Pour gagner plus d’effectifs dans ses rangs, Mahomet a utilisé un langage hypocrite. Il a manifesté une grande bienveillance à l’égard des femmes, les orphelins, les esclaves, et même les animaux [1]. Mais dès qu’il a eu ce qu’il cherche (le pouvoir), il a changé son discours et a montré son vrai visage.
Mahomet a édifié les lignes de la pensée la plus cruelle et la plus épouvantable surtout envers la femme. Son islam considère la femme comme une porte malheur et l’affliction la plus nocive aux hommes [2]. Il voit la gente féminine comme une espèce qui manque de raison et qui ne sera jamais droite et égale à la gente masculine [3], ce qui explique sa privation de son droit à gouverner son pays comme le reste des hommes [4].
Pour faire plaisir aux passions de ses amis, Mahomet a édicté une loi qui stipule que toute la femme est ‘awra qui doit cacher tout son corps et garder le silence à la présence des hommes pour ne pas réveiller leur bestialité et minimiser les cas d’interruption des ablutions. Cette loi stipule aussi que la femme n’a pas le droit de circuler librement et sortir seule sauf en cas d’urgence, pour satisfaire ses besoins naturels [5].
L’islam a-t-il honoré la femme en la considérant comme un être égale à l’homme ? L’islam a-t-il sauvé la femme de la tutelle tyrannique des machistes "hommes" ? L’islam a-t-il libéré la femme de sa soumission aux hommes et l’a offert ses droits ?
L’islam n’a apporté à la femme que nenni ! Il l’a considéré comme une esclave chèrement achetée pour s’occuper des travaux domestiques et l’éducation des enfants et qui n’a pas le droit de choisir le mari avec lequel elle passera le reste de sa vie [6].
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[1] Hadith 265 dans Riad as-Salihine :
Le Prophète a dit : "Celui qui entretient par son travail la veuve et l'orphelin est comme le combattant au service de Dieu, comme celui qui passe toute sa nuit à prier et comme celui qui jeûne toute l'année sans rupture".
Hadith 278 dans Riad as-Salihine :
Le Prophète a dit : "Le Croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère. Les meilleurs d'entre vous sont les meilleurs avec leurs femmes".
[2] Hadith 1675 dans Riad as-Salihine :
Le Prophète a dit: "II n'y a ni contagion ni augure. Si quelque chose peut porter malheur, c'est bien la maison, l'épouse et le cheval".
Hadith 4923 dans le Sahîh de Muslim :
Le Prophète a dit: "Je n’ai laissé après moi une cause de tentation plus funeste aux hommes que les femmes".
[3] Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim :
« L'Envoyé d'Allah a dit: "O femmes! Faites l'aumône et sollicitez plus fréquemment le pardon d'Allah, car je vous ai vu former la majorité des réprouvés de l'Enfer". Une femme - parmi celles ayant l'esprit judicieux - s'exclama: "Et pourquoi cela, ô Envoyé d'Allah?". - "C'est, répondit-il, que vous multipliez vos malédictions et vous êtes ingrates envers vos époux. Je n'ai vu parmi les êtres faibles en intelligence et en religion personne qui, mieux que l'une de vous, fasse perdre l'esprit à un homme sensé". - "En quoi, reprit-elle, ô Envoyé d'Allah, consiste le défaut de notre intelligence et de notre religion?". - "Le témoignage de deux femmes équivaut à celui d'un homme... Voilà pour le défaut de l'intelligence, répliqua le Prophète, et quand elles ont leurs menstrues, les femmes ne cessent-elles pas de prier et de jeûner des nuits durant?... Eh bien! Voilà pour celui de la religion. »
Hadith 273 dans Riad as-Salihine :
Le Prophète a dit : "Faites de bonnes recommandations en faveur des femmes, car la femme a été créée à partir d'une côte. Jamais elle ne deviendra droite quoi que tu fasses. Si tu en tires quelque jouissance, tu en as joui alors qu'elle était tordue, et si tu cherches à la redresser tu la brises".
[4] Hadith 4425 dans le Sahîh de Bukhari :
Le Prophète a dit : "Point de salut pour un peuple gouverné par une femme".
[5] Hadith 4034 dans le Sahîh de Muslim
« Sawda sortit, après la prescription du voile, pour satisfaire un besoin naturel. Or, elle était une femme corpulente, d'une taille dépassant celle de toutes les autres femmes, et donc personne ne pouvait la voir sans en découvrir l'identité. Omar ibn Al-Khattâb l'ayant vue, s'écria : "O Sawda, par Dieu, on te reconnaît (malgré le voile). Fais donc attention quand tu sors !". Elle revint donc sur ses pas, retrouvant l'Envoyé d'Allah qui était chez moi, en train de dîner, un morceau de gigot entre les mains. Elle entra et dit: "O Envoyé d'Allah! Je suis sortie et Omar m'a dit telle et telle chose". Elle (Aïcha) ajouta: "Aussitôt, il reçut la révélation (de la sourate Al -'Ahzâb, verset 59), puis revint à son calme – pendant tout ce temps le morceau de gigot était encore dans ses mains - et dit: Allah vous a autorisé à sortir pour satisfaire votre besoin naturel". »
Sahih Sounan At-Tirmidhi, t.I, p.343 :
Le Prophète a dit : "La femme est nudité (‘Awra)".
Sahih Khuzayma, t. IV, p. 203 :
Asmâ bint Abî Bakr a dit : "Nous cachions nos visages des hommes [autres que mari et parents proches]"
[6] Hadith 114 dans le Sahîh de Muslim
« Aïcha a dit : "J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa, neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi". Puis elle relatait: "Nous nous rendîmes à Médine. J'avais eu la fièvre pendant un mois, et avais perdu mes cheveux; mais ils repoussèrent abondamment et m'arrivèrent jusqu'aux épaules. Ma mère, 'Umm Rûmân, vint me trouver tandis que j'étais sur une balançoire, entourée de mes compagnes. Elle m'appela et je me rendis à son appel sans savoir ce qu'elle voulait de moi. Elle me prit par la main, me fit rester sur la porte de la maison, jusqu'à ce que ma respiration haletante se fût calmée. Elle me fit ensuite entrer dans la maison où se trouvaient des femmes des 'Ansâr qui me dirent: "A toi le bonheur, la bénédiction et la meilleure fortune!" Ma mère m'ayant livrée à ces femmes, celles-ci me lavèrent le visage et la tête; et se mirent à me parer. J'avais à peine fini, que l'Envoyé d'Allah entra, lorsqu'il était encore le matin. Alors on me remit entre ses mains. »