une femme imam ?

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Les heritiers spirituels,
si tu etudie les textes sacrées,que tu pratique l'exegese,que tu devienne toi meme vecteur de la pensé et du dogme islamique,mecaniquement tu devient aussi une heritiere puisque ton savoir est devenu immense.
Ce qui m'autorise a dire que n'importe quel quidam en islam peut devenir savant et se pretendre heritier du prophete SAW.

je suis les plus grand savant
mais bonc compliké tous sa pour ma ptite cervelle
 
on diré que tu parle d'une secte

Non!!!
Disons que certaines methodes sont communes aux deux.
A savoir une religion revelé et une secte
Pour ma part,je ne serais jamais sectaire,si la religion pour certains vient liberé l'esprit,il n'y a aucun doute que les sectes ont eux comme doctrine qui ne fait qu'emprisonner l'esprit.
 
On en revient au Coran ( parole d' Allah ) donc d'après toi incomplète ??
Ou alors comme le dit Max il y a deux législateurs .?

On ne peut pas non plus dire :c'est un ordre divin, exemple le porc est interdit c'est la règle de Dieu et lui faire dire ce qu'il ne dit pas par autrui...
Surtout que tout (ce qui est important aux yeux du créateur) est dit dans le CORAN..

On ne doit contredire la parole de Dieu point..

Le reste,il laisse les humains faire leurs choix..

On va pas revenir sur la sempiternelle querelle entre deux législateurs ou Dieu comme unique législateur.

Je posais une seule question : y a t'il une sourate,un verset de DIEU qui parle de ca ??

Car je vois plus de haddith que de versets ....

Sourate 11 : HOUD
123 versets - Pré-Hégire

-----------------------------------------------------------------------------

Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le très Miséricordieux

1. Alif, Lam, Ra. C'est un Livre dont les versets sont parfaits en style et en sens, émanant d'un Sage,Parfaitement Connaisseur .

2. N'adorez qu'Allah. Moi, je suis pour vous, de Sa part, un avertisseur et un annonciateur.


Le reste de la sourate est a méditée

PS : Maintenant ,je ne suis pas un connaisseur et Dieu (qu'il soit exalté) est omniscient et omnipotent



je ne sais pas si t'as pu lire les différents com qui ont suivis ta question. si ce n'est pas le cas, je risque de me répéter, mais je vais qd mm reprendre de manière un peu + didactique.

il n'y'a qu'un seul législateur qui est allah 3azza wa jall, et les 2 sources dont on dispose en islam proviennent de DIEU.
parceque concernant la sunna, meme s'il s'agit des paroles du prophète mohammed sws, le sens vient d'allah.
et sache que la sunna est aussi une révélation, et il y'a maintes versets du saint coran qui le prouvent.

dc, ne t'embrouilles pas dans tes idées, et n'essaye pas de me faire dire ce que je n'ai pas dit
 
je ne sais pas si t'as pu lire les différents com qui ont suivis ta question. si ce n'est pas le cas, je risque de me répéter, mais je vais qd mm reprendre de manière un peu + didactique.

il n'y'a qu'un seul législateur qui est allah 3azza wa jall, et les 2 sources dont on dispose en islam proviennent de DIEU.
parceque concernant la sunna, meme s'il s'agit des paroles du prophète mohammed sws, le sens vient d'allah.
et sache que la sunna est aussi une révélation, et il y'a maintes versets du saint coran qui le prouvent.

dc, ne t'embrouilles pas dans tes idées, et n'essaye pas de me faire dire ce que je n'ai pas dit

Les verset qui poussent (doit disant) a adhéré au hadiths sont avant tous des "interprétations personnel" plutôt que des verset explicite sur le sujet !

Suivre l'exemple du prophéte c'est par exemple :

La non consommation de l'alcool

Adoré le seul et unique vrai Dieu

Évité la fornication

Être équitable etc...

De plus les hadiths sont "dit on" la pour éxpliquer le coran or le coran dit que Muhammad n'avais pas le droit d'expliquer le coran juste de le récité !
 
Non!!!
Disons que certaines methodes sont communes aux deux.
A savoir une religion revelé et une secte
Pour ma part,je ne serais jamais sectaire,si la religion pour certains vient liberé l'esprit,il n'y a aucun doute que les sectes ont eux comme doctrine qui ne fait qu'emprisonner l'esprit.

comme ont dit en sociologie : « une religion, c'est une secte qui a réussie » :D

non, ce n'est pas si vrai et je fais un peu de provocation
mais ce qui est vrai, c'est que la frontière entre secte et religion n'est qu'une question subjective, et en pratique même, on appel religion, ce que l'on respecte et secte, ce que l'on ne respecte pas (le mot secte est une marque de discrimination)
les processus qui régisse les religion et les sectes sont les mêmes, et la seule différence entre les deux, c'est que le mot secte est un doigt accusateur
mais on accuse parfois à tord, tout comme il arrive qu'on accuse pas les coupables
et donc il arrive que certaines choses qui se passent dans certains cercles religieux soient répréhensible, même si on n'utilise pas le mot secte pour parler de ce cercle en particulier

le mot secte, est un mot qu'il faut apprendre à oublier
il lui a été le pouvoir de porter une connotation négative, et il ne sert plus maintenant qu'à dicter au gens ce qu'ils doivent penser de tel ou tel mouvement

il n'y a pas de distinctions entre les deux, et en dehors de ces jugement de valeurs, la nature est la même
 
Zarma tes qui toi pour dire que l'islam c'est ça ou ça ? Dieu ta nommé sont nouveau messager ?

Bonjour,

Peut tu me dire un seul prophéte ou messager qui étais une femme ??

Non?

Tu n'en trouveras pas, car ALLAH a placer l'homme comme heritier et non la femme, c'étais un des deux , et pas Sa sagesse il a désigné l'homme!

D'ailleurs l'homme qui régit la séance de priére doit se placer tout devant, pour la femme qui régit la priére pour les femmes elle doit se placer entre les rang !!

Là je vois que ce n'est pas le cas, surement elle a voulu moderniser la chose, un coup de marketing, oubliant des lois pour dire "regarder comme c'est beau"
 
Allah a placé l'homme comme heritier et non la femme.....
Sa sagesse a designé l'homme.....

Ok!!! l'homme a aussi un peu aidé Dieu a faire en sorte qu'il en soit ainsi!!

Religion d'homme faite part les hommes pour les hommes,
et oui,les temps changent,
la femme n'est plus spectatrice de sa propre vie,elle devient l'egale de l'homme,et comme tout n'est que mektoub et volonté Divine,
une femme imam s'inscrit dans la volonté du Tout Puissant d'elever a son vrai rang celle qui a été minoré depuis des siecles et des siecles dans une société patriarcale ou l'homme s'arroge le droit de preeminence sur la femme.
 
Allah a placé l'homme comme heritier et non la femme.....
Sa sagesse a designé l'homme.....

Ok!!! l'homme a aussi un peu aidé Dieu a faire en sorte qu'il en soit ainsi!!

Religion d'homme faite part les hommes pour les hommes,
et oui,les temps changent,
la femme n'est plus spectatrice de sa propre vie,elle devient l'egale de l'homme,et comme tout n'est que mektoub et volonté Divine,
une femme imam s'inscrit dans la volonté du Tout Puissant d'elever a son vrai rang celle qui a été minoré depuis des siecles et des siecles dans une société patriarcale ou l'homme s'arroge le droit de preeminence sur la femme.

En islam , la femme est l'égale de l'homme, dans toute les institutions !!
Cela est une loi, aucune injustice , car Dieu tranchera !!

Maintenant tout ce qui appartient à Dieu, aucun contournement ne peut être possible!! C'est ce que 'lon appel "la soumission" , et cette soumission est la priére !!

Resutat des courses, au lieu de plaire à l'homme en disant " on oublie telle où telle loi" , plaisons a Dieu, car l'hummain penche vers ses passions.


Qu'une chose ne se soit jamais produite, ne signifie pas qu'elle est impossible.

Un peu de bon sens comme-même :eek:

Tu pense avoir un bon sens ?

Alors si ton sens est veritablement bon, alors designe moi une femme que Dieu par Sa sagesse à designer heritiére d'un peuple.

Dans le cas contraire , soumettons nous a la volonté de Dieu , et non à ta passion
 
Religion d'homme faite part les hommes pour les hommes,
et oui,les temps changent,
[...]

C'est bof-bof quand-même l'argument féministe :rolleyes:
À l'origine, les icônes religieuses étaient exclusivement des représentations féminines, et là, personne n'a jamais jugé bon d'y voir du sexisme non-plus.... le discours se référant à l'équité des genres, c'est comme ça arrange.

Un peu de bon sens comme-même (bis) :D
 
C'est bof-bof quand-même l'argument féministe :rolleyes:
À l'origine, les icônes religieuses étaient exclusivement des représentations féminines, et là, personne n'a jamais jugé bon d'y voir du sexisme non-plus.... le discours se référant à l'équité des genres, c'est comme ça arrange.

Un peu de bon sens comme-même (bis) :D

Oui! mais le pouvoir spirituel a toujours été dominé par le genre masculin.
 
Question
Recently, we heard about some Muslim women in the United States claiming that it is permissible for them to lead a public, mixed-gender Friday Prayer. What is Islam’s stance on this? Please give me a detailed answer urgently. Muslims here in the USA are perplexed and do not know what to do.

Date
16/Mar/2005

Name of Mufti
Assembly of Muslim Jurists in America
Answer

In the Name of Allah, Most Gracious, Most Merciful.

All praise and thanks are due to Allah, and peace and blessings be upon His Messenger.

In past and present times, there is a complete consensus among all Muslim jurists and scholars that women are not allowed to lead the Friday Prayer nor can they deliver the Friday khutbah. The logical as well as Shari`ah-based conclusion in this regard is that only men are allowed to perform such a function. The proponents of the weird view referred to in the question depend on evidence from the Sunnah that refers to very specific circumstances where a woman can lead the Prayer inside her home, and has no relation to Friday Prayer and general congregations.

In answer to your question, we cite for you the following detailed statement issued by the Assembly of Muslim Jurists in America:

The Assembly of Muslim Jurists in America (AMJA) totally denounces such an action, which is a complete heresy, and affirms the following facts:

The ultimate reference and the supreme source of legislation of Islam is the Book of Allah, and the purified Sunnah of the Prophet (peace and blessings be upon him). The Prophet (peace and blessings be upon him) is reported to have said, “I left among you that which if you hold on to it you will never go astray after me: the Book of Allah, and my Sunnah.”

Consensus and unanimity on the interpretation of a certain text in these two sources (the Qur’an and the Sunnah) is an irrefutable proof for its meaning and a clear sign and evidence that any other later interpretation is nullified, void, and rejected. Allah Almighty says, (And whoso opposeth the Messenger after the guidance (of Allah) hath been manifested unto him, and followeth other than the believer’s way, We appoint for him that unto which he himself hath turned, and expose him unto hell a hapless journey’s end) (An-Nisaa’ 4:115).

The Prophet (peace and blessings be upon him) described the successful group among the ones that went astray as being those “who follow and behave (after) what I and my Companions follow and behave (after).”

Second, there is unanimous consensus for the entire Ummah, in the east and west, that women cannot lead the Friday Prayer nor can they deliver the sermon. Whoever takes part in such a Prayer, then his Prayer is nullified. It is never found in any jurisprudential text of Hanafis, Malikis, Shafi`is or Hanbalis, nor even from Shiite scholars, that a woman can lead the Friday Prayer or deliver the sermon. This opinion [that a woman can lead the Friday Prayer] is an innovation and a heresy on any account, nullified by all scholars.

Some of the evidences that led to the above-mentioned consensus is what came in the purified Sunnah that the rows of the women should be behind the rows of the men in the Prayer. In the hadith narrated by Anas (may Allah be pleased with him) we learn that the Prophet (peace and blessings be upon him) prayed as imam for Anas, his mother and his aunt, he made Anas stand on his right side and Anas’s mother and his aunt behind them.

The same arrangement was followed in the masjid of the Prophet (peace and blessings be upon him) and across the entire Ummah for centuries. Imam Muslim narrated that the Prophet (peace and blessings be upon him) said that, “The best rows for the men are the front ones and the least good are the ones towards the back; and the best rows for the women are the ones towards the back and the least good are the ones towards the front.” This was for no other reason but to protect them from any embarrassment and to close the door before any evil thoughts or temptations that might come into the hearts of whoever might be looking at them otherwise. How could it be possible then that a woman can be in front of all rows leading the Friday Prayer?

Other evidence is that it is well established in Islamic jurisprudence that Allah has not made Prayer in congregation mandatory for women, neither is it obligatory that women pray Friday Prayers. The Prophet (peace and blessings be upon him) mentioned in the authentic narration through Abu Dawud: “Friday Prayer is mandatory upon each Muslim (to be performed) in a congregation; the only types of people who are exempted are a slave, a woman, a young boy or a sick person.”

In addition, the Prophet (peace and blessings be upon him) informed Muslim women that their Prayer at home is better for them than attending the congregation, out of mercy upon them that they face the hassles of going out and to shield them from temptations. The Prophet (peace and blessings be upon him) said, “Do not prevent the women from going to the masjid; however, it is better for them to pray at home” (Ahmad and Abu Dawud). How could it be possible then that it is not mandatory for a woman to pray in the masjid, to achieve the intent of the Legislator (Allah) of making it easy upon women by praying at home, while shielding them from temptations, then a woman goes up on the pulpit to deliver the sermon, and stands in front of the rows as imam!

It was never recorded that a single woman, across Islamic history, has performed such an action, nor even demanded to do it; not in the time of the Prophet (peace and blessings be upon him), nor in the time of the Companions, or their followers, not even in later generations and centuries. This by itself constitutes a clear proof of the invalidity of this opinion, and anyone who calls for it or helps to implement it is a heretic.

If any of this has legitimacy, the most qualified women to actually do it were the Mothers of the Believers; most of them were knowledgeable brilliant scholars. It is enough to talk about the eloquent, articulate, bright, and knowledgeable of `A’ishah, daughter of Abu Bakr, wife of the Prophet, Mother of the Believers. If there was any shred of evidence that this action is good and permissible, these shining examples among Muslim women would have taken the lead to it. There were numerous women scholars across Islamic history, jurisprudential references and narration experts; they were honest, trustworthy, and experts in what they accomplished. Imam Az-zahabi said, “It was never recorded that a woman propagated false hadith attributed to the Prophet (peace and blessings be upon him).” He also mentioned that “I am not aware of any woman that were accused of propagating falsehoods or ones whose narrations were disregarded.” Among the teachers of Imam Ibn `Asaker were 80 women. The same is for Imam Abu Muslim Al-Farahidi, who reported the narration of 70 women. Imam Shafi`i, Al-Bukhari, Ibn Khalkan, and Ibn Hayyan all had women among their teachers. None of these noble women scholars ever attempted to lead the Friday Prayer nor deliver the sermon, even though they were superior in knowledge over many of their contemporary men in jurisprudence, religious knowledge, and narrations from the Prophet (peace and blessings be upon him).

Muslim women participated in all aspects of Islamic work throughout Islamic history: as scholars and jurisprudential references, as participating in all kinds of worship, as workers in the field of relief and emergency aid, and in the enjoining of good and forbidding of evil. But never were they imams for Friday Prayers or have ever delivered Friday sermons.

It is a logical and Shari`ah-based conclusion that only men are allowed to perform such a function as leading the Friday Prayer and delivering the sermon. Whoever disputes this fact can take as much time as he wants to dig out one single example form the volumes of Islamic jurisprudence across the centuries, and he will miserably fail.

Lastly, those who are calling for such acts are taking as an excuse a narration that Umm Waraqah was given the permission by the Prophet (peace and blessings be upon him) to lead her household members in the Prayer. This narration, even assuming that it is authentic, has nothing to do whatsoever with the Friday Prayer. It is talking about some very specific circumstances where a woman can lead the Prayer inside her home, and has no relation to Friday Prayer and general congregations.
 
(suite)

AMJA is delivering this somber warning message to the entire Ummah, not to give any credit to such false initiatives that contradict the basics and fundamentals of the religion, and are totally heretical innovations. AMAJ reminds Muslims that we are to follow only the Book of Allah and the purified Sunnah of the Prophet (peace and blessings be upon him). Muslims should pay careful attention to whom they are seeking the guidance from; indeed, he who strives to cling to his religion nowadays is suffering as much as a person who is trying to keep a tight fist on a piece of flaming charcoal in the palm of his hand. AMAJ is extending a sincere supplication to none but Allah to save us from all trials and tribulations, and to guide us all to that which is closest to the mercy and pleasure of Allah, as He is the only One capable of that. It is Allah alone that we seek in all of our actions, and it is He alone Who can guide to the straight path.

www.fatwa.org
 
Voilà la version traduite de la fatwa citée par leyla:

Question

Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux.

Votre Éminence, le savant érudit, Sheikh Yûsuf Al-Qaradâwî.

Que la paix soit sur vous, ainsi que la Miséricorde de Dieu et Ses Bénédictions.

Dans une initiative sans précédent, il est prévu que Amînah Wadûd - professeur d’études islamiques à l’Université de Virginie - devienne la première femme à diriger des fidèles des deux sexes dans la prière du vendredi qui se déroulera à New York le 18 mars 2005. La prière aura lieu au Sundaram Tagore Gallery à New York, où sont organisés des rencontres et des débats divers autour de la relation entre les civilisations orientale et occidentale.

Cet événement constitue un précédent historique dans la mesure où Amînah Wadûd sera la première femme à diriger les Musulmans dans une prière mixte. Amînah Wadûd revendiquera « le droit des femmes musulmanes à l’égalité avec les hommes au niveau des obligations religieuses, notamment le droit de la femme à être imam, et l’inexigibilité pour les femmes de prier dans les rangées arrière, derrière les hommes, dans la mesure où cela est le résultat de coutumes et de traditions ancestrales dépassées, n’ayant rien à voir avec la religion ». Mme Wadûd estime que le fait de ne pas accorder à la femme musulmane le droit d’être imam est quelque chose « d’enraciné dans les sociétés musulmanes, et que personne ne tente sérieusement de rectifier ».

Nous souhaitons de votre Éminence, Sheikh Yûsuf Al-Qaradâwî - que Dieu vous préserve -, que vous nous donniez votre avis sur cette information, dans le sillage de la tolérance à laquelle vous nous avez habitués, dans le sillage de votre méthodologie médiane, de votre objectivité et de la prise en considération de la réalité dans laquelle nous vivons, à la lumière de cette méthode d’analyse qui est la vôtre consistant à renvoyer les points secondaires à leurs principes directeurs, et à mettre les textes partiels en regard avec les finalités générales de la Législation islamique.

Nous demandons à Dieu qu’Il nous fasse profiter de votre savoir, qu’Il vous bénisse, qu’Il nous comble par votre présence, et qu’Il fasse de vous l’appui de notre Communauté et de notre religion.
Réponse de Sheikh Yûsuf `Abd Allâh Al-Qaradâwî

On ne connaît pas dans l’histoire musulmane, longue de quatorze siècles, une seule femme ayant prononcé le sermon du vendredi ou ayant dirigé des hommes dans la prière. Même dans les époques où régnait une femme, à l’instar de Shajarat Ad-Durr [1] dans l’Égypte mamelouke, celle-ci ne prononçait pas le sermon du vendredi ni ne dirigeait les hommes dans la prière. Il s’agit là d’un consensus indubitable.

Originellement, l’imamat dans la prière est réservé aux hommes. Car l’imam doit être suivi dans ses gestes par les orants : s’il s’incline, ils doivent s’incliner derrière lui, s’il se prosterne, ils doivent se prosterner, et s’il récite le Coran, ils doivent écouter.

En Islam, la prière possède des caractéristiques et des spécificités bien déterminées. Il ne s’agit pas de simples invocations et de supplications, comme c’est le cas dans la prière chrétienne. Dans la prière musulmane, il y a des gestes, des positions debout, des positions assises, des inclinations et des prosternations. Il ne convient pas qu’une femme accomplisse ces mouvements devant des hommes, au cours d’un acte de culte où sont exigés le recueillement du cœur, la sérénité de l’âme et la concentration de l’esprit dans l’imploration du Seigneur.

La Sagesse divine a voulu que le corps de la femme soit façonné différemment du corps de l’homme. Elle y a placé des caractéristiques susceptibles d’exciter la libido de l’homme, et ce, afin de permettre le mariage qui sert de cadre pour la perpétuation de l’espèce humaine et la réalisation de la Volonté divine de civilisation de la Terre.

Afin d’écarter toute tentation, et de barrer la voie aux prétextes de la séduction, la Législation islamique a réservé aux hommes l’appel à la prière et la direction de la prière. De même, elle a décrété que les rangées des femmes doivent se situer derrière les rangées des hommes, en précisant que les meilleures parmi les rangées des hommes sont les premières et que les meilleures parmi les rangées des femmes sont les dernières. Le Prophète dit en effet : « Les meilleures parmi les rangées des femmes sont les dernières et les pires sont les premières ; les meilleures parmi les rangées des hommes sont les premières et les pires sont les dernières », et ce, afin d’écarter toute tentation potentielle.

L’homme peut ainsi concentrer tout son esprit et toute son attention sur le renforcement de son lien avec son Seigneur, sans que son imagination ne se mette à vagabonder hors du cercle de la foi, dans le cas où se mettrait en branle son incontournable instinct humain.

Ces jugements légaux sont fondés sur des hadiths authentiques et établis, reconnus par le consensus des Musulmans, toutes écoles juridiques confondues, et confirmés par leur mise en pratique durant les siècles passés. Il ne s’agit donc pas de simples coutumes et traditions comme cela a été affirmé.

L’Islam est une religion réaliste, qui ne vogue pas dans des sphères d’utopie, loin de la réalité vécue et expérimentée par les gens. Il ne traite pas les gens comme s’ils étaient des anges ailés, mais comme étant des humains mûs par des instincts et des sentiments. Il est tout à fait avisé que le Sage Législateur veuille les protéger de la tentation et de l’excitation, en empêchant, autant que faire se peut, la réalisation des causes et des motifs de cette excitation. Et cela est encore plus vrai dans les moments d’adoration, d’imploration et de supplication à Dieu.

Les quatre écoles juridiques islamiques, voire les huit écoles, se sont accordées à dire que la femme ne peut diriger un homme dans les prières prescrites, même si certains ont permis à la femme maîtrisant le Coran de diriger la prière au sein de sa famille, sachant que les hommes qui prieraient alors sous sa direction sont ses mahârim [2].

Aucun juriste musulman, qu’il appartienne ou non à l’une des écoles suivies, n’a permis à la femme de prononcer le sermon du vendredi ou de diriger la prière des Musulmans.

Si nous examinons les textes, nous ne trouverons aucun texte authentique et explicite interdisant à la femme de prononcer le sermon du vendredi ou de diriger la prière des Musulmans.

Tout ce qui a été relaté à ce sujet est un hadith attribué au Prophète et rapporté par Ibn Mâjah d’après Jâbir Ibn `Abd Allâh : « Une femme ne doit pas diriger la prière d’un homme ; un bédouin ne doit pas diriger la prière d’un Émigré ; un débauché ne doit pas diriger la prière d’un croyant ». Les Imâms du Hadith ont cependant qualifié la chaîne de transmission de ce hadith de très faible. Il ne peut donc servir d’argument dans le problème qui nous concerne.

Un autre récit, démentant le précédent, a été relaté entre autres par Ahmad et Abû Dâwûd. Selon Umm Waraqah Bint `Abd Allâh Ibn Al-Hârith, le Prophète - paix et bénédiction sur lui - lui assigna un muezzin qui appelait à la prière pour elle, et lui demanda de diriger la prière pour les gens de sa maisonnée (comprenant des hommes et des femmes). La chaîne de transmission de ce hadith a également été jugée faible par les savants. Il demeure néanmoins qu’il concerne le cas particulier d’une femme ayant mémorisé le Coran et qui dirigerait la prière pour les gens de sa maisonnée : son époux, ses fils et ses filles, qui sont de proches parents, et dont elle n’a pas à craindre qu’ils soient séduits par elle. Ad-Dâraqutnî précise dans une variante que le Prophète lui demanda de diriger la prière des femmes de sa maisonnée.
 
(suite)

Ibn Qudâmah écrit dans Al-Mughnî : « Cette précision [d’Ad-Dâraqutnî] doit être acceptée. Même s’il n’y avait pas cette addition, le récit devrait être interprété de cette manière. En effet, le Prophète lui permit de diriger les prières prescrites, - la preuve étant qu’il lui assigna un muezzin appelant à la prière et que l’appel à la prière ne concerne que les prières prescrites - tandis qu’il n’y a aucune divergence sur le fait qu’une femme ne peut diriger les hommes dans les prières prescrites. »

Puis, il ajoute : « À supposer que Umm Waraqah dirigeait effectivement la prière des hommes de sa famille, cela aurait constitué un cas particulier la concernant elle seule, la preuve étant qu’il n’est pas permis aux autres femmes d’appeler à la prière ou de la diriger. Son imamat fut donc un cas particulier la concernant, au même titre que le muezzin que lui assigna le Prophète. »

Ibn Qudâmah soutient son avis en faisant remarquer que la femme ne peut appeler à la prière pour des hommes, et que, de ce fait, il ne lui est pas permis de les diriger.

Je ne suis pas d’accord avec l’Imâm Ibn Qudâmah pour dire que l’autorisation prophétique concerne uniquement Umm Waraqah. Toute femme étant dans la même condition que Umm Waraqah, c’est-à-dire connaissant et maîtrisant le Coran, peut diriger les prières prescrites et surérogatoires de ses enfants et proches parents, y compris la prière des tarâwîh [3].

Les Hambalites ont un avis tout à fait respectable sur la question, autorisant la femme à diriger les hommes dans la prière des tarâwîh. C’est l’avis le plus réputé chez les premiers Hambalites.

Az-Zarkashî écrit : « L’avis consigné par Ahmad [4] et choisi par la majorité de nos condisciples est que la femme peut diriger les hommes dans la prière des tarâwîh. » C’est également ce que rapporte Ibn Hubayrah au sujet de Ahmad dans Al-Ifsâh `an Ma`ânî As-Sihâh (volume I, page 145).

Ceci concerne la femme maîtrisant le Coran et qui dirige la prière des gens de sa maisonnée et de ses proches. Certains ont également limité cela aux femmes âgées.

L’auteur d’Al-Insâf écrit : « Dans la mesure où nous opinons que la femme peut diriger la prière des hommes de sa famille, elle doit néanmoins se tenir derrière eux pour garantir plus de décence, et ils la suivent dans ses gestes. C’est l’avis le plus juste. »

Une entorse est faite ici à la position normale et originelle selon laquelle l’imam doit se tenir devant les orants. Cette exception vient garantir la décence et prévenir la tentation, autant que faire se peut.

L’imamat de la femme devant ses ****œurs

Quant à l’imamat de la femme dans une prière exclusivement féminine, de nombreux hadiths viennent l’appuyer. On peut ainsi citer le hadith de `Â’ishah et de Umm Salamah - que Dieu les agrée -, rapporté par `Abd Ar-Razzâq, Ad-Dâraqutnî et Al-Bayhaqî d’après Abû Hâzim Maysarah Ibn Habîb, d’après Râ’itah Al-Hanafiyyah, selon qui `Â’ishah dirigea une prière prescrite dans une assemblée de femmes, tout en se tenant dans le rang. Ibn Abî Shaybah rapporte également d’après Ibn Abî Laylâ, d’après `Atâ’, que `Â’ishah avait l’habitude de diriger la prière des femmes, en se tenant alignée avec elles dans le rang. Al-Hâkim rapporte d’après Layth Ibn Abî Salîm d’après `Atâ’, que `Â’ishah avait l’habitude d’appeler à la prière, de diriger la prière des femmes et de se tenir alignée avec elles dans le rang.

Ash-Shâfi`î, Ibn Abî Shaybah et `Abd Ar-Razzâq rapportent d’après `Ammâr Ad-Duhnî, d’après une femme de sa tribu appelée Hujayrah, que Umm Salamah dirigea les femmes dans la prière, tout en se tenant parmi elles.

Selon les termes exacts de `Abd Ar-Razzâq, Hujayrah rapporte : « Umm Salamah nous a dirigées dans la prière des vespres et se tint parmi nous ».

Le Hâfidh Ibn Hajar écrit dans Ad-Dirâyah : « Muhammad Ibn Al-Husayn rapporte d’après Ibrâhîm An-Nakha`î que `Â’ishah dirigeait la prière des femmes durant le mois de Ramadân, tout en se tenant parmi elles. » `Abd Ar-Razzâq rapporte d’après Ibrâhîm Ibn Muhammad, d’après Dâwûd Ibn Al-Husayn, d’après `Ikrimah, qu’Ibn `Abbâs dit : « La femme dirige la prière des femmes tout en se tenant parmi elles ».

Nous souhaitons donc que nos soeurs qui s’activent à défendre les droits de la femme revivifient cet élément de la Sunnah, aujourd’hui tombé en désuétude, consistant à ce que la femme dirige la prière d’autres femmes, au lieu de se lancer dans cette innovation condamnable consistant à ce qu’une femme dirige la prière des hommes.

L’auteur d’Al-Mughnî écrit : « Il y a divergence autour de la question suivante : est-il recommandé à la femme de diriger la prière d’une assemblée de femmes ? Certains sont d’avis que cela est recommandé, c’est l’opinion de `Â’ishah, de Umm Salamah, de `Atâ’, d’Ath-Thawrî, d’Al-Awzâ`î, d’Ash-Shâ’fi`î, de Ishâq et de Abû Thawr. On rapporte également que Ahmad est d’avis qu’il s’agit là d’une chose recommandée. Les tenants de l’école interprétative ont une opinion opposée et estiment que c’est là une chose détestable ; néanmoins, si une femme dirige la prière des femmes, cette prière est valide. Ash-Sha`bî, An-Nakha`î et Qatâdah précisent que la prière en congrégation pour les femmes n’est permise que concernant les prières surérogatoires, à l’exclusion des prières prescrites. »
 
(suite)

Ibn Qudâmah écrit dans Al-Mughnî : « Cette précision [d’Ad-Dâraqutnî] doit être acceptée. Même s’il n’y avait pas cette addition, le récit devrait être interprété de cette manière. En effet, le Prophète lui permit de diriger les prières prescrites, - la preuve étant qu’il lui assigna un muezzin appelant à la prière et que l’appel à la prière ne concerne que les prières prescrites - tandis qu’il n’y a aucune divergence sur le fait qu’une femme ne peut diriger les hommes dans les prières prescrites. »

Puis, il ajoute : « À supposer que Umm Waraqah dirigeait effectivement la prière des hommes de sa famille, cela aurait constitué un cas particulier la concernant elle seule, la preuve étant qu’il n’est pas permis aux autres femmes d’appeler à la prière ou de la diriger. Son imamat fut donc un cas particulier la concernant, au même titre que le muezzin que lui assigna le Prophète. »

Ibn Qudâmah soutient son avis en faisant remarquer que la femme ne peut appeler à la prière pour des hommes, et que, de ce fait, il ne lui est pas permis de les diriger.

Je ne suis pas d’accord avec l’Imâm Ibn Qudâmah pour dire que l’autorisation prophétique concerne uniquement Umm Waraqah. Toute femme étant dans la même condition que Umm Waraqah, c’est-à-dire connaissant et maîtrisant le Coran, peut diriger les prières prescrites et surérogatoires de ses enfants et proches parents, y compris la prière des tarâwîh [3].

Les Hambalites ont un avis tout à fait respectable sur la question, autorisant la femme à diriger les hommes dans la prière des tarâwîh. C’est l’avis le plus réputé chez les premiers Hambalites.

Az-Zarkashî écrit : « L’avis consigné par Ahmad [4] et choisi par la majorité de nos condisciples est que la femme peut diriger les hommes dans la prière des tarâwîh. » C’est également ce que rapporte Ibn Hubayrah au sujet de Ahmad dans Al-Ifsâh `an Ma`ânî As-Sihâh (volume I, page 145).

Ceci concerne la femme maîtrisant le Coran et qui dirige la prière des gens de sa maisonnée et de ses proches. Certains ont également limité cela aux femmes âgées.

L’auteur d’Al-Insâf écrit : « Dans la mesure où nous opinons que la femme peut diriger la prière des hommes de sa famille, elle doit néanmoins se tenir derrière eux pour garantir plus de décence, et ils la suivent dans ses gestes. C’est l’avis le plus juste. »

Une entorse est faite ici à la position normale et originelle selon laquelle l’imam doit se tenir devant les orants. Cette exception vient garantir la décence et prévenir la tentation, autant que faire se peut.

L’imamat de la femme devant ses ****œurs

Quant à l’imamat de la femme dans une prière exclusivement féminine, de nombreux hadiths viennent l’appuyer. On peut ainsi citer le hadith de `’ishah et de Umm Salamah - que Dieu les agrée -, rapporté par `Abd Ar-Razzâq, Ad-Dâraqutnî et Al-Bayhaqî d’après Abû Hâzim Maysarah Ibn Habîb, d’après Râ’itah Al-Hanafiyyah, selon qui `’ishah dirigea une prière prescrite dans une assemblée de femmes, tout en se tenant dans le rang. Ibn Abî Shaybah rapporte également d’après Ibn Abî Laylâ, d’après `Atâ’, que `’ishah avait l’habitude de diriger la prière des femmes, en se tenant alignée avec elles dans le rang. Al-Hâkim rapporte d’après Layth Ibn Abî Salîm d’après `Atâ’, que `’ishah avait l’habitude d’appeler à la prière, de diriger la prière des femmes et de se tenir alignée avec elles dans le rang.

Ash-Shâfi`î, Ibn Abî Shaybah et `Abd Ar-Razzâq rapportent d’après `Ammâr Ad-Duhnî, d’après une femme de sa tribu appelée Hujayrah, que Umm Salamah dirigea les femmes dans la prière, tout en se tenant parmi elles.

Selon les termes exacts de `Abd Ar-Razzâq, Hujayrah rapporte : « Umm Salamah nous a dirigées dans la prière des vespres et se tint parmi nous ».

Le Hâfidh Ibn Hajar écrit dans Ad-Dirâyah : « Muhammad Ibn Al-Husayn rapporte d’après Ibrâhîm An-Nakha`î que `’ishah dirigeait la prière des femmes durant le mois de Ramadân, tout en se tenant parmi elles. » `Abd Ar-Razzâq rapporte d’après Ibrâhîm Ibn Muhammad, d’après Dâwûd Ibn Al-Husayn, d’après `Ikrimah, qu’Ibn `Abbâs dit : « La femme dirige la prière des femmes tout en se tenant parmi elles ».

Nous souhaitons donc que nos soeurs qui s’activent à défendre les droits de la femme revivifient cet élément de la Sunnah, aujourd’hui tombé en désuétude, consistant à ce que la femme dirige la prière d’autres femmes, au lieu de se lancer dans cette innovation condamnable consistant à ce qu’une femme dirige la prière des hommes.

L’auteur d’Al-Mughnî écrit : « Il y a divergence autour de la question suivante : est-il recommandé à la femme de diriger la prière d’une assemblée de femmes ? Certains sont d’avis que cela est recommandé, c’est l’opinion de `’ishah, de Umm Salamah, de `Atâ’, d’Ath-Thawrî, d’Al-Awzâ`î, d’Ash-Shâ’fi`î, de Ishâq et de Abû Thawr. On rapporte également que Ahmad est d’avis qu’il s’agit là d’une chose recommandée. Les tenants de l’école interprétative ont une opinion opposée et estiment que c’est là une chose détestable ; néanmoins, si une femme dirige la prière des femmes, cette prière est valide. Ash-Sha`bî, An-Nakha`î et Qatâdah précisent que la prière en congrégation pour les femmes n’est permise que concernant les prières surérogatoires, à l’exclusion des prières prescrites. »

à un moment j'ai cru que tu avais vraiment traduit toute cette tartine :D
au lieu de parler de traduction, tu aurais dû dire "une fatwa qui va dans le même sens mais en français cette fois". ;)
 
[...]
Consensus and unanimity on the interpretation of a certain text in these two sources (the Qur’an and the Sunnah) is an irrefutable proof for its meaning and a clear sign and evidence that any other later interpretation is nullified, [...]
Alors là je suis mort de rire : c'est faite ce que je dis mais pas ce que je fais.

Alors bien sûr Môsieur est autorisé à faire son interprétation qui est bien sûr la seule vraie, mais toute autre interprétation que la sienne ne sera necessairement qu'hérésie, parce que Môsieur détient la vérité absolue.

Un peu de bon sens ne ferait pas de mal comme-même :eek:

Et depuis quand un concensus est une preuve irréfutable ? J'aimerais bien connaître la définition afférante du qualificatif « irréfutable »

Ensuite, l'interprétation de la sunnah n'est justement pas l'objet de consensus (elle est fréquement mise en doute).
 
Alors là je suis mort de rire : c'est faite ce que je dis mais pas ce que je fais.

Alors bien sûr Môsieur est autorisé à faire son interprétation qui est bien sûr la seule vraie, mais toute autre interprétation que la sienne ne sera necessairement qu'hérésie, parce que Môsieur détient la vérité absolue.

Un peu de bon sens ne ferait pas de mal comme-même :eek:

Et depuis quand un concensus est une preuve irréfutable ? J'aimerais bien connaître la définition afférante du qualificatif « irréfutable »

Ensuite, l'interprétation de la sunnah n'est justement pas l'objet de consensus (elle est fréquement mise en doute).

ne voulait-il pas dire que lorsqu'il y avait unanimité basée sur le Coran et la sunnah on ne pouvait pas faire chacun sa petite interprétation personnelle ? ça ne veut pas forcément dire qu'il ne puisse y avoir plus tard unanimité qui démente celle-ci ?
 
ne voulait-il pas dire que lorsqu'il y avait unanimité basée sur le Coran et la sunnah on ne pouvait pas faire chacun sa petite interprétation personnelle ?
Qui est « chacun » ? Ces personnes qui décident que leur interprétation personelle vaut plus que l'interprétation personelle des autres, ne sont pas « chacun » ?

ça ne veut pas forcément dire qu'il ne puisse y avoir plus tard unanimité qui démente celle-ci ?
Quand on affirme que toute interprétation ultérieure ne pourra être que nulle-et-non-avenue, .... je ne pense pas.

Ils n'ont qu'à programmer des robots, ça leur posera moins de soucis..... moins de soucis à diriger également.
 
Qui est « chacun » ? Ces personnes qui décident que leur interprétation personelle vaut plus que l'interprétation personelle des autres, ne sont pas « chacun » ?


Quand on affirme que toute interprétation ultérieure ne pourra être que nulle-et-non-avenue, .... je ne pense pas.

Ils n'ont qu'à programmer des robots, ça leur posera moins de soucis..... moins de soucis à diriger également.

mais hibou, quand on parle d'unanimité on est pas tout seul... unanimité tout seul ça existe pas...
 
je suis pas dacor avec toi akhiiii une femme peu pas dirigé une prière ou il y a des homme
si il y a que des femme uiiiii
aprés Allah est plus savant
si elle sait s'imposer en tant qu'imame plutôt que femme, pourquoi pas ?
mais c'est évident que si elle est vue comme une femme avant d'être vue comme une imame, ça pose problème
je me demande quand-même pourquoi cette question ne se poserait pas pour un homme, bien qu'elle se posera logiquement moins souvent que pour une femme, elle pourra se poser quand-même.... mais étrangement, elle ne l'est jamais
et entre « moins souvent » et « jamais », il y a pourtant une marge

bon, et puis il faut se calmer, aller à mosquée entendre (enfin, méditer) le prêche d'une femme imame, ce n'est quand-même pas aller au moulin rouge
d'autant qu'elle sera vêtue d'une robe avec du gonfland et de son foulard

et les homos alors ? gare à monsieur l'imame si des homos viennent écouter son prêche alors :langue:

faut êtres cohérents comme-même :eek:
 
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