Si vous apprenez que votre enfant est gay comment reagirez-vous ?

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Si vous apprenez que votre enfant est gay comment reagirez-vous ?

  • Je l'accepterai, car c'est son choix

    Votes: 8 36.4%
  • Je l'accepterai difficilement

    Votes: 3 13.6%
  • Je le refuse en essayant de le changer

    Votes: 8 36.4%
  • Je le renie

    Votes: 2 9.1%
  • Autres

    Votes: 2 9.1%

  • Total des votants
    22
Ben non. C'est juste une orientation.

C'est comme si tu disais à un puceau qui est attiré par les femmes : "si t'es hétéro, c'est que t'as fait des choses".
C'est absurde.
La différence, c'est que lui c'est naturel.
Quand tu vois une belle femme sa te fais de l'effet, mais un homme mdrrr tu peut t'imaginer lui faire des câlins lui mettre une main aux fesses ptdrrrrr
 
Tu vois en fait c est par rapport a des tabous qu on réagit hors ce sont tous des péchés et Allah sera juste pour juger ...
C est ça qu il dit iquouissen ( ce que j avais compris ) ....il dit pas l homosexualité c est super ....
C est un péché ....comme plein d autres péchés il faut s en détourner mais on a tendance à faire des fixettes sur les pêches liés a la sexualité des autres ..
Ah non moi je parle si ce sont tes enfants, pas de celles des voisins, elle est là la différence
 
La différence, c'est que lui c'est naturel.
Quand tu vois une belle femme sa te fais de l'effet, mais un homme mdrrr tu peut t'imaginer lui faire des câlins lui mettre une main aux fesses ptdrrrrr
ce que tu sembles ne pas comprendre, c'est que les homos a notre epoque , ont muté . C'est plus de deviants et des pervers . C'est devenu une orientation sexuelles. Autrement dit , ils sont naturellement attiré par les hommes . Aussi naturellement que tu peux toi etre attiré par une femme
Le pire etant qu'ils arrivent meme a etre amoureux d'un homme, et ca , y a pas si longtemps j'arrivais pas a le croire
Bref les satanistes ont modifiés la nature de l'homme . L'homo machi chose est devenu un comportement naturel d'instinct chet cette catégorie de gens
ca resout rien mais ca explique bien des choses
 
C'est fait et je comprends toujours pas ton arriere pensee

Ce n'est pas une arrière-pensée. On pense à tort que l'homosexualité est un péché car on fait des raccourcis. Mais on ne choisit pas d'être homosexuel. C'est plutôt une épreuve de Dieu car l'homosexuel doit lutter pour ne pas tomber dans le péché de la s.odomie. Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la s.odomie mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.
 
Ce n'est pas une arrière-pensée. On pense à tort que l'homosexualité est un péché car on fait des raccourcis. On ne choisit pas d'être homosexuel. C'est plutôt une épreuve de Dieu. Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la *** mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.
Il y aussi la niyya, il faut dissocier les simples pensées de la volonté.
 
La différence, c'est que lui c'est naturel.
Quand tu vois une belle femme sa te fais de l'effet, mais un homme mdrrr tu peut t'imaginer lui faire des câlins lui mettre une main aux fesses ptdrrrrr

Moi non mais un homo oui, il peut s'imaginer tout ça "naturellement".
C'est pas pour rien que c'est un..........homo

Un peu de bonne volonté quand tu réfléchis :joueur:
 
J'ai édité mon post pour le compléter.

C'est un tout. On oublie qu'il y a des homosexuels musulmans et on ne peut pas les exclure.
C'est un idéal, si mon fils m'assume en pleine face qu'il est gay, sans dégout ni inquiétude, je serais déstabilisé.
 
Ce n'est pas une arrière-pensée. On pense à tort que l'homosexualité est un péché car on fait des raccourcis. Mais on ne choisit pas d'être homosexuel. C'est plutôt une épreuve de Dieu car l'homosexuel doit lutter pour ne pas tomber dans le péché de la s.odomie. Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la s.odomie mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.
Et alors ? Quand elle est pratiquée par des hétéros bon chic, bon genre, c'est plus un pêché ?

Donc, en fait, deux homos peuvent se caresser, se peloter, se "goûter", sans "pénétration" et là, l'homosexualité ne serait donc plus un pêché ?

Et l'homosexualité féminine, vu que personne n'en parle, c'est quoi ? Un pêché aussi, même si c'est juste des papouilles là où ça fait du bien ?
 
Ce n'est pas une arrière-pensée. On pense à tort que l'homosexualité est un péché car on fait des raccourcis. Mais on ne choisit pas d'être homosexuel. C'est plutôt une épreuve de Dieu car l'homosexuel doit lutter pour ne pas tomber dans le péché de la s.odomie. Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la s.odomie mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.

En tant que musulmans pas , on ne pense pas l'homosexualité . On a des convictions religieuses.
Et oui l'hmosexualité est un grand peché en islam. Comme la fornication ou l'adultere , ils sont punis par la pidation je crois , en tout cas la mort c'est sur
Sodome et Ghomores ont le plus bel exemple de ce qui les attend de ce que leur reserve Allah. Ce n'est pas une fiction des temps ,modernes. Mais du Coran.

Apres franchement ce que tu nous assenes n'a pas de sens : C'est plutôt une épreuve de Dieu car l'homosexuel doit lutter pour ne pas tomber dans le péché de la s.odomie. Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la s.odomie mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.

Ils font quoi les homo s'ils ne se sodomisent pas . Toute acte de s.o.domie est un pèché peu importe qui le pratique . c'est quoi le bug ?
 
Et alors ? Quand elle est pratiquée par des hétéros bon chic, bon genre, c'est plus un pêché ?

Donc, en fait, deux homos peuvent se caresser, se peloter, se "goûter", sans "pénétration" et là, l'homosexualité ne serait donc plus un pêché ?

Et l'homosexualité féminine, vu que personne n'en parle, c'est quoi ? Un pêché aussi, même si c'est juste des papouilles là où ça fait du bien ?


j'avais pas lu , tu as repondu avant moi mais ont a peu pres la meme chose

cette sociéte de depravation aura raison de notre raison , notre foi et notre discernement tu verras
SOS communauté en danger. :prudent:
 
Et alors ? Quand elle est pratiquée par des hétéros bon chic, bon genre, c'est plus un pêché ?

Donc, en fait, deux homos peuvent se caresser, se peloter, se "goûter", sans "pénétration" et là, l'homosexualité ne serait donc plus un pêché ?

Et l'homosexualité féminine, vu que personne n'en parle, c'est quoi ? Un pêché aussi, même si c'est juste des papouilles là où ça fait du bien ?
Doucement :rolleyes:

Ben si c'est toujours un péché même si elle est pratiquée par des hétéros lol

Pour le reste, ils sont soumis aux mêmes règles que nous hétéros. Ils ne doivent pas se fréquenter pour faire des papouilles, se caresser blablabla

La seule différence c'est que les hétéros peuvent forniquer en toute légalité religieuse s'ils se marient alors que les homosexuel(le) marié(e)s ou pas, ils/elles ne peuvent pas forniquer "dans le halal"
 
Doucement :rolleyes:



Pour le reste, ils sont soumis aux mêmes règles que nous hétéros. Ils ne doivent pas se fréquenter pour faire des papouilles, se caresser blablabla

C'est une blague?:confused:

Donc dans un sahih sorti tout droit de la poubelle de l'enfer , t'as trouvé que les homos peuvent se mettre en couple et pourquoi pas se marier . Ce qui leur serait interdit c'est de se frequenter avant le mariage et pas de sodomisation durant le mariage

Wallah on a interné les gens pour moins.

Tu devrais consulter d'urgence ma belle. Mais si tu vois vraiment les choses comme ça , Satan recrute , son numero est le 666...mais peut etre que tu sors de là justement
 
C'est une blague?:confused:

Donc dans un sahih sorti tout droit de la poubelle de l'enfer , t'as trouvé que les homos peuvent se mettre en couple et pourquoi pas se marier . Ce qui leur serait interdit c'est de se frequenter avant le mariage et pas de sodomisation durant le mariage

Wallah on a interné les gens pour moins.

Tu devrais consulter d'urgence ma belle. Mais si tu vois vraiment les choses comme ça , Satan recrute , son numero est le 666...mais peut etre que tu sors de là justement

Merci de me rappeler pourquoi ça fait longtemps que je n'ai pas réellement débattu sur bladi :cool:

Tu as juste supprimé le dernier paragraphe pour conclure ce que tu voulais lol mais je vais quand même rester polie et te laisser dans ta malhonnêteté intellectuelle.

C'est toi qui te moquais de l'autre posteuse car elle ne voulait pas d'un mec qui embrasse avant le mariage et là tu joues à la moufti mdr

Tchuss je n'ai pas le temps pour des gens comme toi.
 
Amin

C'est bien sa le pire, car si c'est un ami qui deviens homo je le bloque, je ne lui parle plus.
Mais là si c'est la chère c'est tellement dur a avaler

Au moins t'es capable d'en souffrir . T'es peut etre pas completement perdu..? je trouve pas le mot..
 
Le vrai péché qui est inhérent à l'homosexualité, c'est la s.odomie mais elle n'est pas seulement pratiquée par les homosexuels.

beaucoup d'homos ne sont pas pour autant sodomites
et beaucoup d'hétéros pratiquent la *******.

donc attention à ne pas faire d'amalgames et ne pas aller trop vite dans les jugements de valeur.
 
Merci de me rappeler pourquoi ça fait longtemps que je n'ai pas réellement débattu sur bladi :cool:

Tu as juste supprimé le dernier paragraphe pour conclure ce que tu voulais lol mais je vais quand même rester polie et te laisser dans ta malhonnêteté intellectuelle.

C'est toi qui te moquais de l'autre posteuse car elle ne voulait pas d'un mec qui embrasse avant le mariage et là tu joues à la moufti mdr

Tchuss je n'ai pas le temps pour des gens comme toi.
Nan mais moi je suis logique et j'argumente mes points de vue
Et je suis pas intellectuellement malhonnete . Simplement il y a des limites a mon expertise intellectuelles
Donc j'interviens quand je PEUX. Et j'ai la decence et l'intelligence de me TAIRE sur ce que je sais pas

Donc toi, tu viens nous dire que les homos n'ont pas le droit de se frequenter avant le mariage c'est ca . Mariage durant lequel ils n'ont le droit de pratique la s.

On est des musulmans . Donc je SUPPOSE que c'est sensee etre une verité musulmane que tu nous sors là

Auquel cas

1/ depuis quand en islam les homo ont le droit de se marier . Ces arrieres d'occidentaux n''ont trouvé ca que recemment
2/ si moi je ne suis pas moufti et je ne le suis pas, donne nous tes sources puisque toi par contre, t'en ai une . Je te lis

Oui sinon , l'autre imbecile qui ne veut pas epouser un homme qui aurait embrasser , si j'avais un pouvorir quelconque, je la rayerais de la gemte feminine . Je la classerais pas femme Et elle se debrouille pour se definier . c'est pas ma vie
 
aujourd'hui on adapte notre cerveau à l'accepté en affichant des homos dans toutes les séries chez les politiques célébrité ect... là ou il y en a on les affiches et quand il y en a pas on les inventes

L'homosexualité ne date pas d'aujourd'hui et n'est pas liée à la société occidentale !

Regarde cet article sur les pratiques homosexuelles dans les sociétés traditionnelles en Afrique :

http://www.echosdafrique.com/20191128-les-pratiques-homosexuelles-ancestrales-en-afrique

Sujet tabou, les études sur l’homosexualité en Afrique noire sont plutôt rares. Le sociologue camerounais Charles Gueboguo[2] est un avant-gardiste en la matière. Il a retracé la réalité historique et contemporaine de ce phénomène dans plusieurs sociétés africaines. Ses recherches font ressortir que traditionnellement, l’homosexualité jouait un rôle social voire jouissif dans bon nombre de pays de cette partie du monde.

Ainsi, chez les Kivaï (Côte d’Ivoire), on sodomisait rituellement les jeunes hommes pour les rendre plus vigoureux.

Les hommes du groupe ethnique Quimbandas en Angola s’habillaient en femmes pour se livrer aux relations sexuelles avec des individus du même sexe. Toujours dans ce pays, les rapports anaux étaient fréquents chez les Wawihé. Des relations sexuelles lesbiennes étaient également pratiquées chez les femmes Azande du Sud-Ouest du Soudan par le biais des pénis taillés dans les tubercules comme la patate douce, le manioc ou la banane.
Chez les Nkundo, dans la région située entre le lac Léopold II et le Kasaï dans la République Démocratique du Congo (RDC), les relations homosexuelles s’opéraient pour la jouissance mais également dans le but d’obtenir l’élargissement progressif de l’organe sexuel, en employant des bourgeons de plantes, en forme de pénis, de plus en plus gros.

Chez les femmes haoussa du Nord du Nigeria; les femmes s’introduisaient mutuellement un pénis en bois d’ébène lors des relations homosexuelles. Quant à l’homosexualité masculine, elle se pratiquait entre des hommes d’un même rang social. A Mombassa au Kenya et sur la Côte Est africaine en général, l’homosexualité y est fort appréciée.

Chez les Bafia du Cameroun, les rapports anaux étaient pratiqués par des adolescents qui pénétraient les plus jeunes.

Parmi certaines tribus sud-africaines, l’homosexualité était très répandue entre mâles aussi bien que les rapports sexuels entre femmes. C’est notamment le cas chez les Ovambos (Hottentots) et chez les Hereros.

Chez les Pangwé, groupe ethnique Fang du Gabon, du Cameroun ou de Guinée Equatoriale, l’homosexualité était pratiquée à des fins magico-sociales. Par exemple, le plus riche pénétrait analement le plus pauvre pour lui transmettre la richesse. La pénétration anale servait, chez les Siwans de Libye, à transmettre l’art de la guerre lors des cérémonies initiatiques.

En Afrique noire, la cour royale était le terrain propice pour des relations homosexuelles. Au Rwanda ancien, l’homosexualité était mal vue et était rare, voire inexistante à proprement parler. Cela est d’autant plus vrai qu’aucun mot ne traduit ce phénomène dans la langue rwandaise. La relative facilité d’avoir des relations hétérosexuelles (entre cousins et cousines, entre un homme et ses belles-sœurs, partenariats sexuels divers,…) peut en donner l’explication.
 
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Cependant, les premiers anthropologues et missionnaires occidentaux ayant observé la société rwandaise traditionnelle affirment avoir constaté des cas d’homosexualité à la cour royale ou chez de jeunes nobles lorsqu’ils se trouvaient dans les compagnies militaires à la cour. Ces relations sexuelles entre jeunes hommes étaient plutôt attribuées au manque de contacts hétérosexuels. La pédérastie était également autrefois courante à la cour royale, et près des résidences des grands chefs, ainsi que dans les agglomérations de jeunes gens de la cour.

En Ouganda, le roi (le kabaka) Mwanga, dès sa tendre enfance, a été impliqué dans des relations homosexuelles. Et de ce fait, il refusa d’adhérer à la religion chrétienne car le christianisme n’admettait pas ce genre de pratiques sexuelles. Il entretenait plus de trois cents jeunes nobles à sa cour. Ceux qui, parmi eux, suivaient un enseignement chrétien, n’obtempéraient plus aux avances du roi pour des relations sexuelles anales. Ils étaient assassinés. Ainsi, en 1886, une trentaine de jeunes furent brulés vifs, dont le célèbre Charles Lwanga, considéré comme leur meneur, qui reçut un traitement cruel en isolement et fut ensuite assassiné.

A la cour royale, chez les Mossi du Burkina-Faso, les plus beaux garçons étaient choisis et revêtus en femmes pour des rapports sexuels avec les chefs. Au Kenya, dans les tribus massaïs et chez les Meru, les hommes s’habillaient en femmes pour des relations sexuelles avec d’autres hommes. La même situation se retrouvait dans le royaume des Ashanti de Côte-d’Ivoire où les esclaves étaient objet de plaisir sexuel homosexuel.

Chez les Nyakyusa (appelés aussi Sokile, Ngonde ou Nkonde), un groupe ethnique bantou à cheval sur la Tanzanie et le Malawi comme les Azandé (RDC, Sud Soudan, République centrafricaine), l’homosexualité était monnaie courante notamment chez les femmes des polygames pour leurs jouissances. Avec plus d’une dizaine de femmes qu’il fallait fréquenter, le polygame, souvent âgé, était dans l’impossibilité de les satisfaire sexuellement, les rapports conjugaux n’ayant lieu d’ailleurs que rarement. Les femmes faisaient alors recours aux pénis taillés dans des tubercules de manioc, de patates douces ou de bananes noués au tour du bassin pour faciliter la pénétration vaginale. Les pratiques homosexuelles étaient également rencontrées chez des garçons entre eux, surtout des bergers, ou entre un garçon et un célibataire adulte. Mais cette homosexualité était passagère et était pratiquée pour pallier au manque de plaisir hétérosexuel. Elle consistait, la plupart du temps, en une pénétration anale ou en une éjaculation entre les cuisses du garçon.
 
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Boris Rachewiltz écrit que les pratiques homosexuelles étaient répandues notamment chez les Lango (Ouganda), les Thonga (Mozambique), les Ouolof (Sénégal), les Zandé (République démocratique du Congo, au Soudan du Sud et en République centrafricaine) ainsi que chez les Foulans (Nigéria). Les femmes Mboundou (Gabon) et Nama (Namibie) recouraient à un pénis artificiel pour des masturbations mutuelles. Il en est de même des femmes Zandé qui utilisaient un pénis en bois attaché aux hanches pour jouer la pénétration vaginale de la partenaire. Cet auteur rapporte le cas spécial des Bobo (Mali et du Burkina Faso). Des femmes stériles avec une certaine richesse s’offraient de jeunes filles contre versement de dot comme dans un mariage normal. Des fois, les jeunes mariées pouvaient s’accoupler également avec des hommes au service de ces matronnes, mais sans aucun autre droit même pas sur les enfants qui pouvaient naître de ces relations.

En Afrique du Nord (Algérie, Maroc), une sorte de prostitution de jeunes garçons a été observée le siècle dernier. En Afrique du Sud, des jeunes garçons entre 7 et 12 ans servaient de domestiques et de femmes aux mineurs qui se livraient ainsi à la pédérastie après leur travail dans les galeries et les tranchées. C’était le cas dans les mines situées dans les régions des Xhosa et Hereros.

Après ce survol historique de l’homosexualité emprunté à Charles Gueboguo et à Boris Rachewiltz, voyons la terminologie de ce terme dans différentes cultures africaines.

L’éponji

En Angola le mot « éponji » désignait des relations sexuelles entre deux partenaires de même sexe.

Le gaglo

L’expression désignait, dans le royaume du Dahomey (Bénin) comme chez les Bafia du Cameroun, une forme d’homosexualité pratiquée par de jeunes adolescents. Dès que les enfants étaient pubères, l’éducation était séparée. Les garçons allaient jouer seuls loin des filles. Pour satisfaire leur désir sexuel, ils formaient des couples, le plus âgé pénétrant analement le plus jeune et cela jusqu’à l’âge adulte voire pour toute la vie.

Le kutsire

Terme hottentot de l’Afrique australe, utilisé au sein du groupe ethnique Khoi Khoi, le kutsire signifie littéralement « soupe de lait ». Il sert à désigner un jeune homme de plus de 18 ans qui reste accroché au jupon de sa mère. C’est une exhortation pour le concerné à l’autonomie et à fonder son propre foyer.

Enfin, entre le 16 et le 18è siècle, les explorateurs ont relevé que chez les Khoi Khoi, le kutsire pouvait désigner un homme ou un garçon qui se prêtait passivement à une pénétration anale dans une relation d’homosexualité.
 
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Le kuzunda

Chez les Wawihé de l’Angola, le kuzunda est une sorte de masturbation mutuelle entre deux partenaires mâles au cours de laquelle les glands de leurs pénis sont frottés l’un contre l’autre.

Le quimbanda

Décrit par les premiers explorateurs dans la région de l’Angola depuis le 17è siècle, les Quimbandas sont comme des sorciers exerçant une force magique sur leur entourage. Ils étaient habillés en femmes et pratiquaient une sorte d’homosexualité en se livrant entre eux à des rapports sexuels anaux. Le quimbanda est aussi trouvable dans bon nombre de villes du Brésil où il est considéré comme une religion d’origine africaine.

Le sekreta

Au Madagascar, dans la tribu des Sekalaves, les Sekreta étaient, au 19è siècle, de jeunes garçons habillés en femmes et qui se livraient à une prostitution en couchant avec d’autres hommes pour de l’argent. Comme alternative à la pénétration anale, les Sekreta pouvaient proposer à leurs clients une corne de vache emplie de graisses et placée entre leurs cuisses et dans laquelle le partenaire enfonçait son pénis avec des mouvements de va-et-vient jusqu’à l’éjaculation. Dans les Iles Comores, ils étaient connus sous le nom de Sekatses.

Le shoga

Mot swahili d’origine arabe, il signifie, dans la région de Zanzibar, un jeune homme qui se met à la disposition d’un partenaire plus âgé dans une relation sexuelle. Le shoga se prête à un rôle passif pour une pénétration anale et est payé ou récompensé pour ses prestations.

Le chibados

Considéré comme une secte de sorciers, les chibados étaient des hommes habillés en femmes et qui se mariaient entre eux. Ils ont été décrits notamment par les premiers missionnaires qui ont foulé l’Afrique noire entre le 16 et le 18è siècle. Ils les ont localisés notamment chez les Bakongo en République Démocratique du Congo (RDC) et chez les Dongo en Angola.
 
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L’okutunduka

Chez les Hereros de l’Afrique du Sud, le terme okutunduka est une pratique sexuelle de pénétration anale. Elle signifie littéralement « monter les garçons ».

L’omututa

Chez les Wawihé de l’Angola, l’omututa désignait la relation sexuelle anale ou la masturbation entre les partenaires de même sexe.

Le nsanga

Sorte de prostitués rencontrés chez les Zande (ou Azande), peuples de la République démocratique du Congo, du Sud Soudan et de la République Centrafricaine. Les Nsanga étaient des garçons qui s’habillaient en femmes, enduisaient leur corps d’huile pour faire le joli et ainsi attirer des hommes pour des relations homosexuelles.

Le ko’o

Ce rite était exécuté par les femmes Bassa du Cameroun et consistait en des attouchements dans une cérémonie dite de « célébration du clitoris et de la puissance féminine ». Il suggère une homosexualité féminine.

Le mevungu

Proche du ko’o, le mevungu est un rite des Beti du Cameroun, lui aussi destiné à célébrer le clitoris et la puissance féminine.

Il était exécuté nuitamment au cours d’une danse dans la case de la femme qui s’était proposée d’accueillir le groupe. Tout était centré sur le vagin et le clitoris de l’officiante. Celle-ci était une femme d’un certain âge, ayant atteint la ménopause, censée n’avoir plus de rapports sexuels avec les hommes et reconnue par ses paires pour les bonnes mensurations de ses organes génitaux dont la longueur exorbitante de son clitoris. Les participantes étaient également regroupées par catégories, considération faite du développement grandiose de leurs organes génitaux.

Au milieu des chants entonnés et des discours d’une grande obscénité, une ficelle était attachée au clitoris de la célébrante au bout duquel était attaché un fruit sauvage. Les autres femmes venaient se frotter dessus pour acquérir le pouvoir et la force de la célébrante. Elles frottaient de la cendre sur ses organes sexuels, elles parlaient à son clitoris pour lui demander d’exaucer leurs vœux, etc. Bref le mevungu était une sorte de culte au clitoris. Les femmes s’adonnaient à son attouchement, lui faisaient des massages, procédaient à son étirement allant jusqu’à le nourrir avec une bouillie pour qu’il atteigne les mensurations du pénis en exécutant des danses qui suggéraient le coït et les femmes ménopausées jouaient le rôle masculin.

Le mevungu était exécuté en dehors de la présence des hommes et dans le secret le plus absolu.

Le kulamba

Lors des relations sexuelles lesbiennes, les femmes de Zanzibar (Tanzanie) se lèchent mutuellement le sexe. Une sorte de cunnilingus.

Le kusagana

Dans les relations sexuelles de caractère lesbien, les femmes de Zanzibar se frottaient les parties génitales l’une contre l’autre.

Le nsagaji

Terme bantou utilisé dans les régions de Zanzibar et de Mombassa (Tanzanie) pour désigner une femme lesbienne.

Gaspard Musabyimana

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Notes

[1] http://fr.wikipedia.org/wiki/Lesbianisme, consulté le 28/11/2019.
[2] – Charles Gueboguo, La question homosexuelle en Afrique. Le cas du Cameroun, Paris, L’Harmattan, 2006.
– Charles Gueboguo, Sida et homosexualité(s) en Afrique. Analyses des communications de prévention, Paris, L’Harmattan, 2009.
 
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T'as lu tous ces extraits que tu nous partages ? C'est trop long . on aurait besoin d'une synthèse

Moi je pense que l'homosexualité comme tout ce qui va nous venir de la theorie du genre, c'est tout droit sorti des laboratoires de Satan, qui a poussé l'horreur dans le vice, jusqu'a nous faire des études scientifique et sociologique et antropologique comme pour annoblir la question et pour que l'élite , les intellectuels , soient les premiers à defendre cette nouvelle espece morale artificiellement créée par Satan je le repete , et etre les premiers artisans de la destruction de leur propre culture et religion, leur identité, leur espece.

A partir de là, tout le reste devient resultats et consequences . Les reponses, les explications, les solutions sont souvent dans les debuts, les origines.
 
alors voilà on va nous faire croire que l'homosexualité vient de la culture occidentale après avoir lu cet article ???

j'ai surligné les passages les plus significatifs, pour ceux qui ne veulent pas tout lire.

mais j'ai gardé tout le texte pour qu'on puisse voir que c'était vraiment très étendu et dans toutes les cultures traditionnelles en Afrique

Voilà qui vous permettra de remettre en question les idées reçues.
faut pas être naïf !

:D:D
 
alors voilà on va nous faire croire que l'homosexualité vient de la culture occidentale après avoir lu cet article ???

faut pas être naïf !

:D:D


Quand on sait que l'afrique est le laboratoire en tout genre de l'occident , tes articles ne prouvent rien du tout.
L'occident , falsificateur de l'Histoire , pour la re -ecrire dans le sens qui lui plait
ET t'arrives encore ce genre de choses. Quelle naiveté!
 
Il faut qu'il VOIT un homme et son comportement pour que son attitude se calque sur la sienne.

il ne faut pas confondre l'identité de genre et l'orientation sexuelle

faire des études scientifique et sociologique et antropologique comme pour annoblir la question et pour que l'élite , les intellectuels , soient les premiers à defendre cette nouvelle espece morale artificiellement créée par Sata

non, les études anthropologiques ne précèdent pas l'homosexualité dans la pratique.
l'homosexualité, j'ai tenu à le montrer à travers l'article cité, était totalement répandue dans les sociétés traditionnelles.
 
La seule différence c'est que les hétéros peuvent forniquer en toute légalité religieuse s'ils se marient alors que les homosexuel(le) marié(e)s ou pas, ils/elles ne peuvent pas forniquer "dans le halal"

Juste une précision : une fois marié, on ne parle plus de "fornication" il me semble :intello:
 
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