Pourquoi l'islam a fait régresser le droit des femmes?

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Mais je suis mort de rire !
Tu dis 3 fois à ta femme qu'elle est divorcé et c'est terminé lol mais wallahi qu'est ce que tu racontes ! Ça n'existe pas dans l'islam ça !
L divorce c'est après la période de viduité et pour divorcer une femme 3 fois ça nécessiterait de lui dire
Tu es divorcée et de la reprendre
Tu es divorcée et de la reprendre
Tu es divorcée et d'attendre 3 cycles menstruels.

C'est plus la galère que le divorce made in hallouf ou le mec ou la femme claque la porte (ou va acheter des clopes en pleine nuit).
La femme musulmane elle demande son khol3 et c'est terminé elle est libre.

Alors tu vois tu ne raconte que des choses que tu ne maîtrise pas... Tu as vraiment crut qu'il faut dire 'divorcée divorcée divorcée'? Mdr

Tu as l'air de ne pas connaitre le sunnisme.

Bref, les sunnites qui n'ont pas conscience de la barbarie sunnite font légion! :D
 
Si tu parles Coran, on va dire non mais les hommes reçoivent plus de bénéfices que la femme.

Si tu parles du sunnisme, si clairement, si une femme passe devant toi, ou un âne ou un chien (observe bien la comparaison) pendant que tu pries, la prière est annulée.
 
Si tu parles Coran, on va dire non mais les hommes reçoivent plus de bénéfices que la femme.

Si tu parles du sunnisme, si clairement, si une femme passe devant toi, ou un âme ou un chien (observe bien la comparaison) pendant que tu pries, la prière est annulée.

Il n'y a pas de comparaison.
Une femme te sort de ton état de sacralisation de par ses formes etc.. Si une femme passe devant une femme qui prie cela ne lui coupe pas la prière quant au chien il est impur.

Tu vois comme ton allusion diaboliquement sheitanesque tombe à l'eau ?

Sinon pour l'âme je sais pas j'en ai jamais vu Mdr
 
Mais je suis mort de rire !
Tu dis 3 fois à ta femme qu'elle est divorcé et c'est terminé lol mais wallahi qu'est ce que tu racontes ! Ça n'existe pas dans l'islam ça !
L divorce c'est après la période de viduité et pour divorcer une femme 3 fois ça nécessiterait de lui dire
Tu es divorcée et de la reprendre
Tu es divorcée et de la reprendre
Tu es divorcée et d'attendre 3 cycles menstruels.

C'est plus la galère que le divorce made in hallouf ou le mec ou la femme claque la porte (ou va acheter des clopes en pleine nuit).
La femme musulmane elle demande son khol3 et c'est terminé elle est libre.

Alors tu vois tu ne raconte que des choses que tu ne maîtrise pas... Tu as vraiment crut qu'il faut dire 'divorcée divorcée divorcée'? Mdr

répond à ma question qui prononce le divorce la femme ou l homme?
 
Pauvre simplet, je ne suis pas Piyale, tu te trompes de zigoto, je suis un fervent défenseur de la sunnah.

Réfutes l'article que j'ai posté si tu peux.
Le style est exactement identique.
Un Piyale disparait, un AbdAlWahab apparait.
Aussi impudent l'un que l'autre.
Comme lui, tu fais mal à la religion que tu voudrais défendre.
Impolitesse, non respect d'autrui, insultes, médisances sont suffisants, pour que je n'argumente pas ton post.
La sunna ce n'est pas ça. (Au fait pourquoi mets tu un h à la fin de sunna qui se termine par un T marbouta en arabe):eek::(
Change de ton et je serais ravi d'infirmer ou confirmer tes posts en argumentant.
 
Si tu parles Coran, on va dire non mais les hommes reçoivent plus de bénéfices que la femme.

Si tu parles du sunnisme, si clairement, si une femme passe devant toi, ou un âne ou un chien (observe bien la comparaison) pendant que tu pries, la prière est annulée.

Salam 'alaykom.

L'avis majoritaire est que cela n’annule pas la prière. La preuve le prophète a prier devant son épouse 'aicha. 'Aicha répond à ceux qui disaient qu'une femme annule la salat si elle passe devant l'homme, le hadith est dans sahih muslim.
Pour plus de détail tu as le sharh muslim de l'imam nawawi et le livre hujatu al baligah de cheikh sah wasyoulah.
 
Il n'y a pas de comparaison.
Une femme te sort de ton état de sacralisation de par ses formes etc.. Si une femme passe devant une femme qui prie cela ne lui coupe pas la prière quant au chien il est impur.

Tu vois comme ton allusion diaboliquement sheitanesque tombe à l'eau ?

Sinon pour l'âme je sais pas j'en ai jamais vu Mdr


Salam 'alaykom.

L'avis majoritaire est que cela n’annule pas la prière. La preuve le prophète a prier devant son épouse 'aicha. 'Aicha répond à ceux qui disaient qu'une femme annule la salat si elle passe devant l'homme, le hadith est dans sahih muslim.
Pour plus de détail tu as le sharh muslim de l'imam nawawi et le livre hujatu al baligah de cheikh sah wasyoulah.


des divergences ??:D
 
Le style est exactement identique.
Un Piyale disparait, un AbdAlWahab apparait.
Aussi impudent l'un que l'autre.
Comme lui, tu fais mal à la religion que tu voudrais défendre.
Impolitesse, non respect d'autrui, insultes, médisances sont suffisants, pour que je n'argumente pas ton post.
La sunna ce n'est pas ça. (Au fait pourquoi mets tu un h à la fin de sunna qui se termine par un T marbouta en arabe):eek::(
Change de ton et je serais ravi d'infirmer ou confirmer tes posts en argumentant.

Car en l'arabe, à l'arrêt on ne prononce pas le ta marbouta, mais on fais on fais le hams, on lira ه . Par contre si on continue, le t marbuta est prononcé.
 
L'homme prononce le divorce et la femme prononce le khol3

L'homme est obligé de garder chez lui la femme qu'il a divorcé pendant 3 cycles de menstrues.
La femme prononce le khol3 et elle est libre.

Ne cherche pas.

la femme est obligé de rendre sa dote si elle veut se libéré sinon elle doit attendre que son mari prononce le divorce
 
Il n'y a aucune divergence. Je parle d'une femme étrangère et il parle de l'épouse la fille la tante etc etc

C est vrai les hommes s excitent facilement sur des étrangères et pas sur leur épouses c est bon à savoir
 
Ah oui vraiment ? Alors on va suivre la sunna de Nordia... Je vais jeter Bukhari muslim et nawawi

D'après les textes de l'islam, le mari peut, pour divorcer, prononcer la formule de divorce (appelée "talâq") ou bien un mot qui n'est employé que pour désigner l'équivalent.
B) Si la femme n'a pas recours à la formule du "talâq", elle a cependant le recours à une des trois possibilités suivantes :
a. soit elle demande à son mari de prononcer la formule de divorce et le mari le fait ;
b. soit elle lui propose le khul' : elle lui rend le douaire (mahr) qu'il lui avait donné au moment du mariage (nikâh), et tous les deux mettent fin à leur état conjugal (les avis des savants sont divergents au sujet de savoir si cela constitue alors un "talâq", ou un "faskh") ;
c. soit elle porte plainte auprès du qâdhî (juge en pays musulman) pour un certain nombre de griefs, et celui-ci, après examen du dossier, prononce le divorce (appelé ici "taf'rîq"). Le mari ne peut pas s'y opposer ni faire appel. Parmi ces griefs il y a : coups et blessures, abandon du foyer par le mari, refus de subvenir aux besoins financiers de l'épouse, impuissance sexuelle, présence chez le mari d'une maladie repoussante, etc. ; il y a même comme cause valable une aversion pour le mari entraînant la décision de ne plus vouloir vivre avec lui. Il y a certes divergences d'opinions à propos des modalités liées au divorce pour ces griefs-là, mais notez qu'en Inde, Cheikh Khâlid Saïfullâh, qui occupe les fonctions de cadi dans l'Etat de l'Andhra Pradesh (en Inde cela est possible parce qu'y existe la muslim personal law) n'hésite pas à donner sur le sujet des avis d'autres écoles juridiques que la sienne (il est de l'école juridique hanafite) pour trouver des solutions aux problèmes que connaissent les femmes. En témoignent ses écrits.

Il faut ici relever qu'il est des ulémas qui pensent que le divorce devient inéluctable quand l'épouse propose au mari le khul'. Le Hadîth rapporté par al-Bukhârî dit qu'une femme est venue voir le Prophète disant qu'elle n'aimait plus son mari et qu'elle voulait se séparer d'elle moyennant la restitution du verger qu'il lui avait donné en douaire ; le Prophète dit au mari : "Accepte le verger et divorce d'elle" (fin de citation). As-San'ânî écrit en commentaire : "Le fait que le Prophète lui ait ordonné de se séparer d'elle est un ordre de recommandation et non d'obligation ; c'est ce qui a été dit. Mais le plus probable est que l'ordre soit considéré comme signifiant son sens originel, à savoir l'obligation ; le prouve le fait que Dieu ait dit : "Soit il la garde avec bienséance, soit il se sépare d'elle avec bienfaisance" : l'une de ces deux choses est obligatoire sur le mari ; or, ici il n'est plus possible qu'il "la garde avec bienséance" puisqu'elle demande la séparation ; il ne lui reste donc plus que "se séparer d'elle avec bienfaisance" (Subul us-salâm, as-San'ânî, tome 3 p. 263).
 
Il n'y a pas de comparaison.
Une femme te sort de ton état de sacralisation de par ses formes etc.. Si une femme passe devant une femme qui prie cela ne lui coupe pas la prière quant au chien il est impur.

Tu vois comme ton allusion diaboliquement sheitanesque tombe à l'eau ?

Sinon pour l'âme je sais pas j'en ai jamais vu Mdr

Mdrr c'était âne, je me suis trompé.

Salam 'alaykom.

L'avis majoritaire est que cela n’annule pas la prière. La preuve le prophète a prier devant son épouse 'aicha. 'Aicha répond à ceux qui disaient qu'une femme annule la salat si elle passe devant l'homme, le hadith est dans sahih muslim.
Pour plus de détail tu as le sharh muslim de l'imam nawawi et le livre hujatu al baligah de cheikh sah wasyoulah.

Pour vous répondre à tous les deux, j'aimerais bien que se soit comme vous le dites mais il y a d'autres hadiths de ce genre :
"La femme, la maison et le cheval sont de mauvais augure."
 
D'après les textes de l'islam, le mari peut, pour divorcer, prononcer la formule de divorce (appelée "talâq") ou bien un mot qui n'est employé que pour désigner l'équivalent.
B) Si la femme n'a pas recours à la formule du "talâq", elle a cependant le recours à une des trois possibilités suivantes :
a. soit elle demande à son mari de prononcer la formule de divorce et le mari le fait ;
b. soit elle lui propose le khul' : elle lui rend le douaire (mahr) qu'il lui avait donné au moment du mariage (nikâh), et tous les deux mettent fin à leur état conjugal (les avis des savants sont divergents au sujet de savoir si cela constitue alors un "talâq", ou un "faskh") ;
c. soit elle porte plainte auprès du qâdhî (juge en pays musulman) pour un certain nombre de griefs, et celui-ci, après examen du dossier, prononce le divorce (appelé ici "taf'rîq"). Le mari ne peut pas s'y opposer ni faire appel. Parmi ces griefs il y a : coups et blessures, abandon du foyer par le mari, refus de subvenir aux besoins financiers de l'épouse, impuissance sexuelle, présence chez le mari d'une maladie repoussante, etc. ; il y a même comme cause valable une aversion pour le mari entraînant la décision de ne plus vouloir vivre avec lui. Il y a certes divergences d'opinions à propos des modalités liées au divorce pour ces griefs-là, mais notez qu'en Inde, Cheikh Khâlid Saïfullâh, qui occupe les fonctions de cadi dans l'Etat de l'Andhra Pradesh (en Inde cela est possible parce qu'y existe la muslim personal law) n'hésite pas à donner sur le sujet des avis d'autres écoles juridiques que la sienne (il est de l'école juridique hanafite) pour trouver des solutions aux problèmes que connaissent les femmes. En témoignent ses écrits.

Il faut ici relever qu'il est des ulémas qui pensent que le divorce devient inéluctable quand l'épouse propose au mari le khul'. Le Hadîth rapporté par al-Bukhârî dit qu'une femme est venue voir le Prophète disant qu'elle n'aimait plus son mari et qu'elle voulait se séparer d'elle moyennant la restitution du verger qu'il lui avait donné en douaire ; le Prophète dit au mari : "Accepte le verger et divorce d'elle" (fin de citation). As-San'ânî écrit en commentaire : "Le fait que le Prophète lui ait ordonné de se séparer d'elle est un ordre de recommandation et non d'obligation ; c'est ce qui a été dit. Mais le plus probable est que l'ordre soit considéré comme signifiant son sens originel, à savoir l'obligation ; le prouve le fait que Dieu ait dit : "Soit il la garde avec bienséance, soit il se sépare d'elle avec bienfaisance" : l'une de ces deux choses est obligatoire sur le mari ; or, ici il n'est plus possible qu'il "la garde avec bienséance" puisqu'elle demande la séparation ; il ne lui reste donc plus que "se séparer d'elle avec bienfaisance" (Subul us-salâm, as-San'ânî, tome 3 p. 263).

Waw elle a trois recours et l'homme qu'un seul !
 
Mdrr c'était âne, je me suis trompé.



Pour vous répondre à tous les deux, j'aimerais bien que se soit comme vous le dites mais il y a d'autres hadiths de ce genre :
"La femme, la maison et le cheval sont de mauvais augure."



^^, ce hadith est claire pourtant. Il est rapporter dans bab al qadar..Chapitre le destin. Cela signifie qu'on peut être malchanceux dans sa monture, son épouse ou sa maison. Et c'est la vraie, tu peux tomber sur une bonne épouse ou non, une " monture " grincheuse ou non, et une demeure confortable ou non.

Pourquoi ne cite tu pas l'autre hadith : " Le meilleur des biens sur terre est la femme pieuse ". Ou le hadith : " Celui qui possède une épouse, une bonne monture et une demeure est le plus heureux des hommes ". Ou le hadith : " Celui qui s'en prend aux femmes je serais son ennemie le jour du jugement. " Ou le hadith : " Craignez Allah vis-à-vis de vos femmes ". Ou le hadith " Soyez bons envers les femmes ". etc etc.

Ps : Tu penses surement nous avons répondu. Mais ne te méprend pas camarade :)
 
Je veut dire par apport aux religions précédente de la région. Par exemple dans le zoroatrisme elles étaient les égales des hommes, au Maghreb il y a eu de grandes chef de guerre qui dirigeaient des armées comme la kahina. Même la première femme de Mahomet Kadidja était une cheffe d'entreprise. Pourquoi tout cela a disparu avec l'expansion de l'islam et les femmes se sont retrouvées réléguées dans leur foyer?
Ce n est pas l islam qui en est la cause.au contraire avant l islam la femme était considère comme un meuble.on enterrait les bébé filles vivante avant l islam. L arabe avant d être musulman était un barbare et cette forme de régression dont tu parles c est juste le reste coutumier et non religieux
 
a. soit elle demande à son mari de prononcer la formule de divorce et le mari le fait.

c. soit elle porte plainte auprès du qâdhî (juge en pays musulman) pour un certain nombre de griefs, et celui-ci, après examen du dossier,prononce le divorce (appelé ici "taf'rîq"). Le mari ne peut pas s'y opposer ni faire appel.

Donc dans le divorce elle ne rend rien nous sommes d'accord ?
 
a. soit elle demande à son mari de prononcer la formule de divorce et le mari le fait.

c. soit elle porte plainte auprès du qâdhî (juge en pays musulman) pour un certain nombre de griefs, et celui-ci, après examen du dossier,prononce le divorce (appelé ici "taf'rîq"). Le mari ne peut pas s'y opposer ni faire appel.

Donc dans le divorce elle ne rend rien nous sommes d'accord ?

une fois que l épouse rend sa dote il y a obligation du mari de prononcer le divorce
dans un autre cas si l épouse n a pas les moyens de rendre sa dote il y a d autre solutions qui sont assez compliquer
 
Dans le khoul3 je trouve juste de rendre à césar ce qui lui appartient.

En France la femme rend souvent la bague de mariage lors d'une séparation.

tout dépend du prix c est une bague à 5 euro oui je lui rend:joueur: mais en général non se ne se fait pas
 
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