je connais
n'importe qui peut noircir l'antiquité (on sait pourquoi)et idéaliser la condition féminine au moyen age (par la farce des belle lettres)
moi je t'ai pas fais d'entourloupe, je t'ai proposé un indice infaillible, dans une société ou les femme accède a l'instruction et des postes honorifiques par leurs talent scientifiques
ca c'est du concret
pas des femmes qui héritent un poste de commandement de leur mari etc.....
Tes ***** quand même...sérieusement tu fais aucun effort d'analyse, ou plutôt tu analyse que ce que tu veut, toi qui chante les louanges des femmes, voila que tu critique une historienne (une femme) qui ne s'appuie pas sur de la rhétorique (contrairement à toi) mais sur des documents d'époques...
Mais comme sa va pas dans le sens de tes idées t'es pas content...moi je serais toi, en tant que Français je serais fier de voire que mes ancêtres traité bien les femmes, MAIS NON ! toi tu préfère mutilés tes propres ancêtres et ta propre histoire...tu vaut pas mieux que les salafistes en faite...
"En se redisant les unes aux autres : C'est la femme qui est la cause de tous nos malheurs (A muliere initium factum est peccati, et per illam omnes morimur. Eccles., XXV, 33.), les générations antiques avaient accumulé sur la tête de la femme une masse de haine et de mépris, qui avait fait de l'ancienne compagne de l'homme le plus abject et le plus misérable des êtres.
En gras, document d'époque de l'antiquité ! rien à a voir avec de "belle lettre"...
En se répétant jusqu'au seuil de l'éternité: C'est à la femme que nous devons tous nos biens, les générations nouvelles environneront la femme d'une vénération et d'une reconnaissance, qui en feront l'être le plus respecté et le plus saintement aimé de tous ceux que Dieu a tirés du néant" (Mgr Gaume, Traité du Saint-Esprit, 1865, troisième édition, Gaume et Cie Editeurs, 3 rue de l'Abbaye, tome II, Paris 1890, p. 154-155.)
En gras, document d'époque d'un chrétien ! rien à a voir avec de "belle lettre"...
Bref t'es cuit...