Un prof de maths poussé vers la sortie car trop arabe, trop musulman

Crocodile26 a dit:
Normal Antivo, ton cerveau doit sans doute fonctionner à 50% grand max . . . comme pour la fois où tu m'as invité pour une baston dans le parking vinci de Nation au 4e sous-sol (là où il n'y as pas de réseau gsm) :p

Mother fucking bastard you are ! ! ! :D
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antivo? encore pq on me prend pour lui?
et alors t as été ? qui a gagné ?
 
On lit de c'est truc ici ! :eek:

"Porter une barbe c'est violé la laïcité !'"

"Avoir une barbe est un look alternatif !"

"La barbe c'est intégriste !"

"Avoir une barbe c'est un manquement au vivre ensemble !"

"Porter une barbe c'est être hors la loi !"

"La barbe amène la dissension au sein du groupe pédagogique"

Sa me rappel le cas de cette jeune fille de 14 ans qui avait subis un refus d'entrée à l'école car...sont talon mesure 5 centimètres ! :intello:

http://www.elle.fr/Societe/News/Une-collegienne-refusee-a-l-ecole-a-cause-de-ses-talons-1442823

Mais là, pas de donneurs de leçon sur le respect de la loi et du vivre ensemble bizarrement...circulé il y a rien à voir...:rolleyes:
 
breakbeat a dit:
On lit de c'est truc ici ! :eek:

"Porter une barbe c'est violé la laïcité !'"

"Avoir une barbe est un look alternatif !"

"La barbe c'est intégriste !"

"Avoir une barbe c'est un manquement au vivre ensemble !"

"Porter une barbe c'est être hors la loi !"

"La barbe amène la dissension au sein du groupe pédagogique"

Sa me rappel le cas de cette jeune fille de 14 ans qui avait subis un refus d'entrée à l'école car...sont talon mesure 5 centimètres ! :intello:

http://www.elle.fr/Societe/News/Une-collegienne-refusee-a-l-ecole-a-cause-de-ses-talons-1442823

Mais là, pas de donneurs de leçon sur le respect de la loi et du vivre ensemble bizarrement...circulé il y a rien à voir...:rolleyes:
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ibo95 a dit:
argument non recevable, dans le corps professorat, on s'habille comme on veut, on a tous eu des prof qui se ramène en jogging basket comme des profs en costard cravate
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Euh, justement, à la seule exception des prof de gym, je n'ai jamais vu ça !






Et costard cravate, je n'ai pas souvenirs non plus.

Décontracté, mais correctement habillé et présentable.
 
breakbeat a dit:
On lit de c'est truc ici ! :eek:

"Porter une barbe c'est violé la laïcité !'"

"Avoir une barbe est un look alternatif !"

"La barbe c'est intégriste !"

"Avoir une barbe c'est un manquement au vivre ensemble !"

"Porter une barbe c'est être hors la loi !"

"La barbe amène la dissension au sein du groupe pédagogique"

Sa me rappel le cas de cette jeune fille de 14 ans qui avait subis un refus d'entrée à l'école car...sont talon mesure 5 centimètres ! :intello:

http://www.elle.fr/Societe/News/Une-collegienne-refusee-a-l-ecole-a-cause-de-ses-talons-1442823

Mais là, pas de donneurs de leçon sur le respect de la loi et du vivre ensemble bizarrement...circulé il y a rien à voir...:rolleyes:
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Ben c'est une bonne chose que de la refuser lorsqu'une fille porte des chaussures à talons.

Il y a plusieurs raisons à ça : l'école n'est pas un lieu approprié, ça fait énormément de bruit dans les couloirs quand ça "claque" au sol, et aussi pour des raisons de santé !
 
Pareil a dit:
Ben c'est une bonne chose que de la refuser lorsqu'une fille porte des chaussures à talons.

Il y a plusieurs raisons à ça : l'école n'est pas un lieu approprié, ça fait énormément de bruit dans les couloirs quand ça "claque" au sol, et aussi pour des raisons de santé !
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MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR !
 
@breakbeat :

Je te propose de me relire. Je porte moi-même la barbe. Seulement, je porte la barbe de manière soignée, "classique". Peignée, coupée au ciseau régulièrement chez un barbier.

En bref, lorsque je me présente devant une classe, je fais attention à mon apparence et à l'image que je renvoie. Qui se doit d'être neutre et soignée.

En tant qu'enseignant, tu signes un contrat dans lequel tu t'engages à le faire. Personne ne force qui que ce soit à signer ce contrat. Cette personne a signé ce contrat qui l'engage, légalement, à certaines contraintes. Comme tout contrat de travail. Avoir une présentation correcte fait partie de ces contraintes.

Comme dit au dessus, un coup de ciseau, un bon peigne, et le problème "visuel" est reglé. Reste le problème de la non intégration au milieu pédagogique.

En tant que prof, toujours par contrat, tu t'engages à faire partie entièrement de l'équipe pédagogique. Ça signifie aussi que tu t'engages à travailler de concert avec tes collègues et fera tout pour éviter une attitude qui puisse nuire à la synergie du groupe.

C'est pratiquement écrit tel quel dans ton contrat. Tu signes, tu t'engages. Sinon, tu ne signes pas. C'est son choix d'avoir signé.

En ce qui concerne les talons, il en va de même dans l'école secondaire où j'ai enseigné. Les piercings masculins, interdit. Pour les étudiantes, uniquement aux oreilles et uniquement une boucle à chaque lobe. Ainsi qu'un tas d'autres choses, stipulées dans le ROI (règlement d'ordre intérieur). Parmi lesquels : tatouage, jupe au dessus du genou, talon trop haut, pantalon large, vêtements sales, hygiène personnelle négligée, dreadlocks (fille ou garçon), cheveux longs (garçons), vêtements portant un logo politique ou religieux (exit le Che ou Bob Marley), décolleté (même minime), etc...

Certaines écoles imposent encore un uniforme d'ailleurs. Ou des couleurs particulières à respecter.

Là encore, les parents ET les élèves sont invités à signer ce règlement et s'engagent à le tenir. S'ils refusent ce règlement, ils ne le signent pas. Et vont voir ailleurs.
 
pogoss a dit:
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J'ai un bouton sur le nez ???
 
@Pareil :

L'école où j'ai suivi mes secondaires obligeait les profs, hors éducation physique, à porter le costard cravate. Ce qui est allé plus loin que la législation. Sauf qu'ici, les écoles sont, pour plus de la moitié d'entre elle, libres d'émettre leur propre règlement intérieur. Et d'aller au-delà de ce que demande la loi.

Y compris pour leur personnel.

Pour te donner une idée, la bibliothécaire (qui vendait aussi des confiseries aux récréations) venait en tailleur parce que c'était exigé dans son contrat.

Dans tout le personnel de l'école, seul trois groupes de personnes pouvaient se présenter autrement qu'en costard-cravate / tailleur :

- Les profs d'éducation physique
- Les ouvriers chargés de la maintenance du bâtiment
- Le personnel d'entretien
 
Docours a dit:
@breakbeat :

Je te propose de me relire. Je porte moi-même la barbe. Seulement, je porte la barbe de manière soignée, "classique". Peignée, coupée au ciseau régulièrement chez un barbier.

En bref, lorsque je me présente devant une classe, je fais attention à mon apparence et à l'image que je renvoie. Qui se doit d'être neutre et soignée.

En tant qu'enseignant, tu signes un contrat dans lequel tu t'engages à le faire. Personne ne force qui que ce soit à signer ce contrat. Cette personne a signé ce contrat qui l'engage, légalement, à certaines contraintes. Comme tout contrat de travail. Avoir une présentation correcte fait partie de ces contraintes.

Comme dit au dessus, un coup de ciseau, un bon peigne, et le problème "visuel" est reglé. Reste le problème de la non intégration au milieu pédagogique.

En tant que prof, toujours par contrat, tu t'engages à faire partie entièrement de l'équipe pédagogique. Ça signifie aussi que tu t'engages à travailler de concert avec tes collègues et fera tout pour éviter une attitude qui puisse nuire à la synergie du groupe.

C'est pratiquement écrit tel quel dans ton contrat. Tu signes, tu t'engages. Sinon, tu ne signes pas. C'est son choix d'avoir signé.

En ce qui concerne les talons, il en va de même dans l'école secondaire où j'ai enseigné. Les piercings masculins, interdit. Pour les étudiantes, uniquement aux oreilles et uniquement une boucle à chaque lobe. Ainsi qu'un tas d'autres choses, stipulées dans le ROI (règlement d'ordre intérieur). Parmi lesquels : tatouage, jupe au dessus du genou, talon trop haut, pantalon large, vêtements sales, hygiène personnelle négligée, dreadlocks (fille ou garçon), cheveux longs (garçons), vêtements portant un logo politique ou religieux (exit le Che ou Bob Marley), décolleté (même minime), etc...

Certaines écoles imposent encore un uniforme d'ailleurs. Ou des couleurs particulières à respecter.

Là encore, les parents ET les élèves sont invités à signer ce règlement et s'engagent à le tenir. S'ils refusent ce règlement, ils ne le signent pas. Et vont voir ailleurs.
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Tu serais musulman, ta barbe soigné peigné coupé passerai pas quand même car considéré comme "ostensiblement religieuse".

Que on vire ce gars parce qu'il ne veut pas serrer la main aux femmes, ok je comprends, mais faire de la barbe un motif de licenciement...je crois qu'il ne faut pas non plus nous prendre pour des buses !

C'est comme l'histoire de cette ado en talon de 5 centimètres, ne pas s'habillé en tenue provocante, ok, je comprends, mais voir de la provocation sexuelle dans 5 centimètres de talon, faut être quand même perché...:confused:

Autres cas dans un Dom Tom Français :

Refus d’accès à un élève parce qu'il a la coupe dreadlocks, affichant alors ostensiblement son appartenance religieuse "Rastafari".

Je crois que la crise n'est pas seulement financière mais aussi "existentielle" à ce stade ! l'état Français commence sérieusement à devenir cliniquement fou...
 
@breakbeat :

Sauf que, si, c'est le cas. Je bossais dans des écoles catholiques, majoritairement (avant de passer à une université neutre). Dans des quartiers à fort taux d'immigration. Ou de xième génération post immigration. Immigration majoritairement du maghreb et, assez logiquement, majoritairement de confession musulmane.

La majorité des élèves étaient musulmans. Et, assez logiquement, 1/3 des enseignants aussi.

Dont des hommes. Barbus. Tout comme moi. Et si tu n'avais pas suivi ou que tu ne t'en rappelles pas, je ne suis pas vraiment "blanc". Peu de risque de me confondre avec un norvégien. Ou même un sicilien.

Le tout dans une école catholique. Et pouvant enseigner sans que jamais ils ne soient inquiétés par la direction. Tiens, assez amusant, une sous-directrice et un sous-directeur étaient, eux aussi, musulmans. Le sous-directeur portait la barbe d'ailleurs.

Seulement, désolé, mais ce qu'il porte là, ce n'est pas une barbe. C'est un nid à oiseaux. Une chatte n'y retrouverait pas ses petits.

Sinon, pour revenir à l'histoire de l'ado à talon, tout dépend du règlement de l'école. Dans l'école où je suivais mes secondaires, les logos étaient totalement interdits. J'ai été renvoyé chez moi, ainsi que plusieurs autres personnes, parce que mon pull portait le logo de la marque. Que ce soit tintin, disney ou lacoste, tu retournais chez toi pour te changer. Et tu étais accepté que si ta tenue répondait au règlement de l'école. Et du coup, puisque j'avais raté des cours, j'avais droit en plus à une absence injustifiée d'une demie-journée. Au bout de 30 demie-journée injustifiées, tu es tout simplement mis à la porte de l'école, sans recours possible (ça, c'est la loi par contre, pour tout le monde).

Et t'as rien à dire, tu as signé ce règlement en t'inscrivant dans l'école. Tu t'es engagé personnellement. Si tu ne voulais pas, fallait pas signer.
 
Docours a dit:
@breakbeat :

Sauf que, si, c'est le cas. Je bossais dans des écoles catholiques, majoritairement (avant de passer à une université neutre). Dans des quartiers à fort taux d'immigration. Ou de xième génération post immigration. Immigration majoritairement du maghreb et, assez logiquement, majoritairement de confession musulmane.

La majorité des élèves étaient musulmans. Et, assez logiquement, 1/3 des enseignants aussi.

Dont des hommes. Barbus. Tout comme moi. Et si tu n'avais pas suivi ou que tu ne t'en rappelles pas, je ne suis pas vraiment "blanc". Peu de risque de me confondre avec un norvégien. Ou même un sicilien.

Le tout dans une école catholique. Et pouvant enseigner sans que jamais ils ne soient inquiétés par la direction. Tiens, assez amusant, une sous-directrice et un sous-directeur étaient, eux aussi, musulmans. Le sous-directeur portait la barbe d'ailleurs.

Seulement, désolé, mais ce qu'il porte là, ce n'est pas une barbe. C'est un nid à oiseaux. Une chatte n'y retrouverait pas ses petits.

Sinon, pour revenir à l'histoire de l'ado à talon, tout dépend du règlement de l'école. Dans l'école où je suivais mes secondaires, les logos étaient totalement interdits. J'ai été renvoyé chez moi, ainsi que plusieurs autres personnes, parce que mon pull portait le logo de la marque. Que ce soit tintin, disney ou lacoste, tu retournais chez toi pour te changer. Et tu étais accepté que si ta tenue répondait au règlement de l'école. Et du coup, puisque j'avais raté des cours, j'avais droit en plus à une absence injustifiée d'une demie-journée. Au bout de 30 demie-journée injustifiées, tu es tout simplement mis à la porte de l'école, sans recours possible (ça, c'est la loi par contre, pour tout le monde).

Et t'as rien à dire, tu as signé ce règlement en t'inscrivant dans l'école. Tu t'es engagé personnellement. Si tu ne voulais pas, fallait pas signer.
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Faudrait interdire le couscous dans les cantines aussi ! je sais pas, quelque fois qu'un méchant islamiste aurait planquer une sourate sous la semoule pour convertir les petits...
 
@breakbeat :

Je te l'ai dit, chaque école crée son règlement d'ordre intérieur comme elle le souhaite dans les limites de la loi.

Certaines écoles interdisent les frites, les boissons sucrées (sodas, et autres), les boissons énergisantes, les bonbons, la nourriture de fast-food (donc, hamburger, pita, durum, ...), etc... Le couscous est une possibilité (bien que, ça soit plutot équilibré, de ce que j'en sais).

Et quand je dis interdit, ce n'est pas seulement qu'on en propose pas aux élèves via la cantine ou les distributeurs. Ca veut dire que tout élève qui amène un repas interdit se voit sanctionné.

Encore une fois, ça fait partie du règlement d'ordre intérieur que l'élève signe en s'inscrivant dans l'école. Sans cette signature, l'inscription est invalide. C'est le choix des parents ET de l'élève que de suivre ce règlement.

S'ils ne veulent pas, ils ne signent pas.

Ils font leurs propres choix.
 
Docours a dit:
@breakbeat :

Je te l'ai dit, chaque école crée son règlement d'ordre intérieur comme elle le souhaite dans les limites de la loi.

Certaines écoles interdisent les frites, les boissons sucrées (sodas, et autres), les boissons énergisantes, les bonbons, la nourriture de fast-food (donc, hamburger, pita, durum, ...), etc... Le couscous est une possibilité (bien que, ça soit plutot équilibré, de ce que j'en sais).

Et quand je dis interdit, ce n'est pas seulement qu'on en propose pas aux élèves via la cantine ou les distributeurs. Ca veut dire que tout élève qui amène un repas interdit se voit sanctionné.

Encore une fois, ça fait partie du règlement d'ordre intérieur que l'élève signe en s'inscrivant dans l'école. Sans cette signature, l'inscription est invalide. C'est le choix des parents ET de l'élève que de suivre ce règlement.

S'ils ne veulent pas, ils ne signent pas.

Ils font leurs propres choix.
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Où a tu vue que je souhaite le non respect du règlement ?

Un règlement ne doit pas dispenser d'être intelligent, qui a t-il d'intelligent à interdire :

La barbe ?
Des talons de 5 centimètres ?
Des dreadlocks ?

C'est illogique...
 
@breakbeat :

C'est illogique pour toi, pas pour tous. Si tu ne veux pas suivre un tel règlement, tu ne mets pas tes enfants (et toi, en tant que parent légalement responsable) dans un établissement qui possède un tel règlement.

Mais à partir du moment où tu signes, tu t'engages à respecter ce règlement. Tu dois l'avoir lu (tant pis pour toi si tu ne l'a pas fait) et tu dois avoir accepté de respecter chaque point.

Dans le cas de ce stagiaire, il a signé ce règlement. Il a donné sa parole, par écrit, de tenir ses engagements. Et il ne l'a pas fait. Il est donc en rupture de contrat avec son employeur. Son employeur peut donc le renvoyer de son poste.

Personne ne lui a mis un couteau sous la gorge et l'a obligé à signer. Il a été invité dans un bureau, assis dans un siège +/- confortable, a eu tout le temps qu'il voulait pour lire le contrat et a finalement apposé sa signature en bas de chaque page avec les diverses mentions légales (dont une qui dit, en substance, qu'il s'engageait à respecter la constitution, la loi et le règlement de l'établissement, dans cet ordre, et écrit à la main par le contractuel).

S'il ne voulait pas d'un tel règlement, là encore, il existe d'autres établissements.

Du coup, je me pose la question : S'il n'a pas voulu, dès le départ, respecter ce règlement, pourquoi avoir signer un papier qui l'obligeait à le faire ?

Et pourquoi venir crier au racisme quand c'est lui qui n'a pas respecté son contrat.

Quand un ouvrier se fait virer parce qu'il n'a pas porté son casque sur un chantier, est-ce qu'il peut dire que c'est du racisme ? Ou c'est simplement parce qu'il ne respecte pas le contrat qu'il a passé avec son employeur ? Même si cet ouvrier est musulman ?
 
geronimmo a dit:
c'est justement celà le probleme, ce n'est pas nouveau que les musulmans soient mal vu, mais faut pas etre debile pour passer au delà des croyances qu'un barbu musulman implique. Le probleme avec nous c'est tant qu'on nous impose pas de limite, on ira tester encore plus la patience de la majorité jusqu'au jour ou ca petera vraiment et à ce moment là, les droits on pourra leur dire ciao. Moi personnellement je suis contre ces accoutrements, Dieu sait que je suis muslim pratiquant et loin d'etre un vendu bounty ou que sais je, mais à un moment donné un minimum d'empathie ne ferait pas de mal et surtout faire preuve d'autocritique.
Le mec le dis lui meme qu'il a refusé de s'integrer, refuser de serrer des mains etc, des le depart, il a imposé sa loi, comment voulez vous qu'il soit recu?
J'etais en arabie saoudite et si vous etes pas habillé comme les saoudiens on vous flingue du regard comme pas possible pourtant habillés islamiquement parlant, j'ai pas pris ca pour du racisme.
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C est très exactement ce qui s est passé au Québec.
Résultat : un projet de "charte des valeurs" qui pose plus de problèmes qu il n en résout.
 
J ai eu un collegue de travail, d origine pakistanais je crois, qui refusait lui aussi de serrer les mains et faire la bise aux femmes.
Quand on faisait un apero d entreprise, il ne venait pas.
Personne ne le detestait pour autant, mais c est sur que il était isolé des autres.
C est *** pour lui, mais si il avait eu un conflit avec la direction, il n aurai pas eu beaucoup de collegues amis pour le défendre.
 
naylaa a dit:
Pas faux, y'a un air nord coréen ; )

Nous ne sommes pas le 1er avril et il ne s'agit pas d'une information du Gorafi... Mais depuis deux semaines, rapporte le très sérieux site de la BBC, les étudiants masculins de Corée du Nord sont obligés de porter la même coupe de cheveux que Kim Jong-Un.

Cette loi a été introduite dans la capitale Pyongyang il y a deux semaines avant d'être étendue à tout le pays, explique le site de la radio britannique citant Radio Free Asia. Les étudiants de sexe masculin devront donc arborer la coupe de cheveux du "Cher leader", à savoir bien dégagé au dessus des oreilles et dans la nuque et une raie au milieu. La mesure ne plaît pas à tout le monde. "La coupe de cheveux de notre leader est très particulière", explique une source anonyme à Radio Free Asia. "Elle ne va pas forcément bien à tout le monde puisque personne n'a pas le même visage ni la même forme de visage". Pire, selon un Nord-Coréen vivant en Chine, cette coupe de cheveux était appelée jusqu'au milieu des années 2000 la "coupe de cheveux des contrebandiers chinois".

Jusque là, les hommes nord-coréens avaient le choix entre 10 coupes de cheveux et les femmes entre 18. Il y a quelques semaines, la télévision d'Etat a lancé une campagne contre les cheveux longs
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Apparemment. l histoire de la coupe de cheveux en Corée est une fausse rumeur.
 
Il veut pas serrer la main aux femmes, ça a l'air de rien mais ça montre un peu qu'elle type d'idéologie régit son esprit. Je parle même pas de la barbe, l'équivalent du voile féminin. J'aimerais pas que mon enfant aille dans une école avec des profs comme ça.
 
Nalinux a dit:
J ai eu un collegue de travail, d origine pakistanais je crois, qui refusait lui aussi de serrer les mains et faire la bise aux femmes.
Quand on faisait un apero d entreprise, il ne venait pas.
Personne ne le detestait pour autant, mais c est sur que il était isolé des autres.
C est *** pour lui, mais si il avait eu un conflit avec la direction, il n aurai pas eu beaucoup de collegues amis pour le défendre.
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Disons que la bise entre collègues n'est pas ce qui posait réellement problème puisque ce n'est pas une norme sociale au Québec. Dans le cas du collègue que tu cites, c'est plus le fait de ne pas socialiser, que son comportement l'isolait du groupe. Beaucoup d'entreprises estiment que le fait de tisser des liens entre collègues favorise l'esprit d'équipe, la cohésion, la synergie de groupe.
 
Trop d'émotivité, au départ, sur ce topic. À lire certains, on croirait qu'aucun maghrébin ou musulman n'est professeur en France. Or, nous savons tous que ce n'est pas la réalité. Avant de s'enflammer ainsi, il faut se demander si tout ce que rapporte cet homme, par moment, est réellement crédible parce que c'est GROS.

Des parents d'élèves étaient assez gêné de la présence d'un arabe, d'un barbu au collège. D'un arabe, j'en doute fortement, mais d'un barbu à l'allure salafiste, plus probable. Cela éveille sans doute un malaise similaire à celui que des parents musulmans ressentiraient si une nonne catho affichée enseignait à leurs enfants.

Pour un refus de faire la bise et de serrer la main à une collègue j'ai été quasiment agressé verbalement voire presque physiquement. Vous y croyez? Moi, pas. Il y a pu y avoir argumentation sur le fait que serrer la main est une simple civilité mais de là à percevoir cela comme une agression verbale presque physique, je pense que c'est une distorsion de perception et une interprétation qui reflète la victimisation.

La chef d'établissement a écrit un rapport injuste voire mal attentionné à mon égard, où elle évoquait des absences, des retards. Or, c'était carrément mensonger. Une chef d'établissement tellement incompétente qu'elle tenait absolument à faire valoir par écrit qu'elle ne sait pas ce qu'est une absence ou un retard ...

Pendant la cours de récréation, les élèves parlaient du licenciement de monsieur Karkeli ... On manipulait les élèves ainsi que leurs parents. Il y eu toujours des bruits de couloir, du harcèlement, des manipulations d'élèves. On m'humiliait devant les élèves, on me décrédibilisait, on me manquait de respect au vue et au su de tous les collègues. Un complot impliquant tout le collège et un lynchage public répété ... Rien de moins.

On m'accusait de tout et de rien ... d'être un misogyne, d'être un incompétent, d'être un vulgaire. Un second rapport de la part de la chef d'établissement que j'ai refusé de signer ... était discriminatoire et diffamatoire, truffé d'erreur et de contrevérités. On m'accusait d'être un chiite intégriste, un terroriste, marxiste et un voyou de quartier, un pédophile... Faudrait-il en déduire que les français sont des imbéciles totalement ignorants de ce qu'est la diffamation?

Car je vois bien qu'être musulman et diplômé, ça conduit à la précarité ... Ce qui conduit à la précarité c'est de ne pas considérer certaines contraintes de son éventuelle profession et de s'ancrer dans une attitude et un comportement de victime en refusant de considérer le point de vue de ses vis-à-vis dont, celui de son employeur.
 
Dernière édition:
MyriemF a dit:
Trop d'émotivité, au départ, sur ce topic. À lire certains, on croirait qu'aucun maghrébin ou musulman n'est professeur en France. Or, nous savons tous que ce n'est pas la réalité. Avant de s'enflammer ainsi, il faut se demander si tout ce que rapporte cet homme, par moment, est réellement crédible parce que c'est GROS.
Des parents d'élèves étaient assez gêné de la présence d'un arabe, d'un barbu au collège.
D'un arabe, j'en doute fortement, mais d'un barbu à l'allure salafiste, plus probable. Cela éveille sans doute un malaise similaire à celui que des parents musulmans ressentiraient si une nonne catho affichée enseignait à leurs enfants.
Pour un refus de faire la bise et de serrer la main à une collègue j'ai été quasiment agressé verbalement voire presque physiquement. Vous y croyez? Moi, pas. Il y a pu y avoir argumentation sur le fait que serrer la main est une simple civilité mais de là à percevoir cela comme une agression verbale presque physique, je pense que c'est une distorsion de perception et une interprétation qui reflète la victimisation.

La chef d'établissement a écrit un rapport injuste voire mal attentionné à mon égard, où elle évoquait des absences, des retards. Or, c'était carrément mensonger. Une chef d'établissement tellement incompétente qu'elle tenait absolument à faire valoir par écrit qu'elle ne sait pas ce qu'est une absence ou un retard ...

Pendant la cours de récréation, les élèves parlaient du licenciement de monsieur Karkeli ... On manipulait les élèves ainsi que leurs parents. Il y eu toujours des bruits de couloir, du harcèlement, des manipulations d'élèves. On m'humiliait devant les élèves, on me décrédibilisait, on me manquait de respect au vue et au su de tous les collègues. Un complot impliquant tout le collège et un lynchage public répété ... Rien de moins.

On m'accusait de tout et de rien ... d'être un misogyne, d'être un incompétent, d'être un vulgaire. Un second rapport de la part de la chef d'établissement que j'ai refusé de signé ... était discriminatoire et diffamatoire, truffé d'erreur et de contre-vérités. On m'accusait d'être un chiite intégriste, un terroriste, marxiste et un voyou de quartier, un pédophile... Faudrait-il en déduire que les français sont des imbéciles totalement ignorants de ce qu'est la diffamation?

Car je vois bien qu'être musulman et diplômé, ça conduit à la précarité ... Ce qui conduit à la précarité c'est surtout de s'ancrer dans une attitude et un comportement de victime tout en refusant de considérer le point de vue de ses vis-à-vis dont, celui de son employeur.
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Puis franchement c'est subjectif mais il n'est pas franchement sympathique ce type , j'aurais pas tellement envie de l'avoir ni comme collègue, ni comme prof :-)
 
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