable, un homme tel que toi, dont la nature avait réuni une intelligence et une vivacité d'esprit, pouvait-il se voir éconduit de la sorte?

Tu bouillonnais en ton fort intérieur et de cette défaite, tu en ferais un atout.
Tel l'étudiant à lunette dont aucune fille ne voulait, et qui dans ce polar à 2 sous, finit banquier le jour et tueur en série la nuit, tu mûrissais ta "vengeance", attendant le moment propice pour dégainer tes mots d'une arme mal entretenue est usée par le temps.

Toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite.

J"aime bien ton style d'écriture :D
 
Ton texte, tu l'as réchauffé et tu es venu le poster sur un autre forum. Tu critiques la "maghrébine" en te cachant derrière un "constat" quasi sociologique ( d'après tes dires) et en arguant avec un style pompeux, lourd, ponctué de fautes d'orthographes ça et là, tout cela pour te montrer on ne peut mieux.
Ton "constat" dénote une frustration profonde chez toi, frustration qui te pousses non seulement à de la critique pure et simple d'un monde dans lequel tu ne gravites pas. L'on pourrait faire un texte quelque peu détourné et l'agrémenter d'un "constat" comme tu aimes si bien le faire.

Issu de ta province natale (ou adoptive), tu t'es forgé une pseudo réputation dont seules les 2000 âmes qui te côtoyaient en vantaient les mérites. De parents sans doute illettrés voire analphabètes, ta verve et tes récits soporifiques faisaient leur fierté mais aussi celle du village alentour.Bombant le torse tel un coq de basse-cour, tu te disais sans doute que les "issus de la diversité" de ta trempe, rares étaient-ils.

Tu arrivais ainsi à Paris, la capitale que tu t'étais juré de conquérir, d'une conquête aussi subtile qu'un éléphant trop étroit dans un magasin de porcelaine.
Ainsi tu débarquais sur Paris, ville que tu te promettais de mettre à tes pieds, tes illusions, ton arrogance et ton outrecuidance dans ta poche, aussi bien rodées que le discours d'un homme politique plus près de la sortie que de l'estrade de l'assemblée.
Mais, ta surprise fût grande lorsque tu vis toutes ces jeunes femmes aussi vives d'esprit et présomptueuses que toi. Sur elles allais-tu jeter ton dévolu et cet objectif mûrissait tel le plan du braqueur de la "té-ci". Pourtant, ces demoiselles dont l'idée d'en faire tes proies te réjouissait jusqu'à l'os, ne voulaient pas de toi. Et l'imparfait est de mise au regard de tes nombreuses tentatives avortées.Comment diable, un homme tel que toi, dont la nature avait réuni une intelligence et une vivacité d'esprit, pouvait-il se voir éconduit de la sorte?

Tu bouillonnais en ton fort intérieur et de cette défaite, tu en ferais un atout.
Tel l'étudiant à lunette dont aucune fille ne voulait, et qui dans ce polar à 2 sous, finit banquier le jour et tueur en série la nuit, tu mûrissais ta "vengeance", attendant le moment propice pour dégainer tes mots d'une arme mal entretenue est usée par le temps.

Toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite.

J"aime bien ton style d'écriture :D

Quand on s'attaque aux fautes d'orthographe ==> on ne devrait pas en trouver...


Je dis ca , je ne dis rien
 
Ton texte, tu l'as réchauffé et tu es venu le poster sur un autre forum. Tu critiques la "maghrébine" en te cachant derrière un "constat" quasi sociologique ( d'après tes dires) et en arguant avec un style pompeux, lourd, ponctué de fautes d'orthographes ça et là, tout cela pour te montrer on ne peut mieux.
Ton "constat" dénote une frustration profonde chez toi, frustration qui te pousses non seulement à de la critique pure et simple d'un monde dans lequel tu ne gravites pas. L'on pourrait faire un texte quelque peu détourné et l'agrémenter d'un "constat" comme tu aimes si bien le faire.


Tout d’abord il n’est pas de mon habitude de débattre avec des gens empreints d’une malhonnêteté intellectuelle. Mais comme tu t’es permise de m’attaquer voirE de m’insulter (sans l’assumer et sans me citer, sans doute par dérobade), je vais exercer un droit de réponse.

On va commencer par les fautes d’orthographe que tu imputes à mes écrits, j’ai relevé (ainsi qu’une autre personne de ce forum), trois fautes dans ton caca nerveux cybernétique (sans doute du à une consommation excessive de tes bonniments avariés).

Je vais donc avant de passer à autre chose, te donner une petite leçon de grammaire par le biais de mon « style pompeux et lourd ». Au passage, ce sont des fautes élémentaires et ne pas te les signifier équivaudraiT à te laisser dans ta médiocrité

- « faute d’orthographe » orthographe ne prend pas de « s ». Il ne peut s’accorder avec fautes. C’est quand même hilarant que dans une phrase dans laquelle tu taxes autrui d’avoir des lacunes syntaxiques, tu ne sois pas capable de palLier à tes lacunes. Ce qui laisse augurer de ta crédibilité du moins en ce domaine. Tu en conviendras par conséquent que je n’ai pas de leçons à recevoir dans ce domaine.

« fustration qui te pousse», pousse ne prend pas de « s » car s’accordant avec frustration qui est à la troisième personne du singulier, verbe du premier groupe. Une frustration en effet te lie à la grammaire ou du moins à la conjugaison.

« est usée », il va de soi que l’on ne peut utiliser un auxiliaire en substitution d’une conjonction de coordination. L’utilisation à bon escient des auxiliaires est en effet usée en ce qui te concerne.

La leçon de grammaire passée, revenons en à ton cadavre d’argumentation sur lequel visiblement bon nombre de charognes se délectent et pour lequel tu sembles tirer gloriole.

Je n’ai nul besoin de mon arme usée pour te répondre, car à te lire tu ne possèdes pas de munitions. Et tu sais comme moi, que je ne saurai être vulnérable à tes petits jets de gravillons. Soyons sérieux une minute.

Je n’ai jamais ouvert ce post sur un autre forum, et je n’ai rien réchauffé. Ce qui est froid est effectivement ta prose qui est sans queue ni tête (comme toi) .

Je ne débattrai pas avec toi, car tu t’es permise d’évoquer mes parents qui seraient « sans doute illettrés voire analphabètes », ce qui corrobore la profondeur de ton éducation (que je suis prédisposé à parfaire), et la bassesse de tes arguments.

A te lire il aurait été préférable que tu passes plus de temps avec l’étudiant à lunettes que le braqueur de ta « té-ci ».

A défaut d’être le coq de basse cour, j'invite la dinde que tu es à ne pas sortir de ton poulailler.
 
Très cher, mes fautes sont dues à la rapidité à laquelle j'écrivais ce texte, motivée par ton écrit réchauffé ou tellement soporifique que j'avais l'impression de l'avoir déjà lu une dizaine de fois.
De ce fait, tu t'insurges face à mes fautes et par la même occasion, tentes de les corriger. Vaine tentative qui plus est.
Je vais également t'apprendre quelques "trucs" , histoire de te renvoyer l'ascenseur.
Mes fautes sont, ce que l'on nomme des fautes d'étourderie ou d'inattention alors que les tiennes sont dues à une mauvaise utilisation de certaines expressions, ce qui est impardonnable pour un écrivain tel que toi.
Tout d'abord, "pallier à" est un verbe transitif. Par conséquent, je me dois de te sortir de ton ignorance et t'informer que l'on ne peut ajouter de préposition. "Pallier tes lacunes" aurait été plus judicieux. De plus, en parlant de "lacunes", ajoute un "l" la prochaine fois. En l'espèce, tu désignes...le palier, tu sais, ce qui se trouve entre deux étages..
Ensuite, on écrit "boniment" et non pas "bonniment" comme j'ai pu le constater.

Enfin, le fameux "je l'invite la dinde que tu es" est lourd et maladroit. Ainsi "j'invite la dinde que tu es" aurait sans doute été préférable.

Sur ce, je t'invite à ne pas me répondre car te lire me donne des céphalées (maux de tête).
 
Très cher, mes fautes sont dues à la rapidité à laquelle j'écrivais ce texte, motivée par ton écrit réchauffé ou tellement soporifique que j'avais l'impression de l'avoir déjà lu une dizaine de fois.
De ce fait, tu t'insurges face à mes fautes et par la même occasion, tentes de les corriger. Vaine tentative qui plus est.
Je vais également t'apprendre quelques "trucs" , histoire de te renvoyer l'ascenseur.
Mes fautes sont, ce que l'on nomme des fautes d'étourderie ou d'inattention alors que les tiennes sont dues à une mauvaise utilisation de certaines expressions, ce qui est impardonnable pour un écrivain tel que toi.
Tout d'abord, "pallier à" est un verbe transitif. Par conséquent, je me dois de te sortir de ton ignorance et t'informer que l'on ne peut ajouter de préposition. "Pallier tes lacunes" aurait été plus judicieux. De plus, en parlant de "lacunes", ajoute un "l" la prochaine fois. En l'espèce, tu désignes...le palier, tu sais, ce qui se trouve entre deux étages..
Ensuite, on écrit "boniment" et non pas "bonniment" comme j'ai pu le constater.

Enfin, le fameux "je l'invite la dinde que tu es" est lourd et maladroit. Ainsi "j'invite la dinde que tu es" aurait sans doute été préférable.

Sur ce, je t'invite à ne pas me répondre car te lire me donne des céphalées (maux de tête).

Je n'ai pas lu ton poncif, ou plutôt la déjection littéraire que tu viens de me pondre et dans laquelle tu patauges.

Je n'accorde aucun crédit aux gens au gens qui insultent les parents (ce qui doit augurer du respect pour les tiens), et surtout je n'ai pas de temps à leur accorder.

Je n'ai aucune leçon à recevoir des individus en carence d'éducation. Nulle peine de me faire des scribouillis. Ces leçons je t'invite à les dispenser dans le foyer social de ton quartier, ou ton association NPNS.

Tu peux disposer. Tes propos ne sont d'aucun intérêt.

Clic.
 
Belle tentative, mais vois-tu, tes efforts ne sont pas suffisants. Dans tous les cas, je reconnais ta bonne volonté. Continue tes progrès, tu y es presque.

Tu trouveras ci-joint un lien que j'ai cherché pour toi, afin de t'aider, ce qui te permettras de connaître l'utilisation de "du"et "dû" (ou plus complexe encore dues/dus selon l'utilisation).
http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-5711.php

http://www.youtube.com/watch?v=8pNJwGibXSw

Sans rancunes définitivement.
 
Ton texte, tu l'as réchauffé et tu es venu le poster sur un autre forum. Tu critiques la "maghrébine" en te cachant derrière un "constat" quasi sociologique ( d'après tes dires) et en arguant avec un style pompeux, lourd, ponctué de fautes d'orthographes ça et là, tout cela pour te montrer on ne peut mieux.
Ton "constat" dénote une frustration profonde chez toi, frustration qui te pousses non seulement à de la critique pure et simple d'un monde dans lequel tu ne gravites pas. L'on pourrait faire un texte quelque peu détourné et l'agrémenter d'un "constat" comme tu aimes si bien le faire.

Issu de ta province natale (ou adoptive), tu t'es forgé une pseudo réputation dont seules les 2000 âmes qui te côtoyaient en vantaient les mérites. De parents sans doute illettrés voire analphabètes, ta verve et tes récits soporifiques faisaient leur fierté mais aussi celle du village alentour.Bombant le torse tel un coq de basse-cour, tu te disais sans doute que les "issus de la diversité" de ta trempe, rares étaient-ils.

Tu arrivais ainsi à Paris, la capitale que tu t'étais juré de conquérir, d'une conquête aussi subtile qu'un éléphant trop étroit dans un magasin de porcelaine.
Ainsi tu débarquais sur Paris, ville que tu te promettais de mettre à tes pieds, tes illusions, ton arrogance et ton outrecuidance dans ta poche, aussi bien rodées que le discours d'un homme politique plus près de la sortie que de l'estrade de l'assemblée.
Mais, ta surprise fût grande lorsque tu vis toutes ces jeunes femmes aussi vives d'esprit et présomptueuses que toi. Sur elles allais-tu jeter ton dévolu et cet objectif mûrissait tel le plan du braqueur de la "té-ci". Pourtant, ces demoiselles dont l'idée d'en faire tes proies te réjouissait jusqu'à l'os, ne voulaient pas de toi. Et l'imparfait est de mise au regard de tes nombreuses tentatives avortées.Comment diable, un homme tel que toi, dont la nature avait réuni une intelligence et une vivacité d'esprit, pouvait-il se voir éconduit de la sorte?

Tu bouillonnais en ton fort intérieur et de cette défaite, tu en ferais un atout.
Tel l'étudiant à lunette dont aucune fille ne voulait, et qui dans ce polar à 2 sous, finit banquier le jour et tueur en série la nuit, tu mûrissais ta "vengeance", attendant le moment propice pour dégainer tes mots d'une arme mal entretenue est usée par le temps.

Toute ressemblance avec une personne existante serait fortuite.

C est exactement l impression que j en ai o_O

Si vous ne me revoyez jms, c est Bejaia qui m a tué!
 
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